La vache à hublot incorporé, une nouvelle torture au nom de la science
Une séquence est introduite comme cela : « âmes sensibles, s’abstenir ». L’industrie ‘agricole’ hollandaise parvient à faire produire à des vaches 100.000 litres de lait par an.
En s’assurant qu’elles digèrent bien et que le taux d’acidité est correct.
En créant dans leur flanc un orifice (d’un diamètre de +10-15 cm) dans lequel on introduit une sonde. Cet orifice est cerclé de plastique ou je ne sais quoi, afin que j’imagine l’orifice ne se rebouche pas, pour avoir en permanence accès à son estomac ….
Le rumen est le premier des quatre estomacs de la vache. Pour avoir accès plus facilement à l’intérieur de cet estomac, on a cousu ce dernier à la peau et on a ensuite refermé le tout avec un hublot en plastique. Dans les fermes expérimentales, ce hublot permet de passer le bras profondément dans l’animal afin de prélever des échantillons du bol alimentaire.
Détail sordide: lorsque ce hublot est ouvert par temps froid, une vapeur s’en dégage qui monte jusqu’au plafond. Cette vision, accompagnée des chuintements causés par la digestion, donne au visiteur profane l’impression d’un mauvais rêve.
Un documentaire intitulé « La fin des paysans » qui est passé ce 23 octobre, sur Arte à 20h45. Dans un reportage sur Arte sur l’élevage intensif de bovins, ils parlaient du fait que des hormones sont injectées aux vaches pour augmenter leur production de lait. Mais ce traitement contre nature provoque notamment des infections des pis, ce qui implique des traitements à base d’antibiotiques, que l’on retrouve malheureusement dans le lait que nous consommons, ce qui n’est pas sans conséquence… sans parler du pu que l’on retrouve aussi dans le lait, puisqu’avant que l’infection soit détectée et traitée, un peu de pu a le temps de s’écouler avec le lait.
Pour remédier à ces soucis techniques, l’homme dans toute sa splendeur a ainsi inventé les vaches avec un hublot sur le côté… lui permettant de contrôler constamment la qualité de la digestion, et les médicaments à donner pour que tout soit « parfait »… Il y aurait 3 ou 4 producteurs en France qui utiliseraient cette méthode selon certains journalistes.
Site : revegezvous.unblog.fr
Oui là, c’est trop, en plus ça fait des fuites, c’est horrible.
Nous vivons dans le siècle ou nous allons assister aux pires expériences et atrocités faites par l’homme sur nos frères les animaux…. toujours ce besoin maladif de controler….. ca fait juste vraiment peur !!!
Souhaitons et prions pour que ce soit le contraire en tout cas, parce que déjà que le karma collectif est bien chargé, il ne faudrait pas que ça devienne catastrophique non plus…
C’est vraiment horrible, c ‘est de la barbarie. Réveillez vous les humains, ne consommez plus de laitages pour éviter ces atrocités.
Pauvres vaches, elles servent à entretenir la campagne et nourrir la terre, pourquoi cette déviation. Son lait n’est bon que pour le veau, chez les humains cela entraine des perturbations métaboliques avec toutes les
conséquences qu’on connait. Cela fait 10 ans que je ne consomme plus la moindre goutte de lait et je me porte très bien, je n’ai pas de carrence en calcium, on le trouve dans tous les produits qu’on consomme (légumes, viande, eaux, fruits, etc….) Fleur de vie
Ses pratiques sont un scandale, une honte, une monstruosité!
Je me demandais aussi pourquoi le prix du lait avait encore baissé, et je n’étais pas tellement optimiste sur la façon dont les vaches devaient être traités pour sortir un litre de lait entier à 0.74 centimes d’euros (0.62 écrémé) à lidl. Mais de là à imaginer ça… non, là ça dépasse ce que je craignais.
Il est peu probable que l’on puisse être heureux avec un hublot pour se faire surveillé sa digestion… Et ça rejoint d’une certaine façon, la ventouse du baron Harkonnen dans dune.
Le problème c’est que quand la science fiction rejoint la réalité, c’est pas toujours pour le meilleur ; surtout quand c’est sadique.
Bon là ça ne l’est pas, mais enfin, pas bon karma.
Alors il n’est pas sûr que certains agriculteurs les utilisent de manière habituelle en France, par contre l’inra, oui, pour d’après eux continuer des expériences « utiles » :
Mon nom est Jean-François Launay, directeur de la communication de l’Inra, et j’ai effectivement eu une longue conversation téléphonique avec Mme Tigherstine, qui en fait une retranscription disons, très orientée sur cette page.
Oui l’Inra a la prétention de dire qu’au regard des enjeux défendus par la recherche publique, il ne peut pas se laisser comparer à un laboratoire qui produit des cosmétiques ou des médicaments à une échelle industrielle. Et si ces expérimentations ont bien lieu, la dimension liée à l’éthique et au bien-être animal sont une préoccupation quotidienne.
D’abord parce que la population des vaches concernées reste limitée, ensuite parce que les protocoles appliqués prévoient la réduction maximale de la douleur animale.
Et si cette douleur est atténuée, elle n’en est pas moins réelle mais « socialement acceptable » et scientifiquement incontournable, du moins pour l’instant, au regard des enjeux dans lesquels ces expérimentations s’inscrivent.
Et si ceux que le sort de ces vaches fistulées préoccupe ne peuvent pas dépasser le fait de nous amalgamer à l’industrie cosmétique ou pharmaceutique, le dialogue ne peut que s’annoncer difficile.
Pour autant il n’est pas impossible ; encore faut-il pour cela accepter de considérer les choses pour ce qu’elles sont vraiment, en quantité, en modalités, en interrogations éthiques pour les chercheurs et cesser de considérer les scientifiques comme des bourreaux et de les comparer scandaleusement à des nazis. La comparaison n’a rien de scandaleux, elle est documentée et etayée par un même combat qui est le front anti-raciste et anti-spéciste unifiés :
fr.wikipedia.org
l214.com
cahiers-antispecistes.org
Source (avec des commentaires en plus) :
fr-fr.facebook.com
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Vous pourrez aussi passer par une pétition qui pourrait faire avancer les choses (pour moi cela n’a pas fonctionné, mais c’est peut être en raison de l’appareil que j’utilise qui se trouve être dans un lieu public)
lapetition.be
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Donc…
Garder la paix et l’amour dans le cœur, ne pas se laisser influencer négativement par ce qui est choquant. Plutôt que de se faire pousser des cornes et de foncer dans le tas, penser positif pour que cela cesse, et avoir confiance en la matrice pour que cela se réalise.
Et cela sera le cas.
A-t-on confiance oui ou non ?
Oui ? Alors les choses changeront bientôt, ces expériences cesseront, et le monde va devenir de plus en plus respectueux des animaux. Et que cela soit.
Positivité et puissance de création bénéfique.
Hum, désolé, en fait la citation de la lettre s’arrêtait là (voir ci-dessous), mais ce n’était pas clairement indiquée dans le texte.
tvanouvelles.ca
Une expérience scientifique de recherche sur un animal doit-elle durer toujours ?
Faut-il chercher en permanence de nouvelles applications à un processus douloureux ?
Par exemple pour la canulation ou fistulation …
fr.wikipedia.org
qui dure depuis 1831 tout de même, ce n’est donc pas nouveau.
Peut-être serait-il temps de tourner la page, de conclure cet épisode d’introspection en fistule, et de trouver d’autres techniques pour obtenir les mêmes résultats…
Il est possible qu’il existe autant de marge de progression dans l’amélioration des soins animaux, que dans celui de l’homme. Par exemples aux niveaux énergétiques…
Paix et bonheur pour tous les êtres de tous les mondes
Comment faire pour que l’on cesse ces atrocités ?! On vit quand même dans une démocratie, on pourrait faire circuler des pétitions je sais pas pour qu’une loi soit signée en faveur des droits des animaux parce que ces malheureux, j’aimerais bien moi qu’ils puissent parler pour témoigner de toutes les atrocités que notre société de consommation leur fait subir et pour qu’ils remettent tous ces profiteurs à leur place. C est vraiment honteux. ET je trouve vraiment dommage que peu de personnes parlent en leur nom, ou sont très peu médiatisées…