Un proverbe arabe dit qu’il existe quatre catégories d’hommes. Les premiers sont tellement limités mentalement qu’ils ne savent pas qu’ils ne savent pas.
Pour eux, il n’y a rien à faire, laissez-les.
La deuxième catégorie se compose de ceux qui savent qu’ils ne savent pas ; ils sont sincères, remplis de bonne volonté, instruisez-les.
Dans la troisième catégorie, il y a ceux qui ne savent pas qu’ils savent, ils sont endormis, réveillez-les. Dans la quatrième catégorie on trouve quelques êtres, très rares, qui savent qu’ils savent.
Ce sont les sages, les Initiés, et le proverbe dit : suivez-les.
L’écriture inclusive mais quel débat !?
Un substantif superlatif qui se veut d’unité ,d’égalité et de fraternité !
Le problème n’est-il point l’inverse ?
Les Hommes et les Femmes sont-ils égaux ?
Ecrire de sa main ,la calligraphie de l’âme ,un sursaut de bonheur ?
Les gens savent-ils toujours écrire ?
Dessinez vos envies ,écrivez vos pensées ,gravez vos idées mais ne dîtes plus nous ne savions pas ,nous ne comprenons pas ,nous apprenons à devenir meilleur et en quoi l’inclusivité de mes souffrances seraient-elles plus audibles ?
Nous sommes le chemin
Pour que l’homme en rabatte , extrait de « Conversations avec Dieu » de Neale Donald Walsh :
-… » tout est cyclique, y compris la vie. Le fait de comprendre la vie de l’univers t’aidera à comprendre la vie de l’Univers qui se trouve en toi.
La vie se déroule de façon cyclique. La vie a un rythme naturel et tout suit ce courant. Ainsi, il est écrit : « Pour chaque chose, il est une saison ; et un temps pour chaque Dessein sous le Ciel. »
Sage est celui qui comprend cela. Habile est celui qui l’utilise.
Les gens qui comprennent le mieux les rythmes de la vie, ce sont les femmes. Elles sont en phase avec la vie même.
Les femmes sont davantage capables de « suivre le courant » que les hommes. Les hommes veulent pousser, tirer, diriger le courant. Les femmes en font l’expérience, puis s’y fondent pour produire de l’harmonie.
La femme entend la mélodie des fleurs dans le vent. Elle voit la beauté de l’invisible. Elle sent les saccades, les tiraillements et les poussées de la vie. Elle sait quand il est temps de courir, et de se reposer ; de rire et de pleurer ; de s’accrocher et de lâcher prise.
La plupart des femmes quittent leurs corps avec grâce. La plupart des hommes résistent au départ. Les femmes traitent aussi leur corps d’une façon plus gracieuse, lorsqu’elles sont dans leur corps. Les hommes traitent leur corps d’une façon horrible. De la même façon qu’ils traitent la vie.
Bien entendu, il y a des exceptions à toute règle. J’exprime ici des généralités. Je parle de la façon dont les choses se sont passées jusqu’ici. Je parle dans les termes les plus généraux. Mais si tu considères la vie, si tu t’avoues à toi-même ce que tu vois, ce que tu as vu, si tu reconnais ce qui est, tu trouveras peut être de la vérité dans ces généralités.
Mais ça m’attriste. ça me donne l’impression que les femmes sont d’une certain façon, des êtres supérieurs. Qu’elles ont davantage d’ « étoffe » que les hommes.
Une part du glorieux rythme de la vie est le yin et le yang.
Un aspect de l’ « Être » n’est ni « plus parfait » ni « meilleur » qu’un autre. Les deux aspects sont tout simplement, et merveilleusement cela : des aspects.
De toute évidence, les hommes incarnent d’autres reflets de la Divinité, que les femmes considèrent avec tout autant d’envie.
Mais on a dit que le fait d’être homme était votre terrain d’épreuve, votre période probatoire. Lorsque tu auras été un homme suffisamment longtemps ; lorsque tu auras suffisamment souffert à cause de ta propre stupidité ; lorsque tu auras infligé suffisamment de douleur à cause des calamités que tu auras créées, lorsque tu auras suffisamment blessé les autres pour faire cesser tes propres comportements, pour remplacer l’agressivité par la raison, le mépris par la compassion, l’obsession de gagner par l’attitude qui consiste à ne faire perdre personne, alors tu pourras devenir une femme.
Lorsque tu auras appris que la raison du plus fort n’est pas la « meilleure » ; que la force ne consiste pas à avoir du pouvoir sur, mais du pouvoir avec ; que le pouvoir absolu n’exige absolument rien des autres ; lorsque tu auras compris ces choses, alors tu pourras mériter de porter un corps de femme, car au moins, tu auras compris son Essence.
Une femme est vraiment meilleure qu’un homme ?
Non ! Pas « meilleure » : différente ! C’est toi qui émets ce jugement. Rien n’est « meilleur » ni « pire », dans la réalité objective. Il n’y a que ce qui Est, et ce que tu veux Être.
Le chaud n’est pas meilleur que le froid, ni le haut meilleur que le bas ; c’est un aspect que j’ai déjà expliqué. Par conséquent, le féminin n’est pas « meilleur » que le masculin. Il est tout simplement ce qu’il Est. Tout comme tu es ce que tu es.
Mais aucun d’entre vous n’est restreint, plus limité qu’un autre. Vous pouvez Être ce que souhaitez Être, choisir ce dont vous souhaitez faire l’expérience, en cette vie, dans la prochaine, ou la suivante après celle-là, tout comme tu l’as fait dans la vie précédente. Chacun de vous a toujours le choix. Chacun de vous est composé de Tout. Il y a du masculin et du féminin en chacun de vous. Exprimez et éprouvez l’aspect de vous-même qu’il vous plaît d’exprimer et d’éprouver. Mais sachez que tout cela est ouvert à chacun de vous. […]