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Les chemins de la liberté ne s’empruntent pas dans le mensonge.

Si le besoin anxieux d’obtenir la confiance des autres n’est pas encore atteinte aujourd’hui..

Nous en sommes encore à nous débattre comme dans « Les mains sales » de Sartre…

L’unité qui semblerait introduire son visage dans cette tragédie Japonnaise n’est autre qu’une satire individuelle que personnalise l’homme inhabile à la véritable action :

CELLE D’ETRE CLAIR !

Le mensonge s’étire alors une fois de plus d’avant en arrière, comme un viol de nos espaces les plus précieux.

Alors cette fable de l’homme décrypté par Sartre tient aujourd’hui, une fois de plus son rôle dans l’hésitation de tuer, puis une fois cette action dépassée et le meurtre accompli, le remord déchiré des aveux…

Des aveux de hasard et non de volonté !.
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Ce n’est pas tant l’odeur des charniers qui dérangent le plus, mais belle et bien ce gouffre que nous avons creusé pour y plonger des corps inertes et sans vie..
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Ds Ya