Je voulais juste traduire la partie V d’Ilsedora Laker, mais finalement, je vais traduire tout ce qu’elle a publié sur le sujet du covid-19, car on comprendra mieux les tenants et les aboutissants de l’affaire, entre autres les débats actuels pitoyables autour de la chloriquine censée guérir une épidémie qui n’existe pas avec des tests non spécifiques. L’affaire de la chloriquine est de « l’opposition contrôlée » censée faire croire à une épidémie.

Source des articles pour l’élaboration de ce présent article :

ici

ici aussi

et enfin ici

Introduction ci-dessus, puis traduction en français ci-dessous par la grande générosité d’Apolline – 23 mars 2020

Texte originel d’Ilsedora Laker

Source présent article, photo – delta de la Lyre – 24 mars 2020

COVID-19 Partie III – Un peu de science (article du 20 mars 2020)

Depuis mes deux précédents articles, le monde semble être devenu fou. Il y a une telle hyper-médiatisation mondiale et une telle inutile panique que j’en ai la tête à l’envers. Oui, vous avez bien lu, j’ai écrit « inutile » !

Ceux qui parmi vous comprenez les 5 lois biologiques du Dr Hamer savent de quoi je parle, mais en même temps vous admettrez probablement que vous avez succombé à ce battage médiatique. C’est parce que vous avez été programmé depuis l’enfance à ce moment particulier de l’histoire de la planète Terre.

Le monde dans lequel nous vivons a changé du jour au lendemain. Rien ne sera jamais pareil maintenant car « ils » ont pris le contrôle. De nouvelles lois sont passées à l’heure actuelle pour renforcer le contrôle et le fond de l’affaire parle d’argent et de pouvoir ainsi que le détournement de finances dans des domaines dont nous ne possédons pas le contrôle.

Ce n’est pas et n’a jamais été pour « contenir » l’extension du virus. C’est une opportunité pour créer mondialement des changements de vie pour chaque individu. Mes pires craintes sont en train de se réaliser.

Je pense encore malgré tout que nous avons du temps pour empêcher la catastrophe qui va se produire, grâce à la connaissance et à la prise de conscience. Je parle ici de notre liberté et de la campagne pour des vaccinations de masse obligatoires. Mais avant d’en arriver là, je dois vous informer de la manière dont c’est perpétré.

Il me faut pour cela retourner dans l’histoire de la médecine et la théorie actuelle du germe. Je vais commencer avec l’explication du Dr Lanka sur la tentative de Robert Koch, scientifique allemand, pour prouver qu’un microbe peut être transmis d’une créature à une autre et comment il a mené ses expériences. Il a misérablement échoué et a été expulsé d’Allemagne jusqu’à ce que les « gouverneurs » réalisent les bénéfices qu’ils pourraient tirer politiquement de cette théorie.

Ce que dit le Dr Lanka au sujet des expériences sur les bactéries :

« Les bactéries vont produire des toxines, mais uniquement sur un cadavre. Elles survivent dans un environnement aérobique comme les intestins, privés d’oxygène quand l’individu ou l’animal meurt. Seules quelques-unes survivent mais uniquement si elles peuvent changer leur métabolisme et c’est là qu’elles deviennent ensuite toxiques.

FAIT : Les bactéries ne sont pas identifiables dans un tube à essai. Seulement 2 % de toutes les bactéries peuvent être cultivées et multipliées. Si on extrait une bactérie et qu’on la cultive isolément, elle perd ses propriétés rapidement et ne survit pas. Pour travailler dessus, on en congèle de grandes quantités, ce qui constitue une intervention massive et ne représente pas le comportement dans la nature.

On a observé au cours des expérimentations que les bactéries, même si certaines se sont multipliées, étaient incapables de produire des toxines chez un hôte vivant. Elles ne produisent des toxines que chez un hôte mort.

On a ensuite tenté d’injecter des bactéries chez un hôte différent mais elles ont été incapables de le rendre malade. Le seul succès a été de tuer l’hôte après une injection de ces toxines cadavériques chez des souris vivantes. Ils ont ensuite prélevé un organe de la souris morte et l’ont transplanté sur un hôte vivant qui est mort ensuite.

Le fait est que ces créatures vivantes meurent davantage du processus expérimental que des toxines provenant des bactéries qui ont été injectées. »

Le Dr Lanka sur l’isolation d’un virus :

« Des échantillons sont prélevés sur une personne ou un animal « infecté » et placés avec le « type de cellule requis » du virus testé, habituellement du matériel génétique étranger qu’on l’introduit artificiellement dans la cellule. On nomme ceci « transfection » [La transfection est une technique de biologie moléculaire qui consiste à introduire un ADN étranger dans une cellule eucaryote cultivée in vitro]. Si les cellules présentent des changements connus sous le nom d’effets cytopathiques, c’est à dire des changements structuraux de la cellule-hôte, la culture est alors jugée « positive »pour le virus.

Les tests les plus courants sont effectués sur des œufs de poule contenant des embryons, ce qui est la même méthode utilisée par Robert Koch pour injecter des toxines de cadavre sur des créatures vivantes. Dans ce cas, ils prennent des échantillons d’une personne ou d’un animal « affecté » et les injectent dans l’œuf de poule et selon la manière dont meurt l’embryon, on déclare avoir trouvé le virus.

On prétend ensuite que le virus a été isolé. Le problème est qu’il n’y a jamais de groupe-contrôle, alors même si on injecte une solution stérile dans l’œuf, l’embryon va mourir aussi.

Les photos actuelles de virus qu’on voit dans les livres de médecine sont toutes des images de synthèse ou seulement un mélange de graisses et de protéines qu’on agite dans un bain à ultrason et qu’on visualise ensuite sous un microscope. Il est néanmoins observé qu’ils n’ont aucun acide nucléique et qu’ils se décomposent rapidement. Ils ont également des tailles différentes. C’est clairement une fraude. »

Actuellement au Canada

« Une société canadienne dit avoir fait une découverte capitale en développant un candidat possible pour le vaccin COVID-19 qui pourrait démarrer un test sur humain dès cet été.

Médicago, à Québec, a déclaré avoir produit une particule du nouveau coronavirus apparenté à un virus, première étape vers la production d’un vaccin, qui va maintenant subir des tests cliniques de sécurité et d’efficacité.

La société bio-pharmaceutique a dit qu’elle pouvait créer rapidement un vaccin candidat car elle se sert d’une plate-forme à base de plantes, et non d’embryons de poulet, pour faciliter la croissance des protéines du vaccin.

« Nous avons un [vaccin contre la grippe saisonnière] qui est actuellement en cours de révision avec Santé Canada et la [technologie] utilisée pour ce vaccin COVID est exactement la même.

Dawn Bowdish, de l’université McMaster, a déclaré que la capacité de la société à développer des particules de type virus sur des plantes a permis de produire dans le passé des vaccins contre la grippe, y compris un vaccin candidat contre le H1N1 de 2009.

« Une particule de type virus ressemble à l’extérieur d’un virus mais n’a aucun matériel génétique à l’intérieur », a dit Bowdish, qui s’appuie aussi sur le bureau du conseil scientifique de Médicago. « Elle ne cause pas d’infection mais semble vraiment similaire dans votre perspective du système immunitaire. »

Malgré ces « bonnes nouvelles », Bowdish a averti que la plupart des essais de vaccins échouent et qu’il n’y a jamais eu de vaccin totalement créé pour l’épidémie de SRAS.

« Il est peu probable qu’il y aura une drogue miracle », a-t-elle dit. « Mais le Canada a eu un succès incroyable en créant des vaccins très rapidement. Nous avons eu un immense succès avec le virus Ebola. »

Maintenant c’est intéressant pour les « particules de type virus », cela veut donc dire qu’ils admettent en fait n’avoir JAMAIS isolé vraiment un virus VIVANT….sans parler du succès du virus Ebola… surtout quand on a découvert il y a quelques années que les sources d’eau des villages touchés avaient été empoisonnées par du formaldéhyde. Si vous regardez les symptômes de l’Ebola, vous verrez qu’ils sont les mêmes qu’un empoisonnement par du formaldéhyde.

Retour aux livres d’histoire, quelques faits intéressants sur Pasteur

Parallèlement à ses journaux de recherche, Pasteur tenait un journal personnel qui n’a jamais été ouvert et est resté dans sa famille. Pourtant un descendant a donné ses dossiers et son journal à l’université de Princeton et ils ont été ouverts depuis. On a découvert que Pasteur admettait avoir commis des fraudes dans toutes ses expérimentations. Mais il a eu suffisamment d’humanité pour documenter ses supercheries dans son journal personnel en parallèle de ses livres de laboratoire originaux.

Il avait demandé que ces archives ne soient jamais publiées. Sa famille s’est naturellement largement enrichie. Mais le dernier descendant mâle de Pasteur n’a pas obéi à sa requête finale et a donné les dossiers à l’université de Princeton et en 1993 le professeur Gérard Geisson a publié une analyse en anglais qui révélait que Pasteur avait commis d’énormes fraudes dans toutes ses études. Par exemple, des animaux vaccinés, s’ils survivaient, n’avaient jamais été sujets à des toxines expérimentales cadavériques mais les animaux du groupe-contrôle qui sont morts sans vaccin moururent de ce genre d’empoisonnement.

Il a en fait admis qu’il falsifiait ses découvertes. Le problème ici est que la vision actuelle mondiale sur les pathogènes est basée sur une fraude, avec les vaccins promus pour « construire notre immunité » contre ces soi-disant pathogènes.

Maintenant après avoir présenté quelques faits très intéressants, regardons ce qu’il se passe vraiment.

COVID-19 partie IV – Statistiques en perspective (20 mars 2020)

Depuis mon premier article sur ce sujet, j’ai gardé un œil sur les statistiques relatives à ces supposés « gens infectés » et à ceux qui sont morts durant cette épidémie et je dois dire que certains faits très intéressants en sont ressortis.

J’ai bien entendu reçu pendant ce temps d’innombrables rapports d’un peu partout, il m’a donc fallu du temps pour tout passer en revue et acquérir une perspective.

Généralement parlant, le taux de mortalité a été de 4,1 % sur 244.500 cas diagnostiqués, mais avec l’Italie et son taux de 8,2 %, nous devons donc examiner de près comment et pourquoi cela s’est produit en Italie. Surtout avec la Chine qui ne rapporte plus aucun nouveau cas maintenant et la Corée du Sud avec un déclin dans les cas diagnostiqués.

Au départ, le nombre de morts était à l’habituel 2,1 % comme pour toutes les grippes saisonnières, tous pays confondus. Quand les chiffres italiens sont arrivés, ils étaient pourtant du double.

Actuellement au Canada, nous avons 873 cas diagnostiqués, avec 12 décès, ce qui donne un taux de mortalité de 1,4 %. Ces chiffres sont en fait moindres que ceux attendus en terme de taux de mortalité pour n’importe quelle grippe saisonnière.

Je vais aller dans le « comment » des diagnostics un peu plus loin, mais d’abord nous devons comprendre pourquoi c’est arrivé en Italie. Dans mon premier article sur ce sujet, j’ai mentionné que malgré les difficultés à établir la cause collective du choc vécu par la population chinoise, nous sommes parvenus à rendre plausible ce qui s’est passé avant la survenue de cette situation et ce qui a été résolu juste avant la soi-disant épidémie.

Le traitement pour le COVID-19

Le « traitement » antiviral qu’on a donné par la suite aux patients italiens peut être responsable du taux accéléré du nombre de morts. Ce qui d’après ma perspective d’ancienne consultante en médecine alternative est très logique parce que nous voyons les effets secondaires et l’interaction des médicaments donnés aux patients âgés atteints d’une grippe sévère qui avaient déjà une prédisposition par des conditions médicales, comme des maladies cardiaques, du diabète et de l’hypertension et pour lesquelles ils prenaient déjà un traitement. Donc en plus de la grippe, nous voyons probablement un cas sévère d’interaction médicamenteuse chez des personnes âgées.

Ce que j’ai trouvé surprenant, c’est que le médicament de choix en Chine, nommé « Chloriquine » (Aralen) est en fait un médicament anti-malaria, la malaria [ou paludisme] étant une maladie parasitaire propagée par la piqûre de moustiques.

Plus récemment en Italie, un médicament anti-viral appelé « Ribovirin » a été utilisé, dont les effets secondaires incluent des troubles hépatiques et rénaux ainsi qu’une sévère anémie. On l’utilise en fait contre l’hépatite C.

Et quand j’ai regardé l’âge moyen des patients ayant succombé à la grippe en Italie, elle était de 81,3 ans, indiquant qu’ils avaient déjà des problèmes de santé avant le développement de la grippe.

Le conflit collectif dans le nord de l’Italie

Je connais heureusement quelqu’un qui parle italien et qui a fait des recherches dans tous les domaines concernant l’épidémie démarrée au nord de l’Italie. Selon la médecine nouvelle, c’est parfaitement sensé.

Codigno est une région agricole majeure du nord de l’Italie ayant subi plusieurs changements climatiques sévères ces dernières années avec des conditions météorologiques extrêmes, comme des tempêtes de grêle, de fortes chutes de pluie, des infestations d’insectes et des dégâts causés par des animaux sauvages en quête probablement de nourriture dans ces conditions d’environnement extrêmes.

La région agricole de Codigno a subi une perte financière de 11 millions d’Euros entre juillet et août 2019, et la dévastation a continué jusqu’en octobre. Ce qui veut dire que le gagne-pain des agriculteurs de cette région a été dramatiquement affecté par ce qu’ils ont vécu.

La résolution est arrivée quand les tout derniers chiffres de production agricole de la région sont tombés, 800 millions d’Euros, malgré ce qu’ils avaient subi l’année dernière.

D’autres zones géographiques du nord de l’Italie qui ont vécu des « poches » affectées par la grippe se situaient près du Po et de la Dora, des fleuves qui ont causé des inondations dévastatrices au cours de l’année dernière à la suite des changements climatiques. 210 mm de pluie sont tombés par exemple pendant 3 jours consécutifs en octobre et 110 mm en novembre pendant la même période de temps. Les dégâts causés aux habitations furent terribles. Les scientifiques ont parlé « d’anomalie majeure ».

Je peux très bien imaginer le soulagement ressenti après un grand nettoyage et le retour à une existence normale pour cette région.

Leur existence menacée

Ce que je trouve intéressant, aussi bien dans le scénario chinois qu’italien, c’est qu’ils ont tous vécu un conflit de « menace sur leur existence » qui les a mis dans le syndrome des canaux collecteurs des reins qui entraine une rétention de liquide dans les organes, dans ce cas ce sont les poumons qui ont subi la phase de guérison du conflit, une « pneumonie ».

Ajouté à cela, nous devons aussi tenir compte du conflit eau/fluide vécu simultanément et collectivement dans cette région italienne, signifiant que non seulement les canaux collecteurs des reins ont été affectés mais aussi le parenchyme rénal, responsable d’une hypertension rénale. Je suis sûre que ceci a probablement exacerbé les conditions d’existence chez les séniors. Ajoutons-y le médicament anti-viral Ribovirin et nous obtenons un mélange mortel.

Je réalise que ce sont beaucoup d’informations, même pour un étudiant bien informé sur la NMG, pourtant dès que j’ai commencé à débrouiller toutes les données reçues, une image plus claire a émergé.

Nous devons maintenant regarder la cause et l’effet, sans parler des méthodes actuelles de test utilisées pour diagnostiquer ce « nouveau » virus corona.

COVID-19, partie V – L’Agenda

J’avoue n’avoir jamais été conspirationniste avant d’aborder le monde de la NMG. Ayant personnellement connu le Dr Hamer et avoir entendu ses récits sur ce qu’il a enduré en tant « médecin hérétique et dissident », sans oublier toutes les tentatives d’attentat à sa vie, cela a dû être puissant.

Dans ma recherche sur la théorie du virus et ayant lu tout ce qui était possible sur ce qu’offrait le Dr Lanka, j’ai dû prendre très au sérieux la possibilité d’une fraude sur les virus, perpétrée par la science médicale et les société pharmaceutiques.

La question maintenant n’est pas s’il y a eu fraude mais plutôt pourquoi à cette époque de notre histoire une fraude est pratiquée mondialement sans aucune tentative de tout un chacun dans son domaine, de calmer les médias. Au contraire, ils ne font qu’ajouter au fil des minutes une surmédiatisation et de la peur.

Quand je vais faire mes courses, je vois la terreur sur le visage de certaines personnes qui se regardent l’un l’autre avec soupçon comme pour dire « es-tu porteur ? » Puis je vois bien entendu le regard des gens qui ont reçu la tâche de nettoyer tout ce que nous touchons en faisant nos achats.

Quand tout sera terminé, voilà ceux qui auront la grippe avec la « deuxième vague » déjà annoncée comme allant se produire avant l’automne.

Pendant ma recherche ces dernières semaines, je suis tombée sur certains faits très surprenants mais au cours des dernières 24 heures j’ai été personnellement choquée par les révélations d’autres personnes crédibles au sujet d’une théorie de la conspiration sans aucun rapport avec nos connaissances par le Dr Hamer ou le Dr Lanka.

Je parle ici de nouvelles financières grand public et celles d’un expert célèbre en particulier, Martin Armstrong, connu comme « Le prévisionniste » qui a posté plusieurs avis hier seulement.

[Je ne traduis pas, désolée pour les non-anglophones…]

Il s’adresse au président Trump et le presse de remettre en question les suggestions de ses conseillers financiers et d’autoriser une baisse globale du taux d’intérêt.

Lien ici

Puis cet article concernant les chiffres réels des personnes affectées comparé à la médiatisation qui en est faite.

Lien ici

Ce dernier lien sur le fond du problème et l’agenda ultime.

Lien ici

Saviez-vous qu’en 2010 le président Obama a tenté de faire passer une loi impliquant l’implantation d’une puce dans le cadre de l’Obamacare ? Elle a déjà été proposée et est en cours d’expérimentation au sein du personnel militaire. Il semble que le reste de la population suivra.

Il ne reste qu’à la faire voter par le sénat américain et quand une « urgence nationale » se déclare suite à une pandémie supposée, ils peuvent la voter et la mettre en œuvre du jour au lendemain.

Pour nous faire obtempérer, on crée d’abord une pandémie, puis on passe une loi concernant des vaccinations obligatoires menées, « sinon gare ! ».

Les vaccinations serviront à injecter des nano-particules qu’on peut facilement suivre à la trace avec la technologie actuelle tout comme nous pouvons pister nos téléphones, ce qui a été en réalité la première étape de notre mise en esclavage.

L’un des créateurs de cette technologie est Bill Gates qui est également un grand supporter de la mise en œuvre de cette technologie. Il semble que Gates aurait cédé sa place de PDG de Microsoft il n’y a que quelques semaines. La question est pourquoi ? Est-ce par rapport à la mise en œuvre de ID2020 ? Regardez les vidéos et cherchez l’agenda caché et COMMENT cela va affecter chacun d’entre nous sur la planète.

Puis il y a la méthode actuelle de test pour déterminer si un individu « a » le virus corona, ce qui implique de faire un prélèvement de mucus dans le pharynx supérieur.

Comme j’ai déjà mentionné que la méthode de test pour ce supposé virus implique une séquence d’ADN, nous devons vraiment voir ce que cela signifie. Est-ce de la poudre aux yeux pour collecter notre ADN et la placer dans leurs dossiers ? Après tout, l’individu donne son consentement.

Ce qui « pue » dans toute cette méthodologie, c’est qu’isoler aujourd’hui un virus est IMPOSSIBLE, alors où trouvent-ils l’ADN du virus corona pour faire un vaccin, sans parler de faire un test ?

Si vous vous souvenez de mon premier article, j’ai mentionné que des kits de test étaient prêts dès l’été 2019, six mois avant l’épidémie de Chine. Comment est-il possible d’avoir des milliers de ces tests disponibles et prêts à être envoyés sans avoir isolé un virus qui n’était pas encore apparu ?

Pendant que je rédige cet article, les derniers commentaires de Martin Arsmstrong sur les faux positifs arrivent dans ma messagerie. Rappelez-vous s’il vous plaît qu’il ne connaît rien de la NMG.

Lien ici

Je suis sûre que vous vous demandez tous, maintenant que j’ai présenté toutes ces informations, « où cela va-t-il et existe-t-il une conspiration pour contrôler la population mondiale ? »

Personnellement je dis oui. Les preuves s’accumulent et deviennent accablantes, pas uniquement à travers les sites « alternatifs » mais aussi les médias officiels.

Je pense que les mesures prises pour « contrôler une pandémie » sont si déraisonnables et extrêmes que des gens ordinaires qui n’ont jamais cru aux théories conspirationnistes commencent à sortir de leur sommeil. J’espère que cela va continuer parce que la survie de la vie actuelle est en jeu.

J’espère que les gens vont commencer à sortir leur tête de leurs appareils quelques minutes par jour et contempler ce qui se passe dans le monde réel. Reconnaître que notre technologie actuelle est la première phase de la mise en esclavage nous donnera une chance.

Nous sommes déjà tous pistés par nos téléphones et androïds mais nous pouvons les mettre hors service.

La micro-puce, c’est pour le reste de votre vie.

par Apolline

Publié par delta de la Lyre (Profil & Articles associés)