Quelle est l’attitude juste pour les femmes afin d’être pleinement reconnues et respectées ?

Message de Marie-Madeleine reçu par Agnès Bos-Masseron le 1-6-19

La femme est la déesse. La déesse ne se soucie pas du regard que les autres portent sur elle. Elle offre la splendeur de sa puissance et de sa divinité. Il est vrai, parmi les archétypes, les croyances, il semble peut-être difficile – ou la croyance est très répandue qu’il est difficile – pour les femmes d’être reconnues.
Les femmes pourtant se souviennent de ces moments où la féminité était reconnue dans son image de la déesse et où les hommes avaient un grand respect et une grande écoute pour la mère qui veille et offre la vision de son amour de mère. Les femmes se souviennent de cette époque. Elles se souviennent aussi, dans l’histoire des cycles du temps, des déformations, des prises de pouvoir de cet ego qui croit s’approprier la puissance et de ce moment où tout a basculé, où les hommes sont entrés en rivalité avec la prise de ce pouvoir pour prendre eux aussi le pouvoir. Et tous semblent avoir oublié que l’incarnation n’a rien à voir avec le pouvoir mais avec le simple rayonnement de sa puissance.
L’action juste est d’incarner la déesse. L’action juste n’est pas tant à travers le faire qu’à travers le rayonnement car le faire dépend et découle du rayonnement. Les femmes se croient victimes, oubliant que dans un autre cycle elles ont été bourreaux et dans un autre cycle encore victimes et dans un autre cycle encore bourreaux et jusqu’où allons-nous aller ? Et si l’humanité voulait bien offrir les croyances dans victime et bourreau pour être créateur d’une humanité à l’image de la dévotion. Alors s’effacent les questions. Il reste la dévotion d’incarner pleinement son essence et d’oser être pleine de soi dans la tranquille innocence de la transparence. Comprenez-vous cela ? La tranquille innocence de la transparence, au-delà des luttes de pouvoir.
Pourtant, me direz-vous, l’humanité semble montrer le joug des femmes et l’emprise des hommes. A chacune de créer une réalité à l’image de sa vision. Pour celles qui savent créer leur réalité, la réalité est et se projette dans un autre visage de l’humanité.
Ce n’est jamais l’autre, comprenez. Ce n’est point le masculin qui opprime le féminin ou le féminin qui se sentirait opprimé ou qui semblerait croire devoir se redresser, il n’est que le jeu de l’incarnation. Et le jeu de l’incarnation est jeu de dévotion offerte à sa propre divinité puisqu’il n’est que le divin, vous le savez.
Ainsi à travers chaque femme, resplendit la flamme. La flamme rayonne et consume ainsi les apparences de joug. Et de ce rayonnement, naturellement découle l’action juste et le positionnement. Cesser de voir la création à travers une histoire. Oser ramener à la création la vision juste à travers votre incarnation.

Publié par Satyam (Profil & Articles associés)