Tel un phoenix vivant cette renaissance de ces cendres pour voir qu’en fait, qu’il est ce feu Sacré.
En fait nous sommes ce feu qui consume tout sur son passage, qui n’a jamais bougé, qui ne s’est jamais déplacé.
Toujours au-delà de l’illusion, du temps et de l’espace. Cela devient comme un jeu, l’enfant observe tout, tout en étant observé, tel un serpent qui se mord la queue, ce qui est réel n’est pas, n’est qu’énergie en mouvance. L’élève a besoin du sage comme le sage a besoin de l’élève. il n’y a que la présence, le reste n’est rien d’autre que la projection de ce feu ardent, un jeu d’ombres et de lumière, tant que tu crois être cette projection, cela te consume, quand tu sais qu’il y a que ce feu, plus rien ne vient troubler cette paix, l’amour a retrouvé son socle, tout est à nouveau unifié. Plus d’histoires, plus de jeu d’ombres et de lumière, plus de dualité, tout a retrouvé l’unité, pour la simple raison qu’il n’y a que le feu sacré. La bobine s’est déroulé, tout en se déroulant, consumé par le feu, n’avait pas d’autre choix que d’avancer en répétant son instant présent, l’illusion renouvelée, c’est ainsi que le personnage prenant conscience de l’illusion, s’est laissé consumer par le feu, tel un phoenix vivant cette renaissance de ces cendres pour voir qu’en fait, qu’il est ce feu Sacré.
Vous en pensez quoi?