QUE SE PASSE-T-IL DANS LE CORPS APRÈS UNE VACCINATION?
Message relayé

1. Dès l’injection, il peut donner une réaction allergique brutale, et provoquer un choc qui met la vie en danger, comme toute injection de substance étrangère traversant la barrière protectrice de la peau. Cela est classique, reconnu par les fabricants et annoncé aux professionnels qui assument le risque de leur geste.

2. Dans les heures qui suivent, l’organisme « encaisse » le coup. C’est le grand branle-bas à l’intérieur du corps. Le vacciné réagit comme réagirait un pays, dont une région est frappée par une bombe atomique, et dont le souffle l’a balayé en entier, bousculant les édifices, les barrages, les groupes de travailleurs, les écoliers et les bosquets tranquilles. Une mobilisation brutale car artificielle est nécessaire.

Il faut faire face au danger présent dans l’intimité du corps.

La consommation en vitamines augmente d’un coup, et de façon phénoménale, pour assurer les besoins énergétiques exceptionnels des cellules de défense spécifiques, les troupes de réserve, que l’on ne mobilise et que l’on n’équipe à grands frais que dans les cas extrêmes où la vie est en jeu.

Il s’en suit une période de fatigue plus ou moins intense, selon les individus, et plus ou moins longue, qui peut durer toute la vie, souvent à l’insu du vacciné. Le vaccin amène à l’intérieur du corps plusieurs messages de mort, pour que le stress ainsi provoqué l’oblige à mobiliser les systèmes de défense, qui sont habituellement bloqués par tout une gamme de sécurités pour le bien et l’équilibre de la vie ordinaire.

– Il s’agit des messages toxiques des « adjuvants « , des conservateurs et des résidus de fabrication, (on utilise surtout, comme adjuvants, des dérivés de l’aluminium et du phosphore; les dérivés mercuriels sont présents à titre de conservateurs; les trois métaux sont de redoutables destructeurs du système nerveux et du foie).

On suppose que ces injections toxiques qui ne peuvent être éliminées par le corps la vie durant, favorisent les convulsions « hyperthermiques » des enfants et tout un cortège de troubles psychiatriques et dégénératifs.

– Il s’agit aussi, et plus logiquement cette fois, de l’information « maladie » qui se veut spécifique et qui se veut limiter à la maladie mortelle contre laquelle on prétend « immuniser » et donc protéger le vacciné. Cette information « maladie » est calculée pour durer le plus longtemps possible, et donner naissance à des anticorps spécifiques, qui seraient « protecteurs ».

Passons sur le fait qu’à côté de l’information spécifique, les vaccins contiennent, surtout pour les plus récents issus du « génie génétique », des résidus d’ADN provenant des cultures cellulaires cancéreuses hybridées, ainsi que des enzymes « mutagènes » de ces milieux de cultures dans leur bain de croissance pour ces cellules cancéreuses. Des vaccins plus anciens, comme celui contre la poliomyélite peuvent contenir des traces des virus dangereux comme le virus SV40, ou comme celui contre la grippe qui peut contenir des traces de virus des poules dangereux pour l’homme.

3. Dans les semaines, les mois et les années qui suivent, l’organisme doit payer à doses filées, continues, le prix d’une protection supposée.

De par sa logique de survie, une fois surmonté le choc toxique, l’organisme va entretenir l’information mortelle ou dangereuse reçue par le vaccin. Cette information est d’abord immatérielle, vibratoire, constamment répétée et relue par les « centres de commande » certainement situés dans le cerveau. Que l’on fasse ou non des « rappels » de vaccins n’agit certainement pas sur cette composante essentielle. Le support matériel de l’information est, à n’en pas douter, le sang, le « proteion » du Dr Bernard VIAL. Les cellules cérébrales vibrent à la reconnaissance des structures spatiales des protéines du sang.

Cette activité nécessite un milieu physico-chimique particulier, dont les caractéristiques ont été précisées par Louis Claude Vincent.

Ensuite l’information s’entretient par le renouvellement des cellules « mémoire », et enfin par le travail soutenu des « lymphocytes B », les usines à anticorps. Tout cela consomme une énergie précieuse car tout a un prix. L’énergie consacrée à la « défense bidon » et au nettoyage des déchets de la guerre factice, va manquer à l’activité ordinaire de la vie, création, résistance du corps, harmonie des relations, sport, art, sexualité, spiritualité… etc… Il s’ensuit une perte sournoise, presque imperceptible, de la qualité de vie.

Cette énergie consacrée à « couler du béton » pour la forteresse, finit par se matérialiser sous forme d’anticorps, de complexes immuns et divers déchets cellulaires qui ne pourront jamais s’éliminer, sauf par suppuration, suintement ou stockage dans le pannicule adipeux, (la « cellulite »), dans les fibromes de l’utérus, du sein ou de la prostate. L’autre aspect évident de cette mobilisation ponctuelle, est que l’organisme occupé à « encaisser le vaccin », dégarnit le front du côté des autres facteurs agressifs du biotope. (staphylocoques, streptocoques, haemophilus, virus de toutes sortes, dont la virulence permet à l’organisme de tenter un rétablissement).

Il est habituel de voir les enfants vaccinés obligés de fréquenter régulièrement les cabinets médicaux, où ils rencontrent l’antibiothérapie et les anti-inflammatoires, qui leur enlèvent encore les moyens d’un retour durable à la santé. Cette guerre constante va aussi consommer les précieux oligo-éléments, brûler le magnésium, étouffer les cellules et faire dériver le terrain vers des états préoccupants.

Le nom homéopathique de ce procédé est la sycose. (le synonyme est vieillissement). Il est aussi logique de penser que l’épreuve de fond imposée à de jeunes organismes immatures au plan immunitaire, leur fasse perdre la cohésion de leur système de défense, et les précipite vers des affections type leucémie.

Donc chaque vaccination va donner naissance à une MALADIE CHRONIQUE, avec tout un cortège de signes physiques et modifications du caractère et des comportements. Le BCG, vaccin vivant, va provoquer un tuberculinisme, avec plus ou moins de succès selon la robustesse de l’enfant et son hérédité familiale. On verra chuter dans le sang les populations anticorps avec parfois « sidération immunitaire », et arriver sur le corps les atopies, les allergies, l’acné, les spasmophilies, les fragilités, transpiration nocturne… Sur le plan psychologique, on trouve manque de volonté, faiblesses de caractère, insatisfaction, méchanceté, désir de changement, colères soudaines, peur des chiens…

Les autres vaccins provoqueront plutôt de la sycose, avec montée des anticorps et des complexes immuns, prise de poids irréductible, grosses fesses à la ménopause, adénomes du sein et de la prostate, cellulite, rhumatismes, polyarthrites… impatience, précipitation, instabilité du caractère, sautes d’humeur, pulsions et sexualité qui passent du refoulement à l’explosion. On voit parfois des « sycoses sèches », où l’on constate un amaigrissement irréductible à la place de l’obésité.

Les dérivés d’aluminium et du mercure des vaccins, se rajoutent à ceux des amalgames dentaires pour provoquer une troisième catégorie de « mode réactionnel » connue des homéopathes sous le nom de « luèse », appelée par les anciens médecins « hérédosyphilis », ou encore improprement « fluorisme ». Là on constate des affections brutales, telles que ulcère gastrique, rupture d’anévrismes artériels ou moins brutales comme la sclérose en plaques, le lupus, l’Alzheimer… les grandes maladies psychiatriques dissociatives, les comportements pervers, l’auto-agressivité, anxiété, les peurs de tout… surtout allongé et la nuit, horreur de la saleté avec rituel de lavage, superstition… etc…

Docteur Philippe Sturer
Qui veut encore se faire vacciner?
Art de vivre sain :
artdevivresain.over-blog.com

Docteur Philippe Sturer