Message de l’Ami reçu par Agnès Bos-Masseron

Il n’a jamais été dans le plan divin que le Seigneur soit saint et que l’humanité accepte la servitude, servitude par rapport aux croyances, servitude par rapport aux institutions, servitude par rapport à quelque petitesse. Vous le savez, j’ai foulé les routes des hommes pour que soient brisées les chaînes de servitude. Oser.
Il est vrai, nous ramenons les voies de l’intense. Intense les voies de perfection, intense la joie d’être le dévot de la perfection. Être dévot, c’est incarner.
Je l’ai dit « Je Suis la porte ». Prendre la porte, c’est suivre ce regard que Je Suis, l’infini de l’amour qui tient dans ce regard l’évidence que seul est Cela.
Les écritures l’ont dit : « Marche à mes côtés et sois parfait ». Par dévotion simplement, être miroir de l’éternel, le glorifier. Oser. J’ai brisé les chaînes, alors pourquoi s’accrocher aux bribes des chaînes brisées ?
Il est vrai, selon l’histoire du temps linéaire, l’humanité est à la porte. Deux voies : l’une celle de l’ouverture, de l’évidence, l’autre de l’attachement aux habitudes imprimées dans les bribes des chaînes. Pourtant les chaînes sont brisées.

Publié par Satyam (Profil & Articles associés)