Nous avons en nous tout un peuple dont nous sommes responsables : nos cellules. Nous pouvons les protéger, mais à condition de leur donner de l’air pur à respirer, une nourriture et des boissons saines.

Sinon, après avoir essayé de résister elles s’affaiblissent, elles ne sont plus capables de faire face aux attaques extérieures : toutes les formes de pollutions et d’épidémies qui les menacent. Pour leur donner cette nourriture et cet air pur, nous devons aussi travailler sur nos pensées et nos sentiments, car nos cellules sont également sensibles à l’atmosphère psychique que nous créons.

Voilà la vraie science, la science de la vie.

Vous direz que c’est une drôle de science.

Peut-être, mais quand on arrivera à trouver les appareils capables d’étudier la vie intérieure de l’homme, on découvrira que rien n’est plus précis que la science de la vie intérieure, la science de la pensée et du sentiment, et de leurs effets sur notre santé physique et psychique.

Omraam Mikhaël Aïvanhov