Le 26 Aout 2014
Message pour l’humanité

Dans les couloirs de la mort se tient la lumière. Celle-ci donne naissance à tout. La lumière ne serait rien sans son contraire, au cœur du noir git la lumière, celle qui ensemence tout.

L’appartenance à la terre est fini, chacun est amené à savoir tôt ou tard dans quelle infinitude nous nous trouvons. Quel rapport entre le fraternel le charnel et l’éternel ?

Ici les maitres les plus claires ont pour jeux de distribuer au dedans de chacun le mot qui va bien. Au delà de tout soupçon ces mots sont comme la mousson qui fertilise les terres arides. Entendez ces mots mes frères et mes sœurs. Je ne suis pas le seul à connaître le milieu des cieux, depuis vos yeux, se lèvent vers les étoiles. Ces étoiles sont vos cellules, elles ne sont que le miroir de votre appartenance au grand tout.

Peu importe les mots, l’énergie qui descend de ceux–ci n’en fait qu’un prétexte .

Ainsi je vous le dis mes frères et mes sœurs, je suis dans l’immensité en ce moment même. Puisez vos étoiles et faites refléter leurs lumières qui est la votre. Les consciences bougent, comment ne pas s’en rendre compte, chacun évolue à son rythme.

Le temps des maitres est fini. Ces maitres sont dans vos cellules. Ils dorment peut être, à chacun de programmer le réveil à souhait.
En aucun je suis magicien pour vous réveiller ou changer vos décision mais chacun par nos vibrations communes pouvons rajouter une décoration ou un fruit au grand arbre de vie.

Tant de rire et de joie sont autant d’enseignements, le jour n’est plus à l’apprentissage mais plutôt au déformatage.

Il y avait un adage qui racontait : Au fond du paysage se trouvait une rivière qui coulait de tout ses flots. Arrivée devant l’océan elle pensait au néant car jamais le cœur battant sa traversée durant elle n’imaginait le présent. Quel cadeau que devenir l’océan.
Je suis Un avec vous tous parce que chacun de vous est aussi une partie de moi.

Ne pleure pas car je t’aime. Pleure car je t’aime. Entends l’appel de tes étoiles au dedans de toi, aussi loin crois tu être du parfait que peut être en es tu juste à l’entée. L’immensité est aussi dans l’inconnu, que peut être derrière cette porte petit à petit le mot se fait passer qu’il faudrait la bien franchir.

A l’entée du trou noir il y la lumière. Comment lumière pourrait être sans la profondeur du noir.
Crois en tes pleurs, en tes peurs car elles sont juste à côté de ta lumière qui d’une seconde à l’autre peut t’irradier de sa splendeur.

Je suis celui qui commence là où tout prend fin. A vivre à mes côtes tu m’as presque oublié. Autant de dire que de faire pour ne pas être.
Il n’y est plus de vérité universelle sauf celle que les étoiles sont au plus profonds de nos tréfonds, nul sortie de secours pour le jardin d’Eden mais un escalier vers notre intériorité.

Ecoutes le sel craquer, le vert se rependre, sent l’essence se diffuser, O je te le dis reste ici, bel et bien ici et maintenant.

Je suis celui qui écrit à travers vous tout les jours de la vie, aucune prétention je ne détiens. Comme vous devant l’éternelle je me tiens et ne serais accompli que lorsque dans l’ici et maintenant vous serez.
Une bien bonne, chaude et lumineuse continuation à la découverte du NEANT.

Jérome Cordova Energéticien Eveilleur D’âmes