Il était une fois… une histoire qui ne répondait pas au vieil adage, pourtant éprouvé, qu’est « Si ça semble trop beau pour être vrai, c’est que ça l’est ». Cette histoire, c’est celle de l’argent colloïdal. Bactéricide hors pair, germicide par excellence, antibiotique naturel, l’argent colloïdal est source de plusieurs guérisons « miraculeuses » que les sceptiques ne sont pas prêts d’accepter. Et pourtant, les faits parlent d’eux‐mêmes. Se guérir d’une hépatite, d’un cancer, d’une vilaine grippe ou d’une affection de la peau ? La réponse se trouve sous le couvercle d’une petite bouteille opaque dont la solution aqueuse renferme des ions d’argent et d’infimes particules d’argent dites colloïdales, c’est‐à‐dire en suspension. L’argent colloïdal élimine plus de 650 espèces de microbes, virus, bactéries, parasites, moisissures, champignons et mycoplasmes, dont certains en quelques minutes seulement. Le tout sans aucun effet secondaire nocif connu ? Allons donc ! Ce serait trop beau pour être vrai. Je vous avais averti. Et ce n’est pas tout.
La préparation de cette substance ne requiert ni laboratoire, ni connaissances poussées en chimie ou en pharmacologie. Le tout peut être préparé avec des instruments et une technique dont la simplicité est déconcertante. Pas étonnant que le cartel pharmaceutique en interdise la vente dans plusieurs pays et qu’aucune recherche « officielle » n’ait été financée par ledit groupe. Il est de loin préférable pour leurs profits que cette information soit le plus méconnue possible. Alors à nous de jouer.
BREF HISTORIQUE
L’utilisation de l’argent pour traiter maladies, brûlures, blessures et autres joies de la vie corporelle n’est pas récente. L’argent colloïdal n’est pas un nouveau traitement ou une découverte récente, c’est plutôt un « remède de grand-mère », moyennant que cette grand-mère ait vécu à une époque très lointaine . Depuis la plus haute antiquité, et peut-être même avant, l’argent était déjà connu pour ses propriétés germicide et bactéricide. Voici ce qu’en dit Frank Goldman dans son livre Une arme secrète contre la maladie : l’argent colloïdal :
Il était employé dans des ustensiles destinés aux enfants afin de les protéger contre des maladies dont l’origine n’était pas connue à ces époques. L’expression « Être né avec une cuillère d’argent dans la bouche » vient de ce phénomène, son utilisation récente comme indication de richesse n’est qu’une conséquence. Les Vénitiens transportaient eau, vin et vinaigre dans des réservoirs en argent pour les conserver ; lors de la conquête de l’ouest américain, les pionniers protégeaient leur réserve d’eau, de lait et d’aliments en plaçant des pièces de monnaie en argent dans leurs outres, barriques ou récipients pour en préserver la fraîcheur. Alexandre Le Grand (356-323 av. J.C) transportait son eau dans des récipients argentés. La nourriture pour les aristocrates était servie sur des plateaux en argent pur; ils mangeaient avec des ustensiles en argent et buvaient leurs boissons dans des coupes en argent.
L’utilisation médicale de l’argent a une longue tradition, les Macédoniens plaçaient des plaques en argent sur les blessures pour aider à leur cicatrisation. La Grèce antique connaît l’apogée de la phytothérapie du temps d’Hippocrate (460-370 av JC), qui décrivit plus de 230 plantes médicinales dans son ouvrage « Corpus Hippocraticum », science à laquelle il avait été initié par son père, Héraclide. Il la développa et l’exerça en tant que médecin itinérant au cours de ses voyages en Asie Mineure et en Grèce et, à cette époque, il enseigna à ses disciples que la fleur d’argent (poudre extra-fine) cicatrisait les blessures ulcérées.
De nombreux médecins, alchimistes, comme Pline (78 après J.C), Gerber (702-765), Avicenne (980-1037, Paracelse (1493-1541) conseillaient l’usage médical de l’argent. Au Moyen Âge, les médecins arabes employaient l’argent dans le traitement des palpitations et des rétentions hydriques. Pour les alchimistes, l’argent correspondait à la lune (macrocosme) et à la tête (microcosme), il fut donc administré aux fous et aux épileptiques. C’est au XVIIIe siècle que le nitrate d’argent devint une thérapeutique de choix pour le traitement des plaies, des ulcères et de la plupart des affections de la peau.
On comptait plus de 60 préparations à base d’argent dans la pharmacopée du XIXe siècle.
En 1869 le scientifique Ravelin indiquait que l’argent à doses infimes déployait des effets antimicrobiens.
En 1881 le gynécologue de Leipzig, Carl Sigmund Franz Crède (1819-1882), recommandait de prévenir l’inflammation de l’œil du nouveau-né par le traitement d’une solution à 1 % de nitrate d’argent. Les résultats étaient tellement impressionnants qu’on a ordonné ce traitement, nommé « Prophylaxie Crède », pour les nouveaux-nés ! Avec l’instauration de cette pratique, le taux d’ophtalmie des nouveau-nés tomba rapidement de 10 % à 0,2 %. En conséquence, cette pratique devint obligatoire aux USA et dans la plupart des pays européens.
En 1893, le botaniste suisse Von Nägeli (1871-1938) découvrait que la concentration de seulement 0.000 000 1 % des ions argentés suffisent pour tuer le germe spirogyre (une algue verte d’eau douce, se présentant sous la forme de filaments) qui se trouve dans l’eau fraîche.
Les propriétés anti-infectieuses de l’argent colloïdal furent énoncées au début du XXe siècle.
Les Chinois utilisent l’acupuncture depuis environ 7 000 ans. Ils ont rapidement découvert l’effet antimicrobien des aiguilles en argent. On peut penser que des milliers d’acupuncteurs de par le monde utilisent aujourd’hui des aiguilles argentées pour l’acupuncture.
L’argent est toujours utilisé dans la médecine traditionnelle indienne (ayurvédique), entre autres pour traiter fièvres chroniques, inflammations intestinales, hyperactivité de la vésicule biliaire et ménorragies.
En 1928, Krause eut l’idée de placer un revêtement d’argent dans des systèmes de filtration pour l’eau domestique. Actuellement, plus que la moitié des lignes aériennes mondiales emploient l’argent pour traiter l’eau des avions destinée aux usagers. Les Américains et les Russes ont choisi un système de traitement de l’eau à base d’argent pour leurs navettes spatiales.
Aux É.-U., des villes ont choisi l’argent pour traiter les eaux usées, dans certains hôpitaux l’installation de système d’ionisation argent/cuivre ont permis d’éradiquer la Legionella Pneumophila de leurs réseaux d’eau chaude.[1]
Bien qu’il soit encore utilisé, l’argent colloïdal a disparu des cabinets des médecins lors de l’arrivée des antibiotiques vers la fin des années 30. Il était pourtant considéré comme étant le « nec plus ultra » des traitements pour un nombre impressionnant d’affections, mais cartel pharmaceutique et propension au profit obligent, l’argent colloïdal est rapidement tombé dans l’oubli.
LA MAGIE DE L’ARGENT COLLOÏDAL
L’argent colloïdal en usage externe peut être utilisé pour accélérer la cicatrisation des brûlures et de diverses blessures ou encore pour soigner une panoplie d’affections de la peau, des yeux, des oreilles, etc. Il est communément bu afin de combattre efficacement et rapidement toute infection virale ou bactérienne. Même que plusieurs personnes (moi inclus) en prennent quotidiennement de façon préventive et/ou en tant que complément alimentaire. Il peut aussi être vaporisé dans les voies respiratoires à l’aide d’un nébuliseur ou même utilisé en intraveineuse dans les cas plus graves. Bref, à la sauce du jour, selon vos maux. Traiter ces types de pathologie est une chose, mais qu’en est-il des maladies plus graves telles que les cancers ?
L’argent colloïdal a plus d’un tour dans son sac. Il ne lui suffisait pas d’être un antibiotique, un germicide et un bactéricide hors du commun, il lui fallait plus. Et plus, il est. Le Dr Becker, auteur de The electric body (1985), a étudié le mécanisme par lequel les ions d’argent régénèrent les tissus et voici une des conclusions à laquelle il est arrivé :
Les ions d’argent forment un complexe avec les cellules vivantes autour de la blessure pour produire des cellules-souches immédiatement convertibles. Le résultat net de cette conversion est que les cellules-souches fournissent toutes les composantes nécessaires à la restauration complète de toute structure atomique.[2]
Nous parlons donc ici de régénération des tissus, rien de moins ! Un délire de science-fiction ? Un leurre ? Je vous entends presque dire : « Si c’est trop beau pour être vrai… ». Mais lorsque nous saisissons la mécanique de profit du monde dans lequel nous vivons, nous comprenons rapidement qu’une telle panacée n’est aucunement rentable. En effet, si tous les « gens du peuple » arrivent à se guérir de la majorité des affections qu’ils subissent, le cartel pharmacomédical en prendrait pour son rhume . Et c’est exactement la raison pour laquelle aucune étude sérieuse (officielle) des bienfaits de l’argent colloïdal n’a été entreprise par l’establishment médical. Beaucoup d’informations sur le sujet sont tout de même disponibles et l’AC peut se faire à l’aide d’une simple électrolyse.
Voici une liste non exhaustive (recueillie sur le Net ) de pathologies pour lesquelles l’argent colloïdal s’est avéré efficace :
Abcès, Acné, Allergies, Amygdales, Angines, Aphtes, Arthrite, Asthme, Blessures, Plaies, Bronchite, Brûlures, Coups de soleil, Cancer, Candida albicans, Cellulite, Colite, Conjonctivite, Maladie de Crohn, Soins du cuir chevelu, Dents (carries), Diarrhée, Eczéma, Fatigue chronique, Infection de l’estomac, Fibromyalgie, Gale, Hépatite C, Herpès, Hidrosadénite, Ulcères d’estomac, Diabète, Choléra, Malaria, Peste bubonique et Lèpre, HIV/Sida, Infections des poumons, Infections cutanées, Problèmes de foie, Yeux, Oreilles, Reins, Vessie, Voies urinaires, Intoxication alimentaire, Kystes, Levures, Maladie de Lyme, Moisissures, Mycoses, Pancréatite, Pellicules, Mauvaise haleine, Pneumonie, Rhumes et Grippes, Saignements, Sclérose en plaques, Sinusite, Stérilité, Teigne, Varicelle, Verrues, Zona…
D’autres exemples de pathologies sont présents dans le livre de Frank Goldman.
EFFETS SECONDAIRES ET ARGYROSE
J’ai mentionné en début d’article qu’il n’y avait aucun effet secondaire à l’utilisation de l’agent colloïdal. C’est vrai et c’est faux à la fois. C’est vrai dans la mesure où il n’y a aucun effet secondaire négatif, c’est-à-dire dommageable pour la santé. Mais c’est faux en ce qui concerne certains symptômes.
« L’effet Jarisch-Herxheimer » ou ce que l’on nomme une « crise de guérison » sera le principal effet secondaire de quiconque se soigne d’une grave affection (idem pour les utilisateurs des générateurs de fréquences « Rife »). L’élimination rapide d’un très grand nombre d’agents pathogènes provoque une réaction corporelle tout à fait naturelle en procédant au rejet des corps inertes par les voies naturelles. En somme, les symptômes d’une » crise de guérison » se traduisent par plus ou moins ceux d’un rhume ou d’une grippe : mal de gorge, mal de tête, écoulement nasal, etc. Cette condition n’est que passagère et peut être tempérée par l’arrêt ou la diminution des doses ingérées.
L’argyrose, quant à elle, est une coloration grise ou brunâtre de la peau ou des muqueuses, due à une intoxication par des sels d’argent. Bien que l’argyrose ne soit pas une condition esthétiquement souhaitable, elle n’est en rien dangereuse pour la santé. Et bien qu’elle soit liée directement à l’argent, elle n’est en rien créée par l’ingestion ou l’utilisation en surface des colloïdes d’argent. En effet, les colloïdes sont des particules extrêmement petites et ont, de ce fait, la particularité de ne pas s’accumuler dans le corps comme le ferait l’ingestion de particules plus grosses tels les sels d’argent. Bien que CNN ait mené une propagande de peur relativement à l’argent colloïdal, l’argyrose ne concerne pas les consommateurs d’argent colloïdal outre s’ils consomment des produits de mauvaise qualité dans lesquels on retrouve une quantité trop importante de sels d’argent. Raison pour laquelle il est important de savoir exactement ce que l’on ingurgite.
LA FABRICATION D’ARGENT COLLOÏDAL
Pourquoi créer soi-même son argent colloïdal ? Principalement pour deux raisons : l’autonomie et le contrôle de la qualité. Il y aurait aussi lieu de mentionner la question des coûts puisqu’il existe sur le marché de nombreuses solutions d’AC (dont les prix et la qualité varient grandement) ainsi que toute une panoplie de générateurs d’AC se détaillant à plusieurs centaines de dollars, alors que le coût des matériaux de base pour la fabrication maison est moindre. Certes, il est plus demandant en temps et en énergie de le faire soi-même, mais je crois que je jeu en vaut la chandelle.
Quoique la fabrication de l’AC soit d’une simplicité déconcertante, il est important d’en bien comprendre le principe. Une solution d’argent colloïdal pure et bien réussie sera claire et transparente. Cela est important, car lorsque nous glanons les informations sur le Net, nous nous heurtons à des versions biens différentes. Certains prétendent qu’une solution jaune pâle ou d’un blanc brumeux est le signe d’un bon résultat, d’autres prétendent qu’il est possible de faire de l’AC avec l’eau du robinet ou de l’eau de source. Tout ceci est faux. L’utilisation d’une eau contenant des minéraux donnera invariablement une solution dans laquelle nous retrouverons des sels d’argent, principe de l’électrolyse oblige. Il est donc impératif de faire son argent colloïdal avec de l’eau distillée ou déminéralisée. Qui plus est, une coloration blanchâtre indique la présence de sels et une forte coloration jaunâtre indique que les particules sont trop grosses. Certaines préparations d’AC prendront différentes teintes : rougeâtre, brunâtre, bleuâtre, etc. Toutes ces couleurs indiquent que les particules d’argent en suspension (les colloïdes) ne sont pas assez petites et que la solution est donc de piètre qualité. Certes, ce sera tout de même une solution d’argent colloïdal, mais il n’est pas conseillé de l’utiliser de la sorte. En cas de survie, sans médicaments disponibles, faire de l’AC à la va-comme-je-te-pousse demeure tout de même une excellente façon d’éradiquer les pathogènes nous affectant. Mais dans le confort matériel de nos vies présentes, un peu de temps, de patience et de lecture permettent la création d’un produit « propre ».
NOTE : La coloration jaunâtre est sujette à maints débats. Pour ma part, après vérification, j’en conclus qu’il est acceptable qu’une solution ait une légère (très légère) coloration jaunâtre si elle est claire. La raison étant que la grosseur des particules dans ce cas demeure acceptable (entre 1 et 10 nanomètres), mais ce n’est que ma conclusion personnelle et aussi je recommande fortement que la solution finale soit claire et limpide.
Le matériel de base consiste en 4 piles 9 volts, deux tiges (ou tout autres pièces) d’argent pur .999 ou .9999, de l’eau distillée ou déminéralisée, deux pinces « crocodile » et un testeur de densité. De plus, un voltmètre, une minuterie, deux connecteurs pour piles 9 volts ainsi qu’un mélangeur permettront de parfaire l’art de la création d’AC, mais ne sont pas requis.
Le principe en soi est simple : c’est de l’électrolyse. Les deux pièces d’argent servent d’électrodes, les pinces crocodile sont connectées aux piles (qui sont emboîtées en série) ainsi qu’aux pièces d’argent qui baignent dans de l’eau distillée ou déminéralisée. Le temps que les pièces d’argent doivent demeurer sous tension dépend de la concentration d’argent colloïdal que nous désirons obtenir. Cette concentration, calculée en ppm (particules par million), dépendra à son tour d’un grand nombre de facteurs. En effet, une électrolyse de la sorte est une électrolyse de précision et le moindre facteur, tel que la température de l’eau et de l’air ambiant, la phase de la lune, le champ magnétique terrestre, la pression atmosphérique, etc., jouera un rôle dans le processus. Tout ceci sans compter d’autres paramètres évidents tels que la distance entre les électrodes, la qualité de l’eau de départ, la surface d’argent accessible, etc. Pour ces raisons, il n’y a pas de « recette miracle » qui garanti une concentration particulière avec des paramètres donnés et fixes. Ne vous fiez pas trop à ce qu’on en dit sur le Net car plusieurs personnes donneront des indications précises en avançant que vous obtiendrez une concentration de X ppm. Ne prenez ces indications que comme un guide de départ car sans testeur de densité, l’opération se fait à l’aveuglette et chacun d’entre vous aura des résultats différents, et ce, sans même les connaître !
Par expérience, si l’on veut obtenir une concentration d’au moins 10 ppm, il faut procéder soit en diminuant progressivement l’intensité du courant appliqué en retirant une pile à la fois, soit en utilisant un mélangeur. En effet, lorsque les ions et colloïdes d’argent se détachent des électrodes et commencent à effectuer le voyage entre les deux, plus il y a de particules entre celles-ci, plus le courant passe facilement et plus les particules se détachant des pièces d’argent sont grosses. Il s’ensuit un « emballement » du processus qui aura tôt fait de produire de trop grosses particules qui donneront une coloration ambre, brune ou noire à la solution. Il faut donc être vigilant à cet égard et faire plusieurs tests. Essai-erreur est ici la technique à utiliser. On branche le tout, on minute, on vérifie la concentration, on rebranche, on reminute, etc. Notez aussi que les résultats obtenus la veille ne seront pas nécessairement ceux obtenus le lendemain ! Il fait 5 degrés de plus ? Les électrodes sont de quelques millimètres plus près ou plus loin les unes des autres ? Les piles ont perdu de leur intensité ? Tout ceci joue sur le résultat final. Parfois cela me prend 20 minutes et j’obtiens une solution à 14 ppm, alors que d’autres fois il m’en faudra plus de 35 pour obtenir du 10 ppm. La rigueur est de mise et l’expérience permet de bien jauger les temps sous tension et la méthode à utiliser.
Lorsqu’on enlève les pièces d’argent, que ce soit pour prendre une lecture au testeur ou autre, toujours bien les nettoyer avant de les remettre dans l’eau, car il s’y forme une mince couche de résidu.
De plus, toujours s’assurer que les pinces « crocodile » ne touchent pas à l’eau de la solution sans quoi elles feront aussi partie de l’électrolyse et il y aura, en plus des colloïdes d’argent, des colloïdes de pinces crocodile !
Une fois que la solution est prête, débrancher puis retirer les électrodes doucement. Conserver dans un pot de verre (les pots en plastique auront tendance à faire perdre la charge des ions d’argent) clair dans un endroit sans lumière pour une période d’environ 12 heures. Lorsque la solution sera stable (tous les ions se seront positionnés et distancés également), vérifier qu’elle est encore claire. La coloration jaunâtre peut apparaître dans les heures suivant la production. Une fois assuré que la solution est « propre », c’est-à-dire qu’elle demeure limpide, il est conseillé de la mettre dans un pot de verre le plus opaque possible et de la ranger dans un endroit sombre, car la lumière du jour lui ferait perdre ses propriétés.
Du reste, c’est l’expérimentation qui vous guidera.
OÙ SE PROCURER LES PIÈCES ET DE LA DOCUMENTATION
Il est possible d’acheter du fil d’argent chez divers commerçants sur le Net. Une simple recherche vous permettra d’en trouver plusieurs. Pour ma part, j’ai opté pour l’achat de deux « lingots » d’argent .999 au marchand de monnaie du coin. Cela pour deux raisons principales : cela me donne la possibilité d’en acheter un peu n’importe où sans payer des frais supplémentaires pour le transport; de plus, dans ce type de commerce, l’argent est vendu au prix du marché et non avec un certain profit en tête pour le marché restreint des « fabricants d’argent colloïdal », ce qui est donc moins dispendieux.
Quant au testeur de densité, adressez-vous aux vendeurs d’eau distillée qui embouteillent eux-mêmes (et font parfois la livraison). Ceux-ci vous recommanderont à leur fournisseur de matériel, car ce n’est pas le genre d’appareil qui se vend n’importe où.
Piles, pinces crocodile et connecteurs se trouvent facilement dans toute boutique d’électronique. Un voltmètre peut devenir utile afin de vérifier l’état de piles de temps à autre et on le trouve au même endroit. Concernant le mélangeur (si vous décidez d’en utiliser un), pour ma part j’ai opté pour la fabrication artisanale, car cela me permet de l’adapter à mes propres besoins. Un peu de bricolage et à peine 3$ de matériel m’ont permis d’assembler un petit moteur de train électrique sur un mini trépied. De cette façon, l’eau tourbillonne constamment et retarde l’effet d' »emballement ». Certaines personnes (qui se servent de contenants beaucoup plus gros) utilisent un moteur d’aquarium. Libre à vous d’utiliser ce que bon vous semble et qui sera adapté à vos besoins.
Pour ce qui est d’une bonne documentation sur l’argent colloïdal, je vous conseille fortement l’ouvrage Une arme secrète contre la maladie : l’argent colloïdal de Frank Goldman disponible dans la bibliothèque électronique sous « Santé – Médecine alternative ».
FAIRE DE L’ARGENT DANS SES TEMPS LIBRES, C’EST PAYANT !
Bien que ce soit un jeu de mots facile, « faire de l’argent » colloïdal durant nos temps libres est réellement payant, et ce, de plus d’une façon. Nous gagnons grandement en liberté face au cartel pharmaceutique, tant financièrement qu’au niveau santé, car nous évitons ainsi les effets nocifs de la majorité des médicaments. Nous nous réapproprions un pouvoir de guérison efficace nous rendant ainsi autonomes face au système de « santé » actuel, et ce, pour un grand nombre d’affections.
C’est donc au nom de l’autarcie médicale que je lève mon verre (d’AC) et que j’en prends une gorgée à votre santé !
Télécharger la documentation ici: wikifortio.com
Se Procurer un appareil pour fabriquer l’argent colloïdal ici: silvergen.com
Bonne Chance et Meilleur Santé à Tous.
L’argent Colloïdal est selon moi ce qu’il nous faut avoir sous la main en permanence à la maison
En savoir plus sur l’argent Colloïdal…
Amitiés à toutes et à tous A+,
Hugues
Oui, Hugues, il y a quelques aides comme cela qu’il est bon d’avoir avec soi : extrait de pépins de pamplemousse, argile verte, sachets de chlorure de magnésium,quelques huiles essentielles de base aussi …
Bises et amitiés.
karen