Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron

Ne laissez jamais s’installer la croyance que ce qui semble être des ans qui passent peut restreindre le fonctionnement corporel. Lorsque vous marchez en pleine conscience dans le temple nature, le corps ne peut qu’être régénéré. Lorsque vous vivez en pleine conscience dans le temple qu’est la vie, le corps ne peut qu’être éternellement régénéré. Le ramener à la vitalité infinie de l’éternelle jeunesse.
Vous avez les outils, l’outil du dynamisme qui se cultive, l’outil de vision. Lorsque vous regardez vos corps dans les miroirs, regardez l’empreinte de l’éternelle jeunesse. Regardez cette empreinte avec passion, non la passion de quelqu’un qui voudrait s’accrocher à vouloir voir son corps rajeunir, mais la passion de ceux qui savent que la seule réalité du corps lumière est l’éternelle jeunesse. Le reste n’est que masques, et comme tous masques, il convient de les déposer.
Vous le savez, les apparences ne sont que les résultantes des croyances et de l’attention. Pour que les apparences changent, changez les croyances et votre mode d’attention. N’attendez jamais que les apparences changent pour changer vos croyances, car cela n’est pas la loi. La loi est que les apparences ne sont que la résultante des croyances et de la façon dont l’attention est offerte, et de l’objet de l’attention.
Gardez votre attention sur le corps de lumière. Cela paraît peut-être abstrait mais l’attention donne vie. Dynamisez les corps. Ne cultivez jamais les croyances que les ans qui semblent passer peuvent amener de façon irrévocable une diminution des fonctions corporelles. Cela n’est pas le cas.
Souvenez-vous, souvenez-vous des civilisations d’harmonie. La nature est le lieu de demeure, et les êtres par pure joie cultivent le dynamisme du corps. L’on peut sauter jusqu’aux étoiles. Cela n’est pas une image, cela fait partie des possibilités corporelles. L’on peut aller explorer le fond des océans. Cela n’est pas une image, cela fait partie des capacités corporelles. Le corps est lumière, le corps est le temple. La vie est le temple et l’être est le temple vivant…
…Si vous choisissez de déposer les croyances dans l’inévitable de la venue de restrictions corporelles, et que vous choisissez d’aimer le corps comme on aime le divin, de le dynamiser par passion, service et joie, de le ramener avec patience infinie, l’écoutant à l’infini, l’entraînant avec la pleine vigueur de ceux et celles qui se savent la flamme vivante, alors le corps rajeunit et tout se régénère.
Souvenez-vous, les apparences ne sont que la résultante des croyances. Ne laissez jamais des croyances se forger par les apparences. Apprenez à comprendre en conscience quelles sont les croyances puisque les apparences en sont les résultantes. Et si les apparences ne correspondent pas à vos intentions profondes, alors changez les croyances. Déposez-les avec vigueur. Tranchez les cordons qui vous relient aux croyances, et particulièrement les croyances de ce collectif de l’humanité qui a oublié ou choisi d’occulter que l’humanité est divine, que le corps est lumière et que la nature tout entière s’est faite temple.
La Terre, vous le savez, s’est faite temple pour que l’être humain vive cette grandiose expérience de la pleine conscience de sa divinité. La Terre n’a jamais choisi de se faire temple du corps de souffrances ou de restrictions. La Terre est temple, et les temples des hommes n’en sont que des répliques lorsqu’ils ont oublié qu’il n’est point besoin de construire des murs car l’infini n’est jamais enserré dans des murs. Elle chante au cœur des pierres, des rocs, des arbres, des herbes, des fleurs, de l’union entre Terre et Soleil. Elle chante l’hymne de louanges à la vie. Et c’est bien cela qu’est un corps, n’est-ce pas ?
L’hymne de louanges à la vie, ramenez-le à cela. Ramenez-le à cela. Rien ni personne ne peut vous en empêcher, si ce n’est le laxisme qui fait qu’on oublie et qu’on laisse des facultés corporelles s’amoindrir. Car la stagnation ne fait pas partie du mode de fonctionnement du corps humain. Le corps humain est fait pour être nourri de vitalité, d’enthousiasme, de passion, de joie, de mouvement, de tendresse. Le corps humain est le temple. Alors ramenez-le à sa pleine vigueur et choisissez de marcher chaque pas dans la joie. Choisissez la marche de la vigueur, à l’écoute du sacré au sein du corps qui rencontre le sacré au sein du temple qu’est la nature.
Vous voyez la beauté de l’exaltation qu’est la marche. Lorsque vous marchez, unissez-vous au sacré au sein du corps qui vient rencontrer le sacré qu’est le temple de la nature. Tout toujours peut se régénérer. Et n’oubliez pas, ne laissez pas des apparences consolider des croyances. Servez-vous des apparences pour ramener en conscience des croyances et les déposer. Et cultivez la vitalité. Cultivez la vigueur et surtout, surtout, cultivez la tendresse et la joie…
… Cela est l’un des faits très erroné de cette civilisation qui se croit avancée et qui est retournée bien en deçà de la préhistoire. De quoi sont fiers des êtres humains qui acceptent de concevoir que le corps qui est lumière doit inévitablement vieillir et arrêter son fonctionnement après si peu d’années. Car même quatre-vingts ans, vous le savez, ce n’est que très très peu d’années par rapport à ce qu’est la longévité normale d’un être humain. Ils disent que quatre-vingt-dix ans est un âge très mûr. Non. Pour l’humanité, nous pourrions dire que cent-cinquante années s’approchent de la maturité parce que cela permet aux ans qui passent de rejoindre l’éternité et au corps de se glorifier jusqu’à retrouver l’inévitable de l’immortalité.
Il faut bien un temps de maturation. Cette maturation ne peut se faire que dans une vitalité toujours accrue. Entraînez vos corps. Nourrissez-les de croyance vraie. La seule croyance est que seule est la lumière, que le corps est lumière et que l’une des grandes lois de fonctionnement du corps est la loi du mouvement, et que la stagnation n’a jamais fait partie des lois de l’incarnation ou de la vie.
Déposez les habitudes de stagnation ou de laxisme. Elles n’ont permis à l’humanité que de retourner en deçà de la préhistoire, peut-être quelques soi-disant progrès qui n’ont amené que déséquilibre des lois naturelles. Car l’on ne peut contrôler la puissance de la vie. L’on peut s’y harmoniser, on peut l’écouter, on peut la servir, mais qui oserait croire la contrôler ?
Retrouvez le sens normal de l’être humain. Le corps alors s’élance et grandit. Très grands sont les corps éveillés, tels les corps de ces membres de la fraternité qui viennent vous rencontrer pour vous ramener, et à travers vous pour ramener à l’humanité le vrai visage de l’humain divin et la réalité du corps lumière.
Ne laissez jamais des apparences justifier les croyances et justifier des modes de comportement qui pourraient accepter quelque impossible. Marchez le pas qui régénère. Le pas qui régénère est celui qui est à l’écoute du temple au sein du corps, venant rencontrer le temple de la nature. Le pas qui régénère est celui qui offre la joie et la vitalité à chaque cellule, à chaque organe, à chaque particule du corps. Lui offrir éternellement la joie et la vitalité par l’intention et l’attention. Cela est le pas qui régénère et qui rajeunit. Ainsi vous pourriez marcher toute la surface de la Terre et vous retrouver embrasé, éveillé, régénéré, ayant ramené votre corps à l’éternelle jeunesse.
Ne laissez jamais les apparences justifier les croyances. Les apparences ne sont que les résultantes des croyances. Offrez les croyances. Eveillez-vous. Ramenez la vision juste, cent-cinquante ans peut être, pour que mature la pleine puissante de la structure du corps.
Ainsi le temps rejoint l’immortalité. La dégradation, le vieillissement n’ont jamais fait partie du plan originel du corps humain. Jamais. Déposez la croyance.
Et régénérez en marchant simplement et en offrant la joie et la vitalité à chaque partie qui semble dégénérée. Offrez la joie, la vitalité, l’amour et la tendresse, et gardez la vision de ces corps élancés, le corps humain divin.
Ne laissez pas le collectif qui s’est rabaissé en deçà même du standard humain de la préhistoire, servir de standard. Ils ont oublié. Le collectif humain est un collectif de grande amnésie. Ils ne savent plus les lois. Ils croient avoir compris le contrôle. Le contrôle n’a jamais fait partie du plan de l’incarnation. Qui pourrait contrôler la pleine puissance, alors qu’il suffit d’être en harmonie avec la pleine puissance ? La servir, la laisser couler en soi, l’amplifier, l’honorer à travers son incarnation, l’écouter, en exulter, être exalté et ainsi régénérer son corps avec toujours plus d’ardeur, de vigueur, de joie.
Le collectif de l’humanité est en grande amnésie. Effacez en conscience de vos structures, de vos neurones, de vos cellules, les croyances de ce collectif en grande amnésie. Ils ont oublié toutes les lois. Ils ne leur reste que celles du contrôle, et voyez où les amène le contrôle, un corps qui dégénère à peine après quelques dizaines d’années. A peine.
Quatre-vingts ans n’est pas la vieillesse, c’est le temps du début de la maturation vers le jaillissement. Quatre-vingts ans est le temps de la pleine énergie. C’est le temps où les cellules ont suffisamment appris la danse de l’harmonie pour danser avec les étoiles. C’est le temps de la joie, de la jeunesse éternelle. C’est le temps de l’ouverture au tout est possible. Déposez les croyances de ce collectif amnésique. Ils ont tout oublié sauf les lois du contrôle. Ils ne savent plus ce qu’est un corps. Ils ne savent plus quelles sont les lois.
Déposez leurs croyances. Vous le pouvez si vous comprenez que le plus grand frein est la stagnation et le laxisme. Vous le pouvez si vous choisissez dans tous les moments de votre vie la marche de la joie, que ce soit à travers la marche du corps, celle du fonctionnement mental, celle des sentiments les plus fins ou celle de l’ego qui exulte lorsque la vie est offerte à l’infini.
Ne laissez plus les croyances des civilisations amnésiques tout occulter. Souvenez-vous, des apparences ne peuvent jamais justifier les croyances. Elles ne sont qu’un signe que les croyances sont à transformer, être offertes, être remplacées par la vision claire de ce qu’est l’humain divin.

Auteur : Agnès Bos-Masseron
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Publié par Satyam (Profil & Articles associés)