Si un film était tourné pendant le cycle de combustion du corps, beaucoup de proches du défunt pour ne pas parler des autres seraient saisis et certainement passablement bouleversés et perturbés au plus profond de leurs convictions au cours de la première étape: en effet lorsque les flammes viennent lécher le corps, la température montant généralement à plus de 1200°, celui-ci se redresse sur son séant comme momentanément réanimé pour se recroqueviller, se rétrécir et finalement se transformer en cendres en s’effondrant.
Le chapitre 18, verset 10 du Deutéronome peut s’appliquer en partie comme un interdit explicite de l’incinération d’un corps humain, ou de l’avortement puisque bon nombre de fœtus sont détruits par le feu… et bien qu’il soit tiré de l’Ancien Testament, il est une référence d’interdit majeur d’une actualité brûlante si l’on soumet notre époque à un examen critique où un grand nombre de personnes se tourne vers l’occultisme pour trouver une réponse ou une ébauche de réconfort dans ces pratiques abominables et qui représentent autant de fissures qui minent notre quotidien à notre insu parfois, les chrétiens n’y échappant pas à cause du degré d’errance et de perte de certaines valeurs de base.

 » […] Qu’on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin, d’astrologue, d’augure, de magicien, d’enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. Car quiconque fait ces choses est en abomination à l’Éternel « . (De 18/10)
chez les musulmans le premier homme a avoir été enterré fut Abel  Allah envoya un corbeau qui se mit à gratter la terre pour lui montrer comment ensevelir le cadavre de son frère. Il dit : “Malheur à moi ! Suis-je incapable d’être, comme ce corbeau, à même d’ensevelir le cadavre de mon frère ? ” Il devint alors du nombre de ceux que ronge le remords. »
[Sûrate 5, V- 27-31).
cela fait sourire souvent les non croyants en disant ce sont que des fables d’anciens pourtant la science a découvert récemment ceci :  Le corbeau est réputé pour être le seul oiseau à enterrer ses morts après un curieux rituel funéraire au cours duquel plusieurs spécimens se réunissent autour de la dépouille de leur congénère mort en croassant ,
Ne nous y trompons pas, notre corps ne nous appartient pas: c’est un pret pour notre passage sur terre un véhicule qu’il faudra rendre et le laisser retourner a sa forme originel poussière , crée de terre il retournera à la  terre …c’est le sens de la parabole de la vie et de la mort….jeter un corps au feu c’est le juger avant son jugement a la damnation
ce qu’on oublie de dire de cette pratique c’est que aucun corps ne tombe en cendre il reste souvent des os comme le crane qui sont ensuite fracassés et mis en miette sans ménagement …..
La crémation est interdite au niveau spirituel pendant les trois jours du décès. 
Il faut laisser le corps astral terrestre restituer toutes les informations à l’âme. il existent les huit cellules qui forment la fleur de vie a la conception et qui ne se détruit jamais lors de la mort 
Le feu terrestre détruit certaines informations importantes concernant l’expérience terrestre de l’âme. 
C’est un délai à respecter le 3 comme le fameux nombre palindrome (666 ou 333)

LE CATHOLICISME : Depuis 1963 le Vatican a mis fin à près d’un siècle ‘interdiction formelle de la crémation.
LE PROTESTANTISME : Les protestants ont autorisé la crémation dès 1887.
L’ISLAM : dans la tradition islamique, il est formellement interdit de brûler les corps après la mort.
LE BOUDDHISME : La crémation n’est pas obligatoire, elle est néanmoins recommandée et très pratiquée.
LE JUDAÏSME : la crémation demeure un interdit dans l’orthodoxie rabbinique.
LES ORTHODOXES : admettent la crémation.
L’HINDOUISME : la règle veut que les Hindous soient incinérés après leur mort.
Il existe une horloge spirituelle, qui est sous l’autorité de la règle de trois.
Soit 72 minutes (3×24 mn) [ le nombre des vertus de Dieu, des loges maçonniques et philosophales de l’homme]
Soit trois jours ce qui constituent 72 heures ( le nombre des vertus de Dieu, des loges maçonniques et philosophales de l’homme )
Pour rompre le cordon occulte du corps, pour les âmes fortes 72 minutes suffisent à briser ce lien et pour les âmes les plus faibles 3 jours sont nécessaires.
Il faut laisser le temps à l’âme de lire le livre de sa vie passée sur terre, ce livre est constitué de soixante douze pages.
Comme nous ne connaissons pas les facultés spirituelles de l’âme, dans le doute nous devons respecter les trois jours avant d’incinérer le corps.


Inhumation alchimique = 222 [ la règle de trois, dans le doute laissons le corps se décomposer en terre pour finir son oeuvre alchimique]
Terre = 66 = L’homme = Livre [ Genèse 3.19, Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front jusqu’à ce que tu retournes à la terre dont tu as été tiré. Car tu es fait de poussière, et tu retourneras à la poussière. ]
Livre de vie = 999 [ laissons l’âme du défunt lire son livre de vie pendant trois jours, une expérience à ne pas perdre dans les abîmes du feu de la crémation]


 » […] Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes ? Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu « . (1 Cor. 6/19-20)

 » […] puis Dieu lui donne un corps comme il lui plaît, et à chaque semence il donne un corps qui lui est propre « . (1 Cor 15/38)
L’agrément donné par l’Église Catholique Romaine, apaisant pour les consciences qui souffriraient d’un reste de scrupules, n’est qu’une abomination de plus à rajouter au compte de « sa » Tradition purement humaine, de son non respect de la Parole de DIEU, de ses falsifications multiples, bref ce qui fait d’elle la Grande Prostituée décrite par Jean au cours de sa vision… provoquant chez lui  » un grand étonnement « , dans son Apocalypse alors qu’il assiste à un déploiement de fléaux de toutes sortes et encore difficilement imaginables à notre époque habituée aux effets spéciaux.
Des transgressions, des interdits, des malédictions, des abominations cités dans les Écritures font l’objet de sanctions et la destruction qui s’ensuit est assurée par le feu.

 » […] Celui qui sera désigné comme ayant pris de ce qui était dévoué par interdit sera brûlé au feu, lui et tout ce qui lui appartient, pour avoir transgressé l’alliance de l’Éternel et commis une infamie en Israël « . (Jos. 7/15)

 » […] Vous brûlerez au feu les images taillées de leurs dieux « . (Deut 7/25)
Peut-on délibérément livrer le corps d’un défunt aux flammes tout en faisant abstraction du caractère de sanction grave qui caractérise un procédé de destruction d’abominations et autres faits de désobéissance susceptibles d’être frappés de la même malédiction ? Rappelons-le, la Bible n’emploie jamais le mot  » enfer  » mais l’expression  » étang de feu et de soufre  » pour définir les tourments éternels dans lequel seront jetés les  » corps de résurrection  » qui auront été donnés, tout comme aux sauvés, aux perdus et aux incroyants.
L’affreuse coutume de la crémation, nous la trouvons chez les païens, mais aussi chez les israélites qui étaient tombés dans l’idolâtrie: ils faisaient passer leurs fils par le feu en hommage à Moloch (Deut 12:31, Ez 20:31, 2Rois 16:3, 17:17, 21:6).
Si nous lisons attentivement 1 Corinthiens 15, nous comprenons mieux encore toute l’abomination qu’il y a à brûler les cadavres. Inspiré par l’Esprit Saint, Paul y affirme que le corps terrestre semé corruptible ressuscite incorruptible (V42-44). Cela signifie que dans le corps mortel se trouve une semence spirituelle, non analysable du point de vue matériel, mais pourtant si réelle et si forte que son immortalité se manifeste à la résurrection (Phil 3:21).
Dans la même ligne de pensée, nous rappellerons ce que notre Seigneur a dit de Son propre corps :  » En vérité, en vérité je vous le dis, si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul: mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit  » Jean 12:24.
Si l’esprit et l’âme de quelqu’un entrent dans le royaume des morts à son décès – soit au paradis dans la gloire, soit dans la nuit éternelle dans l’attente du jugement dernier – ils restent cependant, selon le net enseignement de l’Écriture, attachés par des liens invisibles à leur corps inhumé jusqu’à la résurrection. Quiconque se fait incinérer s’insurge d’une manière sacrilège contre l’ordonnance divine. Cela ne restera évidemment pas impuni.  
Le roi Josias a détruit le premier crématorium (2 Rois 23:10); et dans l’Ancienne Alliance, les partisans de l’incinération furent punis par Dieu « parce qu’ils avaient brûlé, calciné les os du roi Edom (Amos 2:1-3).
Que l’on lise également avec attention le verset 3 du chapitre 6 du livre de l’Ecclésiaste : « Quand un homme aurait cent fils, vivrait un grand nombre d’années, et que les jours de ses années se multiplieraient, si son âme ne s’est point rassasiée de bonheur, et si de plus il n’a point de sépulture, je dis qu’un avorton est plus heureux que lui ». Cette affirmation biblique est absolument claire : quiconque se fait incinérer « n’a point de sépulture » , car qui dit « tombeau » dit « cadavre ».  Dans son livre  » Merveilles de l’âme », le professeur Dr Karl Ludwig Schleich décrit la semence spirituelle, dont question ci-dessus, en ces termes : 
« Elle est le noyau nucléaire de la cellule, cette concentration du germe protoplasmique de la cellule qui doit être considérée comme une espèce d’organe central, un cerveau, une âme de la cellule, semblable au jaune de l’œuf, comme la partie essentielle des unités vitales microscopiques. Ces dernières, le noyau nucléaire, restent en vie dans n’importe quelles circonstances; il n’y a pas de mort pour elles, mais seulement un état latent comme celui des spores, une attente, un certain sommeil, jusqu’à ce qu’elles refassent valoir leurs petites énergies immortelles dans un merveilleux cycle de vie par un transfert de rythmes.(1)
Aucune digestion, aucun ferment, aucun acide (pas trop fort cependant), rien ne peut détruire leur vie presque cristallisée. Seul le feu les dissout ! Mais tel est le dessein de la nature. Par conséquent, la mort des cellules par les flammes est absolument contre nature. Il faut interdire à tout prix la crémation qui est une des plus graves erreurs de la civilisation !
Chaque noyau nucléaire qui se libère dans le sol porte et conserve quelque chose de l’être physique et psychique du corps en décomposition. Il y a donc un cycle de vie, un principe d’immortalité dans l’organisation corporelle.
Voilà les raisons pour lesquelles nous considérons l’incinération comme une acte absurde… » fin de citation.
Ainsi parle un savant. S’il abhorre l’incinération pour des raisons scientifiques, nous, nous fondons notre rejet sur la Parole de Dieu. Ce qu’il affirme ici s’inscrit dans la ligne de 1 Corinthiens 11:14 : » La nature même ne nous enseigne-t-elle pas …? « 
Quelqu’un d’autre qui se place dans l’optique de la foi interprète comme suit la grande vérité selon laquelle le corps contient une semence :  » le grain de blé déposé dans la terre germe et produit une tige, puis un épi, et porte enfin du fruit : mais s’il est brûlé, ce processus est impossible. Invisible à l’œil et inaccessible au scalpel, se trouve dans notre corps :  une fois mis en terre, elle mûrira en résurrection. Mais la crémation la détruit d’une manière sacrilège; elle est, dès lors, un système satanique de destruction fort raffiné ! »
C’est à dessein que je m’en tiens à la seule Parole de Dieu et ne m’arrête pas aux témoignages, crédibles certes, portant sur les souffrances de ceux qui se font brûler sciemment, volontairement. Mais que le puissant archange Michel ait disputé à Satan le corps de Moïse (Jude 9), cela prouve que notre corps, après le départ de l’âme et de l’esprit, doit échapper à l’incinération.
Plusieurs soulèveront cette objection : mais qu’en est-il des martyrs qui ont été brûlés à cause de leur foi? Nous leur répondrons : ils sont de ceux qui, par amour pour Jésus, ont été privés de leur vie par la violence. En Matthieu 3:9, le Seigneur dit aux pharisiens et aux scribes :  » … de ces pierres-ci, Dieu peut susciter des enfants à Abraham « . Jésus-Christ , qui a prononcé ces paroles, est celui qui donnera à chacun de Ses martyrs, Ses témoins, un corps de résurrection. N’a-t-il pas merveilleusement délivré Ses trois fidèles serviteurs de la fournaise ardente de Nebucadnetsar ? ( Dan 3:19-27, Isaïe 43:2).  
La chose se fera également pour ceux qui sont devenus introuvables à la suite d’incendies, d’explosions, d’accidents par acides particulièrement mordants. Il en ira de même pour ceux qui, aux temps des nazis, ont brûlé dans des fours à gaz, ou encore pour ceux dont le corps a été détruit sous des régimes politiques violents. A chacun d’eux, Dieu donnera un corps de résurrection. Mais se faire volontairement incinérer équivaut, en gravité, à commettre un suicide. Qui s’engage par écrit à confier son cadavre aux flammes n’est évidemment pas un martyr. Il déshonore et outrage le corps que Dieu, le Créateur, lui a donné.
L’argument avancé par les partisans de la crémation – qu’il n’y a plus suffisamment de place pour enterrer les morts – ne tient pas. L’éternel a dit  » Remplissez la terre !  » Celle-ci est loin d’être remplie par les vivants – ne devrait-il pas y avoir assez de place pour les corps des saints endormis en Christ ?!
C’est assurément une forme d’apostasie à l’égard du Dieu d’éternité que de mépriser Sa Parole de son vivant ! Mais si on le fait par-delà la mort, cela ne pourra produire que de terribles effets. Recevez donc cette mise en garde contre la crémation satanique !
Dans bon nombre de pays, aucune loi ne régit l’utilisation ou la destination des cendres déposées dans une urne, au sortir du crématorium. Elles peuvent être conservées, dispersées, partagées… et ce bien sûr, sans bourse délier, un argument de poids à notre époque qui s’ajoute à bien d’autres tout aussi évidents et attractifs. En effet le caveau, la tombe, la concession ne sont plus nécessaires. Et puis l’espace terrestre doit être alloué aux vivants. Ce que l’on peut admettre dans des points de surpopulation comme il en existe en Inde mais certainement pas au Canada par exemple.