A vaincre sans périls on triomphe sans gloire.

J’avais fois en l’homme tellement attaché à sa sublime perfection, que toute meurtrissure me mis face à la réalité, il n’ai pas sage de chercher un bonheur durable en ses semblables.
J’avais confiance en moi, jusque ce que les circonstances le fruit de mes pensées et de mes actes me mènent literalement aux portes de la mort.J’ai donc fini par accepter qu’il n’est pas sage de chercher le bonheur par soi même.

J’avais confiance en la vie, de sorte que je m’en remetez à elle aux points de risquer la perdre, jusqu’à ce que le courant de la vie me mènent aux urgences. Alors j’ai considéré le fait que faire confiance à la vie n’était pas sage.

J’ai vue que la mort était toute puissante et que peut importe qui ou quoi ce trouvé là elle avait toujours le dernier mot. J’ai donc patienté pour que la mort viennent chercher ce qui me séparais du bonheur. Mais quand elle est venue me chercher et tout faire disparaître . Je fut obligé de constater que tout finissait après un deuil certains par renaitre sous une forme ou une autre.

Alors j’en ai finalement déduit que je ne pouvais reposer ma concience sur quelques chose en ce monde ou en l’autre. La mort ne va pas sans la vie comme la vie n’est rien sans la mort. L’autre n’est rien sans moi comme je ne suis rien sans l’autre .Mais c’est dans l’alternance du jour et de la nuit en le mouvement implacable de l’univers que ce trouvé ma liberté non dans l édification d’une valeur ou principe souverain simplement mais dans l’abandon de toute attente particulière,l’absence d’attente y compris. Reconaissant ma faiblesse suprême face à l’absolue.
Et finalement ma force.. nul ne peut mettre la vérité en boite.