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ENERGIE ELECTRIQUE, ENERGIE CHRISTIQUE

L’homme est dans la conquête permanente du hasard.
Mais le hasard revêt bien souvent des visages connus, reconnus qui nous obligent à revenir de nos itinéraires d’évasions où nous nous égarons pour fuir les lois universelles dictées par la pure nature.

Pure nature contre qui l’homme pense se défendre en construisant des dômes pour abriter un cœur trop fragile qui se dilate à la moindre infortune qu’il pense devoir au grand Tout…

Si aujourd’hui, je tentais véritablement de comprendre ce qui arrive dans ce message explicite des travers du monde qui éclate en conscience tant il est fort de clarté.

Ici l’édifice de la plus grande mosquée du monde (d’Abu Dhabi) qui pousse en dômes multiples au cœur du désert relatant les grandes dispositions humaines exprimées dans la passion des croyances et de ce besoin irrationnel de montrer sa puissance d’être sur le Tout, d’homme qui se prend pour Dieu ou son serviteur maltraité..

Là l’édifice de la plus grosse centrale nucléaire du monde (kashiwasaki) qui glousse en dômes multiples au cœur du réacteur relatant les grandes dispositions humaines exprimées dans la passion matérielle et ce besoin irrationnel de contrôler l’essence même des flux de la pesanteur qui fait courber le dos.

Le non-sens d’exister qui nous enferme au point de devenir soudain une raison dans chaque drame qui parsème notre histoire comme autant de signaux pauvres de notre incapacité à comprendre que ni l’énergie christique, ni l’énergie électrique ne peuvent se contenir en réservoir.
S’évaporant alors de ces dômes, la liberté de l’homme qui dans le choix de ses actes fous invente aussi les valeurs qui les justifient.

Au nombre de cadavres en conclusion !


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Ds Ya