On constate aujourd’hui qu’en ville la panique est plus grande.
Car oui comment une personne ne sachant pas faire pousser un légume , tuer un poulet et aider à la mise bas de ces bêtes pourrait ne pas avoir peur de la vie elle même.

Vivant en une société aseptisée, ou tout est facilitée à l’éxtreme comment pourrais elle être rassurée face à la moindre épreuve mettant en jeux une crise sanitaire , économique et sociale d’ampleur ?
La société génere la faiblesse, la vie au contacte de la nature génere des êtres fort tel est la triste vérité.

Les gens de la ville ,les buraucrates du haut de leur mépris de la vie , finiront par aller chercher de l’aide dans les campagnes .. et la ou la valeur de la vie et de la mort sont connu.