Un constat simple mais réel :
Les conflits et les guerres émergent par l’absence de volonté réelle des hommes de repousser en eux les forces du mal, et d’accepter de s’ouvrir aux forces de bien, de paix et de douceur. Quand ces dernières semblent ne pas exister, que l’on ne les ressent pas, il faut soi-même s’efforcer de les créer en méditant, en priant même s’il ne s’agit que d’une petite lueur ; et parfois, personne d’autre ne peut le faire pour vous.
Si l’on ne peut vraiment pas le faire, que l’on n’y arrive pas, l’on peut alors aider et soutenir ceux qui en ont la possibilité, qu’ils soient ici ou ailleurs. Cela permet que les choses s’améliorent et soutient les processus constructifs et bénéfiques ; et même si c’est peu, c’est déjà beaucoup.
Chaque pensée compte.
(Humblepapa)
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Comment soigner ?
Bruno Gröning
« Je vis afin que l’humanité puisse continuer à vivre »
(Grete Häusler)
P 42
Les tableaux apocalyptiques des grands peintres du moyen âge semblaient devenir réalité quand on se laissait pénétrer par l’horreur qui avait amené ici toutes ces personnes. Que de maladies et de blessures incurables, d’épaves psychiques et d’angoisses existentielles, restées cachées dans les maisons, à cause de la gêne suscitée par la curiosité indifférente, se montraient là, au grand jour, de façon inexorable et inévitable ! Des femmes et des enfants aux visages blafards, consumés par la fièvre, dans lesquels brillaient des yeux tourmentés qui n’avaient même plus la force de pleurer ; des amputés et des paralysés n’étant plus capables du moindre mouvement ; des personnes aux visages grimaçants et couverts de bave, agitées d’affreuses convulsions nerveuses ; d’autres encore, secouées par des pleurs sans retenue ; c’est par milliers et par milliers qu’on les avait transportés ici et qu’ils s’y trouvaient rassemblés.
Tout ce qu’ils avaient possédé en eux de force de vie, de force de travail, de bonheur et de confiance, tout cela était enterré derrière les barbelés des camps de prisonniers, détruit sous les ruines des maisons bombardées, resté derrière eux dans la patrie perdue.
Durant ces jours et ces semaines, je n’ai rencontré personne qui ne soit pas profondément touché et impressionné par cette démesure de la misère et de la souffrance, personne qui n’ait jamais pu imaginer qu’elle pût être aussi terrible.
[…]Ces personnes, qui là attendaient Gröning, ne faisaient plus partie des crédules et n’étaient plus capables de s’enthousiasmer facilement. La plupart d’entre elles étaient devenues indifférentes, sceptiques, apathiques, mais très soupçonneuses à l’égard de toutes les injustices, de toutes les belles paroles et ne pouvaient plus être convaincues que par des actes charitables.
P 44
Lorsque le lendemain après-midi, Bruno Gröning se tint devant les personnes cherchant assistance, il les trouva purifiées intérieurement, comme jamais auparavant, et prêtes à recevoir la guérison. Pendant près d’une heure, il demeura silencieux devant la foule en prière, endossant leurs souffrances pour les transformer. Puis, tandis qu’il prêchait la parole de Dieu, le père et le Médecin de tous les hommes, des scènes bibliques devinrent réalité.
Des malades se levèrent de leur civière, des paralysés jetèrent leurs béquilles et se mirent à marcher, un enfant aveugle recouvra la vue.
P 70
Quelle était la volonté de Bruno Gröning ?
« Vous devez savoir que vous faites tous partie d’un même ensemble. Vous devez aimer votre prochain comme vous-même. C’est mon vœu, c’est ma volonté que cela arrive. Quand les hommes se resolidariseront, cela leur donnera à tous la possibilité de recevoir l’aide. »
P 83
Mes dépressions s’aggravèrent, j’absorbai de nouveau des somnifères. Je me réveillai à l’hôpital Simmerath. On me fit des perfusions d’Anafranil. Au début, je réagis bien à ce médicament, je me sentis mieux. Quelque temps après, mes souffrances recommencèrent. Je vécus ainsi d’année en année. Deux à trois fois par an, je me rendais à l’hôpital. Je pensais ne plus jamais sortir de cet état dépressif.
[…]À partir de ce jour-là, ma femme et moi nous mîmes en réception de la force divine tous les jours. Après un certain temps, les dépressions dont j’avais souffert depuis des années disparurent complètement. À nouveau je pus rire et m’entretenir sans aucune crainte avec les gens.
Tout ceci grâce à l’aide de Bruno Gröning…
P 87
Les résultats furent les suivants : à partir de ce moment, l’état de mon père commença à changer. Dès le 4 mars, les fonctions digestives de mon père se normalisèrent et il retrouva l’usage de la main droite ! La stagnation du sang dans les veines et la sensibilité à la douleur disparurent.
[…]L’irrigation sanguine des bords de la blessure s’améliora, les plaies diminuèrent de jour en jour jusqu’à complète guérison.
Le 17 mars, ma mère, mon mari, mes deux enfants et moi-même furent initiés à l’enseignement de Bruno Gröning chez Madame Häusler. À partir de ce jour, la santé de mon père ne fit que s’améliorer.
P 91
« La guérison doit se réaliser dans le monde entier ! »
P 92
Et aujourd’hui, en 1984, les hommes se demandent comment la guérison peut se produire alors que l’anéantissement de l’humanité est proche ?
Dans le dernier discours qu’il a tenu à la fin de l’automne 1958, à Rosenheim, Bruno Gröning attira avec beaucoup d’insistance notre attention sur les paroles suivantes du docteur en médecine, Erwin Gamber, qui écrivait à la fin de son livre « Le coup de main de Lucifer contre le vivant » :
« Mais pour celui qui veut le comprendre, la vraie Lumière et l’unique et véritable Espérance brillent très clairement derrière toutes les terres à venir. Dieu, le Seigneur, établira un jour son Royaume sur cette planète. Alors régneront la Paix et la Justice véritables. »
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Oui, aujourd’hui chaque pensée compte pour que le bien se fasse en ce monde.
Nous sommes tous un, nous sommes donc tous responsables ; et c’est à chacun de ne pas laisser son égo mener la danse : de ne pas entretenir des pensées négatives comme la jalousie ou l’agressivité, mais de maintenir des pensées positives de cohésion et de paix.
Que l’amour et la douceur se fassent en nous tous les jours plus forts, et plus grands.
Par rapport à ton propre texte, Tomtom, j’aimerai ajouter en complément, car en fait énormément de problèmes proviennent de ça et entretiennent la dualité en fournissant à cette dernière un très bon carburant :
« Ne pas parler des autres, ne pas parler sur les autres ».
Cela se rattache en définitif au paramètre du « ne pas juger ».
Le fait de mentionner Brno Gröning me fait penser à Philippe de Lyon. Ce dernier disant un jour : « ce que je fais là (les soins pratiqués sur 100 personnes quotidiennement, souvent gratuitement) a une répercussion dans tout l’Univers »
Je trouve ça très bien Tomtom que tu ais pris soin de poster cet article.
Un jour quelqu’un me dit qu’il se demandait pourquoi sur la Sept (l’ancêtre d’Arte-TV) il y avait toute cette série de petits documentaires (hebdomadaires ?) sur les guerres, à ce moment là exactement sur la seconde guerre mondiale ; dans le sens où maintenant on pouvait passer à autre chose, à quoi cela sert-il de remuer tous ces événements.
Justement je l’en informai qu’il ne fallait pas oublier le passé sous peine de re-commettre les mêmes erreurs.
Pour ceux à qui ça parle, on voit bien que si la société tout entière reconnaissait l’existence de l’Atlantide, les preuves sont belles et bien là, elles ne manquent pas, la société actuelle essaierait peut-être de ne pas se mener dans le mur.
Petite vidéo de 12’ que j’avais déjà proposé :
youtube.com
La France, à l’identique de ce qui se passe concernant les recherches sur l’Eau, ne l’aura pas accepté, du moins de mémoire si je m’en rappelle bien, et bien évidemment ce sont avant tout certaines instance en France qui lui auront mis des bâtons dans les roues. Du fait qu’il ne pouvait plus exercer comme il se doit, l’énergie s’emmagasinait en lui, ne pouvant pas la restituer par les soins appliqués aux patients, il attrapa cette grosseur sous la mâchoire et devant le cou.
Oui, pour ça il est aussi dit qu’il faut juste en retirer le meilleur : à savoir le lien de causalité qui a produit ses résultats catastrophiques (qui est bon à connaitre), et aussi des avancés technologiques il est vrai. Et aller de l’avant dans la construction de l’avenir, parce que le passé ne pourra que recréer la même chose si l’on ne sait pas, ou que l’on ne veut pas imaginer autre chose…
Donc ton ami avait raison, il ne suffit pas d’en parler et d’en faire des documentaires qui ne vont pas chercher plus loin que de raconter les faits.
Beaucoup de paix et d’amour se font en nous
Quel est le rapport entre le titre de ce post, les remarques de Tomtom et et les extraits de Bruno Groening ?
J’aime beaucoup Groening magnifique être qui a été fracassé par l’ordre des médecin en Allemagne. Encore une belle égrégore.
C’est surtout ça l’origine des guerres, les égrégores, pas tellement l’ego. Et les égrégores sont une capacité de la lumière de l’esprit dans la matière. Quel paradoxe !
Et bien le rapport entre les trois sont comment les guerres viennent à arriver, quelles en sont leurs conséquences, et comment l’on peut les soigner. Soit en agissant sur la cause, ou même pour les personnes plus avancées vers l’union à la Divine providence en incarnation, sur les conséquences de celles-ci.
Le point commun est aussi comment éviter les guerres et aller vers le bien et le bonheur.
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Les égrégores rassemblent des ensembles d’âmes sur des thèmes très variés, cela peut aller d’affinités qui pourront en créer un, aux inconscients collectifs de nations qui pourront en générer de particulièrement puissants.
Les personnalités à l’origine des égrégores seront donc prépondérante à ce qu’il sera, et à son évolution ; cela incluant les égos.
Les groupements d’égos influenceront donc directement les égrégores ou inconscients collectifs et ces derniers pourront aller jusqu’à vouloir s’imposer, conquérir… Ce qui engendrera des guerres.
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En agissant sur son âme, l’on modifie les égrégore reliés. L’âme étant la personnalité ; l’Âme, l’essence divine.
Nous sommes tous un, nous sommes donc tous responsables ; et c’est à chacun de ne pas laisser son égo mener la danse : de ne pas entretenir des pensées négatives comme la jalousie ou l’agressivité, mais de maintenir des pensées positives de cohésion et de paix.
Que l’amour et la douceur se fassent en nous tous les jours plus forts, et plus grands.