.
.
LA PEINE DE VIVRE
.
.
ÊTRE : je souris un temps
Le temps passe et lasse….
E : je ne souris plus
Où sont passées joie et lumière ?
Elles ne sont plus ici.
Qui suis-je sans elles ?
Je veux partir
.
E : Laissez-moi mourir en paix. Otez de mon corps toutes ses machines infernales qui distillent leur souffle de vie mécanique.
Pourquoi me laissez-vous ainsi vivre cette souffrance.
J’ai mal, tellement mal que je n’arrrive plus à trouver la force d’aimer ce qui m’entoure.Je vois mon ombre dans vos yeux et cette peur, surtout cette peur…
J’ai honte de moi
J’ai honte de vous qui me laisser ainsi me noyer dans ce corps qui pourrit.
Ne puis-je décider de vivre ou de mourir.
Qui suis-je ?
Qui a le droit de choisir pour moi ?
.
.
.
.
.
.
Je crie mais plus personne ne m’entends, je suis lasse.
J’ai mal, si mal.
Ne me laissez pas.
Aidez-moi, je vous en prie.
Je suis en danger de vivre.
La lumière et la joie sont dans la mort de ce corps qui pourrit.
Ne me refuser pas ce geste.
JE VEUX MOURIR EN PAIX ET DIGNEMENT
Le douloureux cas de Chantal Sébire a ravivé le débat sur l’euthanasie en France. Le gouvernement exclut pour l’instant de modifier la loi Leonetti sur la fin de vie, mais demande à l’évaluer. Le Conseil de l’Ordre des médecins « réfléchit » à « l’assistance médicale à la mort délibérée
.
.
.
.
.
Je regarde cette Etre que j’aime et qui n’est plus qu’un fantôme
Son corps décharné flotte sur ce lit d’hôpital.
De sa bouche ouverte, ce râle, ce souffle, le dernier..
Sur moi, posé ce regard dont je ne reconnais plus la couleur et qui me donne honte..
Honte de ne pas avoir fait ce que tu m’as demandée.
Honte quand je vois ce pansement autour de ton poignet qui cache l’entaille que tu as trouvé encore la force de faire avec le couteau en plastic que l’on avait mis dans ton plateau repas que tu ne manges plus depuis longtemps.
Honte de t’avoir laissé mourir dans de telles souffrances !
Pardonne-moi, pardonne-moi !
.
.
.
Si l’on ne se résigne plus aujourd’hui à la fatalité du Mal, d’autres questions surgissent : la science est-elle seule compétente ?
Ne rencontre-t-elle pas ici les limites même de ses prérogatives ?
Souffrances vécues ou représentées sont-elle intemporelles et universelles, ou marquées du sceau de l’époque, de la culture où de la civilisation…que nous savons désormais « mortelle » ?
Le dualisme corps/esprit a-t-il finalement un sens ?
Le droit de vivre et de mourir sans douleurs ouvre peut-être à une nouvelle revendication :
Celle d’un monde sans souffrance ? !!!!! .
.
.
.
.
.
fr.news.yahoo.com
Que les choses soient claires. Aujourd’hui, nous sommes toujours fasse au même dilemme concernant le sujet de l’euthanasie..
Le cas maintenant de ce médecin que l’on éprouve comme s’il était un assassin et qui n’a fait que ce que d’autres osent faire en silence et en cachette pour aider les personnes en fin de vie à mourir dans la dignité…
Les informations sont à ce point devenues un feuilleton « plus belle la vie » que j’ai honte d’être cet homme du 21ème siècle qui regarde en rongeant son frein et dans le coeur la tristesse de comprendre que nous sommes en train de nous dégénérer belle et bien dans notre pure image :
celle de l’homme conscient de son humanité…
Alors aujourd’hui, si cet homme, qui a fait de son temps le voeux de guérir et d’accompagner ses semblables sur le chemin de la vie sur terre, ne peut prétendre être reconnu dans le courage de ses actes que nombre ne pourrait effectuer, je donne peu de chance à notre espèce…
.
.
Le combat qui est engagé ne doit pas être vain et nous devons faire face avec lui…
Lorsque l’on atteint d’un cancer par exemple, chaque cas est soumi à un protocole particulier qui est mis en place par plusieurs medecins qui définissent ensemble et régulièrement la marche à suivre suivant l’évolution de la maladie…
Pourquoi n’en serait-il pas ainsi pour les personnes en fin de vie…
J’ai vu des gens comme le dit Maori supplier pour qu’on les aide à mourir..J’en ai vu d’autres etre trop faibles pour le demander…Mais dans le yeux…..
Je pense qu’il s’agit tout simplement d’un manque total de cet humanité dont on se targue..
Nous sommes à ce point dégénéré que nous ne sommes pas capables d’assumer et d’accompagner celui qui le demande sur le chemin de la mort, parce que nous en avons tellement la trouille, de la mort…
.
.
On euthanasie bien les animaux alors pourquoi n’aurions nous pas ce privilège…
Aujourd’hui, j’ai toujours le regret amer de ne pas avoir donné à ma grand-mère ce qu’elle suppliait de faire parce que je n’avais pas à l’époque le recul nécessaire et surtout trop impliquée émotionnellement dans la situation.
Je sais que si le cas devait se reproduire, je ferai en sorte de le régler de façon à ce que ni le mourant, ni ceux qui soient autour ne subissent la mort comme un calvaire mais plutot comme un départ honorable vers d’autres espaces…
C’est le moins que nous pouvons faire pour accompagner dignement cette vie, cette mort…
Un internaute a dit :
« Pourquoi as tu besoin de l’approbation des autres dans ce cas là ? Agir en son âme et conscience est bien différent de faire des sempiternels discours ; ce n’est pas de la politique la vie et la mort… »
Personnellement, je n’aurai plus besoin de l’approbation des autres si je devais agir pour une personne proche…D’ailleurs, aujourd’hui et pour ceux qui m’entourent, je suis à disposition et ils le savent…
Nous en avons parlé longuement..
C’est important de connaitre sa mort et sa volonté de la vivre
——————————————————————————–
mesopinions.com
Voici un témoignage en live d’un infirmier urgentiste, réanimateur sur le sujet…
Le métier d’infirmier est un métier d’amour de Soi et d’amour de l’autre ; qui dit amour dit empathie.
Quand on donne, on reçoit plein de choses : l’amour, la vie, la joie, la peine, l’agressivité, la haine, la mort..
Lorsqu’on exerce ce métier de soignant, il faut apprêter à donner la vie, à supporter la douleur et à regarder la douleur.
Ne nous voilons pas la face. Les occidentaux n’acceptent pas la mort. Les orientaux : oui ; en tout cas bien plus.
Il faut certaine fois prendre des décisions seules car vous êtes en face d’une douleur si atroce que vous ne la souhaiteriez meme pas pour votre pire ennemi.
Personne ne prend de décisions à l’heure actuelle en ce qui concerne l’euthanasie. Tout le monde tergiverse et considère la mort comme un échec, enfin surtout les soignants ; en réalité, la mort fait partie de la vie.
Nous donnons la vie et nous pouvons aussi donner la mort.
La décision est dure à prendre.
Mais face à la douleur du malade ou au fait que la médecine est inopérante, la douleur des familles parfois…Il faut que quelqu’un prenne des décisions et se mette hors la loi et soulage la souffrance.
Alors oui le Docteur Bonnemaison a eu raison. J’ai cependant honte de mes collègues, surtout de leur délation. Ils ont eu le courage de le « balancer » mais pas le courage de discuter avec lui et de partager ses opinions.
Ces infirmiers ne sont pas claires avec la mort. Ils devraient faire un travail sur eux. Travailler en collaboration avec le médecin, c’est aussi l’épauler dans les bons comme dans les mauvais moments.
C’est un couple de soignant qui signe un contrat.
J’ai bien envie de dire un contrat d’amour mais c’est presque ça…
J’ai moi-même aidé certaine personne à partir !
Cela à été difficile pour elle et pour moi. J’y pense quotidiennement mais je ne regrette rien.
Je soutiens le docteur Bonnemaison dans sa démarche et je souhaiterai enfin qu’une loi sur l’euthanasie soit votée afin que tout quiproquos soient dissipés.
Le docteur Bonnemaison reste un sauveur de vie car meme lorsqu’on donne la mort, on sauve la vie.
Je remercie cette personne pour avoir eu le courage de venir témoigner…
à suivre d’autres interviews…
oui tout à fait. D’ou des comportements différents dans le deuil.
et la mort peut aussi etre vue comme une délivrance des conditions de ce monde.
Depuis que j’ai fait l’experience de quitter mon corps (j’avais 19a), la mort n’est pas pour moi une fin en soi, bien au contraire.
Vie qui commence à la conception.
Une fois les expériences de vie achevées, le chemin de vie parcouru, chacun tire sa révérence.
Rien ne sert de s’accrocher ou de vouloir garder « égoïstement »/par peur les autres.
ça l’est.
oui et rien de paradoxale à cela.
« Rien ne sert de s’accrocher ou de vouloir garder « égoïstement »/par peur les autres. »^
youtube.com
[i]
…
…, le changement existe … , …
…, mais pas la mort …
[i]
…, si nous sommes identifiés à ce corps … alors la mort est appelée … » mort » …
… , c’est une transformation de véhicule …
[/i]
Quand viendra ton moment, tu te rappeleras certain de tes maux et là tu verras o combien tu étais loin de ton sujet…Mas à ce moment là tu n’auras d’autres alternatives que de te prendre vraiment en charge totalement…
La mort n’épargne personne et la façon dont elle procède mérite qu’on s’y attache
[i]
nous mourrons chaque jour un peu plus à nous-même … quand nous osons nous regarder …, …
… , il n’est pas nécessaire d’attendre la mort pour la vivre …, … elle vient quand l’être ose franchir le pas … être au delà …
l’être conscient travaille dans sa vie à être sans cesse plus juste dans la conscience impersonnelle … il s' »extirpe » pas à pas de la croyance dans sa vie … , … personnelle …
l’être peut parfois sortir de son corps … , … ensuite de la matrice …
l’être qui attend la mort pour la vivre est l’égo …
… il sait qu’il a une fin … , … il l’attend …
la mort est une compagne dans nos vies … , … elle nous accompagne dans nos changements … , … l’enfant meurt à l’adolescence … puis à l’adolescence … , … c’est naturel …
l’amour …, … le regard …, … toute ces choses que les gens aiment ou regardent sont au delà du corps …, … notre corps agit simplement en filtrant certaines énergies …, …
… il les rend à son image … , à notre histoire …
… savoir regarder les choses sans être identifiés à nos émotions … nos certitudes … nos » positions » …
on ne meurt jamais
on change sans cesse …
Je ne peux t’en vouloir l’unidividu de vouloir échapper à ton propre reflet parce qu’il te fait peur…
Mais sache qu’un jour où l’autre, tu seras confronter à tes paroles dans une situation où tu devras agir véritablement…
Ainsi devant une personne aimée qui est en fin de parcours et qui demande, qui supplie pour qu’on l’aide à mourir…Là, volerons en éclat tes principes naïfs et tu pleureras comme un nourisson qui sort du ventre de sa mère…
Ne sachant que faire….Alors tu replieras ton égoisme vers l’autre ou si tu as quelques courages, tu feras le geste demandé…
Un conseil, va donc passer du temps dans un service de soins intensifs et notamment où il y a des enfants…
J’ai passé deux semaines tout près du coeur de la mort !
Confrontée… Merci De rien…
J’ai été traumatisée mais aujourd’hui je suis surtout avertie et disposée à élever le débat de l’euthanasie active au-delà de ce qu’il projette sur la plupart des hommes : la mort comme un non sens à la vie…
Et tu sais très bien, que de cela, tu n’as pas encore fait le point..
Mais je te le répète, cela va venir….Et tu te souviendras de ce qu’à dit la Yaris….
[i]
… elle laisse des bouts d’elle de par-tout … , … dans la vie …
l’être qui s’identifie à ce qui est » cassé » … , … comme la souffrance par exemple … , … laisse un bout de sa conscience dans cet » endroit » …
… c’est un endroit énergétique …
… je vois que tu es cassée Yaris … , … ta conscience est » éparpillée » …
… les bouts sont séparés …, … tu existes dans plusieurs mondes à la fois …, … parfois tu es en paix … , … d’autres fois non …
la conscience se bloque là ou elle n’est pas » ré-intégré » à l’amour …
… quand un être souffre de quelque chose … il place … nous placons notre conscience sur cela …, … elle se délocalise et devient » duelle » … , … elle est séparée …
… ton traumatisme est lié à la peur de la mort … de mou-rire …, … ta conscience a été placé dans une image de souffrance … , … souffrance du passage …, … cette vérité est intégrée en toi et malgré les vérités que tu lis … l’énergie bloque … , … un bout de ta conscience doit être nettoyée et ré-intégrée …
que le soleil te bénisse … qu’il éclaire tes zones d’ombre …, qu’il te guérisse …
[i]ce que tu as vécu était faux … , … nos consciences se focalisent sur des souffrances … , …
… elles deviennent réels peu à peu … , … notre regard existe dans cela …, … la souffrance grandit … , … elle devient de plus en plus réel à nos yeux car notre conscience souffre … , … elle est dedans …
la lumière quand elle rentre en nous pénètre ces zones d’ombres …, … elle va rechercher les fragments séparés … les libère …
travaille la lumière …, … de même que l’ombre nous a tous traumatisé ici par notre regard dirigé … , … la lumière prendra sa place ….[/i]
Dire qu’une chose est fausse, c’est aussi penser qu’elle pourrait être vrai..Et là tu te trompes en jouant sur les deux tableaux lorsque cela t’arrange.
Nos consciences se folcalisent sur la souffrance dans l’empathie qui est chère à ton unité ; et il n’y a aucun mal à cela, bien au contraire ; cela permet le travail sur Soi et surtout la compréhension de l’autre dans la tolérance…
Aider une personne en fin de vie est un point important qui n’est nullement aujourd’hui abordé de façon efficace et c’est pour cela qu’il y a des dérapages…
Maintenant tu peux toujours délester ton manque de courage, tes incomprehensions en t’idenfiant, en te projettant à travers moi…
Là est le point d’unité qui nous relie tous dans ce qu’il y a de faibles ou de forts en nous ; ainsi ce que tu appelles traumatismes et que moi j’appelle prise de conscience reste un chemin ineductable par lequel nous sommes tous obligés :
tous obligés…
Quant à moi, je choisis toujours le chemin ardu ; celui qui correspond aux besoins de mes recherches et si c’est parfois difficile, j’en retire un bénéfice ; le bénéfice du doute ! héhéhéhéhé !
je te rappelle encore une fois que tu n’as pas travaillé certains importants et qu’il serait efficace que tu te diriges véritablement vers des unités de soins palliatifs et restent un peu au contact des personnes en fin de vie et de leur famille : ton discours deviendrait alors une prose idiote et regarder comme irrespectueuse !
Pas nécessaire de « travailler » aux soins palliatifs, car alors on est formé à ce travail sans véritable état d’âme; je pense…
Nous sommes TOUS confrontés 1 jour ou l’autre aux départs de proches qui ont baissé les bras, et qui subissent la décrépitude par manque d’énergies combatives…
La vie en 3D est 1 combat permanent
Alors, notre « Amour » sans peur, sans reproche », doit guider nos décisions.
– sachant que « la mort n’existe pas » telle que nous la prévoyons (!)
– que ce n’est qu’1 passage de l’ombre à la Lumière (!)
Airs connus
C’est le moment d’appliquer nos convictions ou notre foi profonde face à l’événement.
C’est juste mon opinion, parmi tant d’autres, sans polémiquer.
« Nous sommes TOUS confrontés 1 jour ou l’autre aux départs de proches qui ont baissé les bras, et qui subissent la décrépitude par manque d’énergies combatives »
ya comme un hic dans cette phrase……
Ya comme un hic dans cette phrase……
YA ris ! des « hics » y’en a PARTOUT !…
Il suffit d’en être CONSCIENT (E) !
Sans décortiquer inlassablement les expressions de l’autre !!!
ça use ! pas que les souliers … rire !
Tu penseras a moi le jour de ta mort…
Tu penseras a moi le jour de ta mort…
Répondre
Pkoi écrire 1 telle chose ? ya ris ?
pas tout compris cette arrogance de ta part !!!
J’aurai vraisemblablement, bien d’autres pensées pour ceux nombreux pleins de mérites, qui m’ont accompagné au cours de ce voyage.
Et tôa, tu penseras à môa, le jour de ta mort ???
nordeclair.fr
Non je ne penserai pas a toi le jour de ma mort mais toi, oui !
Je te souhaite d’avoir auprès de toi, les personnes suffisamment abouties pour t’aider au passage ‘
Moi je serai la, présente !
Les reptiliens ne meurent pas ! … ?
[i]
… ils ne sont pas éternels …
LES CONS SI….
Et dis moi ça fait quoi ?
aquitaine.france3.fr
Le fait important est que les familles des personnes décédées n’ont jamais porté plainte..
Alors maintenant face à une délation formulée mais non exposée puisque les personnes qui dans leur irresponsable agissement n’ont pas le courage de venir faire une déclaration publique ; je dis que nous avons là un belle exemple d’humanité à double vitesse…
L’euthanasie ainsi que l’eugénisme sont des sujets majeurs que nous devons aborder de façon responsable..
Il en va de la survie de notre espèce…
eitb.com
Petite histoire personnelle…
Un proche en fin de vie a subi une maltraitance par l’équipe médical car le médecin chef était un catho qui je le cite à eu ces propos :
« – Je ne peux intervenir et donner la mort, ce n’est pas dans les prérogatives de mon service et c’est moi qui le gère »
Alors si les prérogatives d’un médecin est la vie à tout prix au point de laisser souffrir et pourrir une personne dans un lit d’hopital, je me demande si vraiment sous le joug d’une éthique religieuse, le droit d’imposer la mort comme un chemin de croix est humain…..