La nature, qui est prévoyante, a découvert un moyen radical contre la paresse : l’estomac. Comme l’homme a faim il est obligé de se débrouiller pour trouver de quoi manger : ou bien il cherche sa nourriture, ou bien il travaille pour l’acheter.
S’il n’avait pas faim, il ne ferait rien, ça c’est sûr.
La nécessité, le besoin sont les seuls remèdes à la paresse. C’est pourquoi il faut laisser les paresseux dans le besoin, car c’est le besoin qui les guérira.
Malheureusement, c’est une vérité que beaucoup de mères ont de la peine à comprendre ; dans leur amour aveugle elles veulent épargner le besoin à leurs enfants, et c’est ainsi qu’elles les poussent à la paresse, à la faiblesse.
Les mères sont capables de comprendre beaucoup de choses, sauf que le véritable amour c’est de faire travailler leurs enfants, car c’est dans le travail que l’on peut tout trouver : la santé, le bonheur, la puissance, le sens de la vie.
« Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie »…
Pour autant ,je ne jouerai pas à ce jeu des provocations si pour comprendre qu’en ôtant la dignité des femmes et des hommes qui se battent quotidiennement pour leurs survies et de celles de leurs enfants en l’absence de choix ou de cases ,les paresseux seraient plus de 10 millions.
Un vent d’autan très puissant au temps clair des confidences.
Le temps au temps ,autant qu’autan…
Le chômage c’est quoi ?
une anti constitutionnalité ?
une aberration ?
Je trouve inacceptable que l’on soit obliger de travailler pour montrer à son entourage que l’on travaille ,peu importe les conditions ,du moment que l’on ne montre plus du doigt ,c’est facile !
On est pas de la nourriture pour les plus paresseux des paresseux ,les derniers de cordés ne meurent pas de faim ,enfin ,si fin.
Restons digne et bienveillant par intelligence et humanité pour bâtir autrement ce que nous avons créé par cupidité.
La misère n’est pas une fatalité ,elle ne l’a jamais été ,on peut agir en commençant par soi ,en ne s’ignorant plus ,en se redressant ,la tète haute ,je ne renoncerai jamais à cette concorde si nous restons solidaires.
Fraternellement autre
Merci Coluche