En octobre 2005, nous avions diffusé sur ce site le témoignage du contacté argentin Marcelo Martorelli qui se préparait alors à participer à une étonnante expédition à destination de la Terre Creuse au cours de l’été 2006. En compagnie de l’explorateur américain Steve Currey et d’une équipe de scientifiques, de journalistes et d’invités, il était censé rejoindre le Pôle Nord à bord d’un brise-glace nucléaire loué à la marine russe (Cf. notre page Destination Terre Creuse), puis y être accueilli par des représentants du Peuple Intérieur et guidé jusqu’à leur royaume.

Ci-dessus : Photo prise au-dessus du pôle nord de la Terre, mission STS75, 1996
Ci-dessous : Marcelo Martorelli et Steve Currey

Certains de nos fidèles lecteurs nous ont donc écrit pour nous demander pourquoi cette expédition n’avait finalement pas eu lieu.

Aux dernières nouvelles, il ne s’agirait que d’un report d’une année. L’expédition devrait donc débuter fin juin 2007.

Il semble qu’il y ait eu à ce report deux principales raisons.

La première est d’ordre strictement matériel et financier : les organisateurs n’ont en effet pas réussi à réunir à temps un nombre suffisant de participants pour lever les fonds nécessaires à la location du brise-glace.

Il faut savoir que le montant demandé par les Russes pour cette location est absolument faramineux, ce qui explique le prix lui-même exorbitant des droits de participation à l’expédition, tels qu’ils avaient été initialement fixés.

La grille des tarifs proposés (qui n’étaient pas si éloignés de ceux pratiqués par la FKA – l’agence spatiale fédérale russe – qui propose aux aventuriers milliardaires de visiter l’espace à bord d’un vaisseau Soyouz, à cette seule différence que la facture était ici à diviser par le nombre de passagers payants), semblait très élevée à la majorité des postulants à l’aventure. Un report d’une année du départ de l’expédition a donc finalement été décidé, le temps de réunir de nouveaux participants et de trouver de nouveaux sponsors.

Mais il existe sans doute une autre raison à ce report : une raison d’ordre spirituel. Il faut en effet savoir que ce projet de voyage présente certains risques, comme toutes les expéditions polaires, mais que les dangers encourus ne sont pas seulement d’ordre physique.

Les spiritualistes aussi bien que les scientifiques ont souvent tendance à se comporter comme des papillons dans l’obscurité. La nuit, les papillons sont attirés par la lumière, ils se dirigent instinctivement vers elle, mais il leur arrive parfois de venir se brûler les ailes contre une lampe ou une bougie. Chacun a entendu parler d’Icare et de sa fascination envers le Soleil, et chacun sait qu’il en est mort. Mais combien d’Icares des temps modernes ont également perdu la vie au cours des décennies passés, simplement parce qu’ils avaient présumé de leurs forces, de leur pureté et de leur intégrité, et s’étaient laissés emporter par leur curiosité et leur soif de nouvelles connaissances et de nouvelles aventures !

Qui dit contact avec le Peuple Intérieur dit échange avec des êtres réalisés, des êtres qui vivent en harmonie avec la permanente Lumière, ce qui nécessite évidemment une préparation, une mise à niveau. Il y a tout un cheminement intérieur à parcourir avant de s’en montrer digne. Et il est bien possible que certains des futurs membres de l’expédition n’étaient pas encore tout à fait prêts vibratoirement à vivre cette rencontre.

Voici en tout cas certaines clés qui pourront aider tous les aspirants sincères à cette merveilleuse aventure, qui est d’abord et avant tout – répétons-le – une aventure spirituelle.

Les textes qui suivent concernent la vie, les espoirs d’un peuple qui nous est proche, mais qui habite dans d’immenses cavités à l’intérieur de la Terre, à l’abri des regards et des convoitises de nos gouvernements et de nos multinationales.

Ces messages ont été transmis par un Intraterrestre et reçus par notre ami Philippe Lemaire.

« Le Monde Intérieur ». Carte tirée du livre de William R. Bradshaw « The Goddess of Atvatabar » (1892).

Dernière minute : Alors que le présent article venait tout juste d’être mis en ligne sur notre site, Nous avons appris le départ dans l’autre monde, le 26 juillet dernier, de Steve Currey, victime d’un cancer au cerveau qui présentait 6 tumeurs… Les funérailles ont eu lieu le 1er août 2006.

Steve avait été prévenu le 22 mai que sa maladie était incurable, et, bien sûr, cette raison est venue s’ajouter et conforter celles évoquées ci-dessus pour expliquer le report de l’expédition.

La famille annonce, quant à elle, qu’il est peu probable que cette expédition puisse avoir lieu dans les circonstances actuelles… Il est plus vraisemblable que les souscripteurs seront remboursés (à moins bien sûr que la Providence n’en décide autrement !)

Paix, en tout cas, à l’âme de ce cher Steve et bon voyage à destination de la Lumière (avec peut-être – qui sait – un petit détour préalable par cette Terre Intérieure qu’il aurait tellement aimé découvrir de son vivant) !

Ère Nouvelle – 8 août 2006

Histoire du Peuple Intérieur

« Nous sommes un peuple volontairement pacifiste et non violent et nous avons concentré notre énergie dans le développement de connaissances spirituelles et scientifiques.

Voilà environ 27.000 ans, notre île située au milieu du Pacifique comptait un peu plus de 100.000 habitants et nous possédions un niveau de connaissance équivalent à celui qui est le vôtre aujourd’hui. Cette île était très isolée du reste du monde et les peuplades humaines éparpillées sur les continents vivaient encore au stade tribal ; elles étaient essentiellement soucieuses de préserver leurs territoires d’incursions d’éventuels agresseurs.

Nous, nous ne redoutions pas d’être envahis. Notre principale préoccupation était la géologie, étant donné que notre île était secouée régulièrement par de violents séismes. Nos chercheurs avaient déterminé les grandes lois qui président à l’évolution de la croûte terrestre et les cycles de séismes pouvaient être prévus suffisamment longtemps à l’avance pour que des dispositions soient prises à temps.

Selon nos savants, une conjonction de facteurs géologiques de grande envergure était sur le point de secouer notre île et de la rayer définitivement de la carte ; bien d’autres régions allaient de même être touchées. Des mesures importantes devaient donc être prises car notre existence était en jeu.

Notre comité des sages se réunit pour envisager différentes possibilités, parmi lesquelles une émigration vers d’autres terres émergées. Cette solution simple à mettre en ouvre, présentait cependant un grand nombre d’inconvénients.

Nous allions devoir prendre possession d’un territoire déjà occupé et il faudrait utiliser la force.

Au cours de nos échanges avec les tribus, nos connaissances risquaient d’être détournées et utilisées à des fins destructrices contre d’autres tribus.

Nous serions certainement enviés pour notre pouvoir et nos richesses et la jalousie des tribus voisines troublerait immanquablement notre tranquillité.

Aucune région de la surface de la Terre ne nous sembla suffisamment hospitalière pour nous accueillir.

D’un autre côté, notre connaissance de la croûte terrestre nous avait révélé l’existence de vastes cavités situées à une profondeur allant de quelques centaines de mètres à quelques kilomètres sous la surface du globe. Plusieurs de nos équipes avaient rapporté des renseignements précieux à leur sujet, et nous en avions établi une cartographie précise. Nous connaissions les différents points du globe susceptibles d’offrir un passage aisé jusqu’à ces cavités. La décision retenue fut d’occuper l’une d’elles et de l’aménager pour y vivre le plus confortablement possible, sans troubler de quelque manière que ce soit le développement du reste de l’humanité, jusqu’à ce que les instincts de violence et de bestialité aient complètement disparu de l’homme.

L’une des nombreuses galeries d’accès à la Terre Intérieure

Philippe Lemaire