Le fonctionnement du mental
Le mental est à la fois la cause de tous nos soucis, entretenant désirs et angoisses, créant le concept d’un moi séparé, et la clé nous permettant de comprendre ce voyage terrestre entrepris par la conscience.
Il n’a pas à être condamné en lui-même, car il peut être un allié et nous permettre de comprendre que nous ne sommes pas seulement ce flux mental.
Or, nous l’avons laissé exercer une domination absolue sur la vie et parasiter l’ensemble de nos existences.
Le mental s’épuise à vouloir changer le réel en fabriquant des idéaux, des croyances et des certitudes, en formant une représentation de ce qui est, figeant ainsi le mouvement perpétuel de la vie. Il crée cette réalité terrestre, constituée des illusions dont il s’est rempli, il établit le moi et le monde hors moi, le sujet pensant et l’objet pensé, sans réalité autonome.
Penser déplace le regard vers l’objet. L’activité mentale nous projette vers l’extérieur, vers les objets, et crée la croyance d’une séparation, d’une distance, en déployant son énergie dans le temps. Nous avons tellement l’habitude de diriger notre esprit vers l’extérieur, vers les objets qui le retiennent et le distraient que nous ne voyons plus que ce qui le remplit. Nous le laissons exercer sans arrêt une pression sur chaque chose qui survient, croyant la contrôler en retenant certains aspects et en rejetant les autres. Il nous entraîne à saisir la vie à l’aide de concepts au lieu de la laisser s’accomplir à travers nous. Encombré de tout ce qu’il accumule, il est incapable de refléter la situation du moment présent telle qu’elle est.
Le mental nous apprend la différenciation. Il est impliqué dans toute expérience de dualité.
Il fonctionne par comparaison et opposition.
Nous nous identifions à cette différenciation, nous la pensons comme le fondement de notre réalité.
Or, il n’y a pas de dualité : les 2 pôles ne sont pas séparés, mais en interaction.
Le mental est cause de la séparation entre des opposés qui sont inséparables, qui ne peuvent exister l’un sans l’autre dans l’expression de la vie ici. Il est conditionné à exclure ce qui semble inacceptable. L’interdépendance des opposés est le fondement même du mouvement de la vie. Notre problème vient que nous essayons de supprimer un des 2 opposés.
La dispersion, la soumission aux distractions incessantes qui alimentent le flux des pensées, l’absence de repos, de stabilité, la recherche perpétuelle, est ce qui caractérise habituellement notre esprit et le rend en permanence anxieux et fatigué.
Il est presque toujours divisé, désir ou refus. Les choix incessants rendent notre existence complexe. On compare, on saisit ou rejette. On exclut alors que la vie inclut tout. Chaque évènement est mis dans une catégorie. Notre esprit pris dans la dualité et la temporalité ne sait que juger si un évènement est heureux ou malheureux. Il est incapable de saisir en profondeur la réalité d’une situation, de percevoir l’intelligence infiniment vaste qui préside à l’enchaînement des circonstances.
Nous oublions l’unité ou nous la cherchons avec la pensée structurée moi/autre, sujet/objet.
Pour transcender la division, l’esprit doit reconnaître la limitation de la relation sujet/objet, puis ses propres limitations.
Nous pouvons être conscient du fonctionnement de notre mental. Nous ne pouvons donc pas être cet esprit qui nous emporte où il veut dans des croyances, dans des émotions et des souffrances.
Le mental est une fonction, pas ce que nous sommes. Accepter qu’il soit simplement un instrument, celui de l’être profond, la conscience. Le tourner vers le dedans, non pas par des efforts, mais en tant que mouvement naturel au sein de la conscience
La nature de l’esprit est mouvement. Ne pas s’efforcer de bloquer ce mouvement car la pensée est un moyen d’expérimenter la vie et cet effort est uniquement mental. Tout effort pour contrôler l’esprit ne peut que le rendre plus habile et conduit au renforcement de l’ego.
Il ne s’agit pas d’être sans mental mais d’être libre du mental. C’est-à-dire ne pas être juste une somme de désirs et de peurs.
Ne pas s’opposer au mouvement naturel de la pensée, mais cesser de l’entretenir, de le considérer comme réel et voir que sa source est vide. Nous sommes cet espace silencieux et vide au sein duquel la pensée apparaît. Cette Réalité ultime est hors de portée de la pensée.
Le questionnement sur le sens de la vie et sur notre véritable nature débute nécessairement avec l’esprit. C’est l’esprit qui cherche. Mais il ne peut que poser la question, puis très vite conceptualiser et donc douter. Il ne peut fournir la réponse : la réalisation de la Réalité ne peut être objectivé, le Sujet ultime ne peut être objet de connaissance.
Dans sa recherche, l’esprit peut comprendre jusqu’à un certain point la nature de la Réalité, mais ne peut la réaliser. S’il trouve une réponse, elle ne peut être que lui-même, et dans cette illusion créée, il va concevoir une réalité mentale qu’il s’appliquera ensuite à expliquer.
Dés que la conceptualisation s’arrête, la perception pure reste. Avec elle, la paix. Elle est notre nature originelle. Les difficultés et les souffrances surgissent lorsque nous ne sommes plus en contact direct avec le flux de la vie, lorsque le mental vient mettre une distance entre ce qu’il pense vivre et la réalité.
Nous pouvons très bien vivre sans une activité mentale incessante, en accueillant les perceptions telles qu’elles se présentent, sans les analyser ou les juger, sans fabriquer d’images.
Qu’il y ait simple observation de chaque phénomène, pensée, émotion, sentiment, sans qualification, sans jugement. Observer n’est pas analyser. Simplement une attention aiguë et sensible des mécanismes de l’esprit, de ses schémas répétitifs et conditionnés. L’attention qui accueille est une position de regard neutre. Nous sommes accueil de tout ce qui traverse notre esprit, un ensemble de phénomènes vus par la lumière de la conscience.
Qui observe ? Notre être profond, qui montre dans cette observation qu’il n’est pas le mental. Nous ne pouvons le voir, cet être véritable, nous ne pouvons le connaître comme un objet et le conceptualiser. C’est là que se situe le problème pour nous, lorsque nous vivons identifiés au mental.
Les pensées sont uniquement maintenues par nos identifications. Rester témoin de ses pensées, sans identification. Observer ne déclenche pas un enchaînement de pensées. Dans l’observation, l’énergie du mental se calme. Il calme son fonctionnement parasite, reprend sa juste place, ne nous emporte plus dans des réactions de peur, d’agression ou d’abattement. Un détachement se met en place et l’énergie ne vient plus alimenter sans cesse l’esprit.
Son fonctionnement ralentit de lui-même, sans contrainte, par la seule observation de ses mouvements. Il se calme à travers l’attention, sans effort. Il voit ses limitations, devient humble, réceptif, ouvert. Il continue de fonctionner, mais les pensées viennent du silence, notre réalité profonde, non de l’intellect. Elles apparaissent, disparaissent, nous percevons leur nature vide, de simples reflets sur le champ de la conscience. Il n’y a plus alors d’entrave au flux de la conscience pure et la vraie intelligence peut œuvrer.
L’intuition dés lors émerge : c’est la réponse immédiate à la vie, sans l’intermédiaire de concepts. Elle vient du cœur, non de l’intellect. Elle saisit la réalité de manière synthétique, dans la coexistence des pôles.
Le mental peut avoir une certaine connaissance de l’intelligence qui soutient la vie, mais il ne peut en avoir une connaissance totale. Il fait partie du monde phénoménal. Comment pourrait-il aller au-delà des phénomènes, embrasser ce qui l’englobe ? Ce qui est infini, sans forme, ne peut être appréhendé par l’esprit. Il est lui-même l’obstacle à la réponse qu’il cherche. Qu’il le reconnaisse, dans une humilité retrouvée, est sa seule réalisation possible.
Et il sera en repos, établi dans sa source, transparent, sans jugement, sans choix.
Entier, sans aucun conflit, il deviendra l’instrument du fonctionnement de la vie dans sa globalité.
Ce qu’il y a au-delà de la pensée, nous ne le savons que lorsque la pensée s’arrête. La pensée est impuissante à découvrir la vraie nature de la vie, car elle est mémoire, qui fait écran à la réalité, au jaillissement toujours neuf du flot de la vie. Elle recouvre de ses schémas répétitifs le jeu libre de la vie.
Le mental est fait de passé et de sa réactualisation dans la projection vers l’avenir. Toujours en mouvement, il ne peut saisir l’instant. Dés qu’il intervient, le contact avec l’instant est rompu. Le processus du temps psychologique est enclenché. Tout est alors regardé à partir de la mémoire et évalué à partir de conditionnements. Lorsque le mental se tait, le temps s’arrête. Nous sommes dans l’instant, c’est-à-dire dans la Réalité. La réalisation de notre intemporalité, de notre véritable nature, est alors possible.
Une fois l’ultime réalité réalisée, il n’y a plus de règles ni d’illusions créées par un mental que désormais plus rien ne vient troubler. Il est en repos, sans division, en harmonie avec le flux de la vie, avec la source de toute chose.
La conscience se reflète telle qu’elle est, pure, non déformée, dans ce mental stable, détendu, apaisé. Le repos, c’est ce que nous sommes naturellement.
Dans cette vision globale de la Réalité, l’esprit en repos laisse surgir puis se résorber ce qui vient, sans rien conceptualiser, sans rien diviser.
L’énergie d’amour peut dés lors circuler.
Nicole Montineri
le mental est un outil d analyse qui nous permet l exercice du libre arbitre,
ce qui est appelé le flux n existe que parce que le mental est alimenté par le cœur, le mental n est que l activité du cortex il n est pas « existant » mais fonctionnel, c est une erreur de le personnifier .
Bien que le mental soit une fonction de différenciation il n est en aucun cas engagé dans le processus d interprétation, par contre chaque action engagé a travers l exercice du libre arbitre est consigné dans le mental, que nous l occultions volontairement ou que nous en tenions compte dans notre processus évolutif, c est pourquoi c est se leurrer que croire qu il est possible de cacher nos choix de vie et l imputer au mental comme étant une partie agissante et différencié est faux .
Le mental a un produit, l ego, l ego est la somme des computations du mental il est le témoignage de ce que nous sommes en tant qu agissants, certains l appellent le corps astral d autres le corps mental, l ego est plus une production qui s externalise donc ont peut raisonnablement l identifier au corps astral, le corps mental n est que l élaboration du corps a travers le processus du mental qui normalement est un processus évolutif .
Pour l instant et d’après ce que j ai put lire de l article il est le fruit du cœur et non du mental, le cœur agissant et ce manifestant est ce que j appelle le corps mental, un être ayant élaboré a travers les processus analytiques du mental une définition de l humain, mais je ne suis qu au début de l article et je n ai pas envie d y rajouter grand chose .
bon WE .
Bonjour Elem,
ton point de vue est intéressant.
Deux points ont retenu mon attention:
« Le mental est une fonction, pas ce que nous sommes. Accepter qu’il soit simplement un instrument, celui de l’être profond, la conscience. »
« Son fonctionnement ralentit de lui-même, sans contrainte, par la seule observation de ses mouvements. Il se calme à travers l’attention, sans effort. Il voit ses limitations, devient humble, réceptif, ouvert. Il continue de fonctionner, mais les pensées viennent du silence, notre réalité profonde, non de l’intellect. Elles apparaissent, disparaissent, nous percevons leur nature vide, de simples reflets sur le champ de la conscience. Il n’y a plus alors d’entrave au flux de la conscience pure et la vraie intelligence peut œuvrer.
L’intuition dés lors émerge : c’est la réponse immédiate à la vie, sans l’intermédiaire de concepts. Elle vient du cœur, non de l’intellect. Elle saisit la réalité de manière synthétique, dans la coexistence des pôles. »
Cela m’arrive lorsque ce que je pratique une méditation en « déconnectant » petit à petit le mental.
Pour revenir à tes paroles:
« le mental est un outil d’analyse qui nous permet l’exercice du libre arbitre,
ce qui est appelé le flux n existe que parce que le mental est alimenté par le cœur, le mental n est que l’activité du cortex il n est pas « existant » mais fonctionnel, c est une erreur de le personnifier . »
Je te rejoins complètement là-dessus.
Merci d’avoir pris la peine de répondre..
Bien à toi,,
Serena
P.S: Pour ceux qui serait intéressés,il existe un autre texte de Nicole Montineri (fruit d’une expérience survenue lors d’une méningite)
serenagaia.blogspot.com
Bonjour Elem,
ton point de vue est intéressant.
Deux points ont retenu mon attention:
« Le mental est une fonction, pas ce que nous sommes. Accepter qu’il soit simplement un instrument, celui de l’être profond, la conscience. »
« Son fonctionnement ralentit de lui-même, sans contrainte, par la seule observation de ses mouvements. Il se calme à travers l’attention, sans effort. Il voit ses limitations, devient humble, réceptif, ouvert. Il continue de fonctionner, mais les pensées viennent du silence, notre réalité profonde, non de l’intellect. Elles apparaissent, disparaissent, nous percevons leur nature vide, de simples reflets sur le champ de la conscience. Il n’y a plus alors d’entrave au flux de la conscience pure et la vraie intelligence peut œuvrer.
L’intuition dés lors émerge : c’est la réponse immédiate à la vie, sans l’intermédiaire de concepts. Elle vient du cœur, non de l’intellect. Elle saisit la réalité de manière synthétique, dans la coexistence des pôles. »
Cela m’arrive lorsque ce que je pratique une méditation en « déconnectant » petit à petit le mental.
Pour revenir à tes paroles:
« le mental est un outil d’analyse qui nous permet l’exercice du libre arbitre,
ce qui est appelé le flux n existe que parce que le mental est alimenté par le cœur, le mental n est que l’activité du cortex il n est pas « existant » mais fonctionnel, c est une erreur de le personnifier . »
Je te rejoins complètement là-dessus.
Merci d’avoir pris la peine de répondre..
Bien à toi,,
Serena
P.S: Pour ceux qui serait intéressés,il existe un autre texte de Nicole Montineri (fruit d’une expérience survenue lors d’une méningite)
serenagaia.blogspot.com
titre du texte: »Expérience cosmique ou conscience du tout »
Merci Serena
Magnifique témoignage de la réalisation de la nature du mental
rien à ajouter, rien à retrancher; je retiens ceci :
« Ne pas s’opposer au mouvement naturel de la pensée, mais cesser de l’entretenir, de le considérer comme réel et voir que sa source est vide. Nous sommes cet espace silencieux et vide au sein duquel la pensée apparaît. Cette Réalité ultime est hors de portée de la pensée. »
et cela:
« Le mental peut avoir une certaine connaissance de l’intelligence qui soutient la vie, mais il ne peut en avoir une connaissance totale. Il fait partie du monde phénoménal. Comment pourrait-il aller au-delà des phénomènes, embrasser ce qui l’englobe ? Ce qui est infini, sans forme, ne peut être appréhendé par l’esprit. Il est lui-même l’obstacle à la réponse qu’il cherche. Qu’il le reconnaisse, dans une humilité retrouvée, est sa seule réalisation possible.
Et il sera en repos, établi dans sa source, transparent, sans jugement, sans choix.
Entier, sans aucun conflit, il deviendra l’instrument du fonctionnement de la vie dans sa globalité. »
Elem ,selon mon point de vue (pas que)le mental n’a rien à voir avec le coeur, les pensées sont des reflets du champ de la conscience
le coeur est l’expression directe du silence
La manifestation égotique vient du fait de l’identification en la personnalité qui n’est que la somme des croyances que mon mental à glané et conceptualisé au long de mon « histoire » .
La personnalité n’est pas l’individualité c’est à dire l’étincelle divine
qualifiée par les attributs de mon essence divine, c’est dans le silence
intérieur que l’on peut connaître son essence car non « polluée » par les « idées » que le mental peut se faire envers qui je Suis.
je pense que la personnalité est un produit du phénomène d individualisation, la personnalité contemporaine est plus proche de l ego que le sens réel qui devrait lui être accordé, mais c est un lourd débat dans lequel il est facile de s embourber ( t as qu a constater ma piètre explication du post précèdent pour t en faire une idée ;), bast ca fait pas de mal de poser certains mots et les laisser dériver, qui sait peut être qu il feront le bonheur même d un railleur, après tout qui ne dit mot consent ) .
bonne continuation .
Le mental il est pas gentil !
(merci toto)
0+0= la tete a toto
:arrow:
Merci pour ce lien qui semble très intéressant Elem. :mrgreen:
♥
Salut,
je viens de visualiser une partie de l article « expérience cosmique »
Il n y a pas de doute cette personne a fait l expérience de la conscience cosmique, c est difficile d exposer ce genre d expérience et je comprends que les mots utilisés ne résonnent pas tous avec l expérience que j en ai, c est pourquoi je ne commenterai pas plus .
PS ; suite au commentaire de karen je me suis rappelé que j avais aussi noté un lien mort dans ce sujet, en fait il n est pas dans l article mais identiquement dans la source présumé de l article .
Il est possible que des mises a jour du site source provoquent ce genre d erreurs, sinon l erreur provient de l auteur de l article, le lien en fin d article est parfaitement fonctionnel, c est donc plutôt une erreur d utilisation de la fonction source du message par l auteur lui même alors
A mettre au compte de serena donc
Bonjour Elem,
je me suis en effet aperçue que le lien source n’existait plus.
En voici un autre:
reikido-france.com
Belle journée,
Serena
Il y a plusieurs sortes de dimensions. La dimension énergétique. Il y a plusieures demeures dans la maison de mon Père. Les poupées russes. Les voyages astraux. Un drogué peut avoir des blocages, des noeuds dans ses dimension énergétiques, comme il ne peut pas s’aider, il demande de l’aide aux autres. S’il ne reçoit pas l’aide et le soulagement escompté il ne peut faire autrement que de perturber. En disant hé les gars faut m’aider. Ceux qui ont juste testé les drogues ont de petits blocages, il m’est arrivé de tester stupidement de la drogue.
Ceux qui ont pris de la drogue en masse et non d’un niveau intermédiaires, genre une fois par semaines, ont de très gros blocages, les autres des blocages intermédiaires.
J’ai eu affaire à un héroinomane, ils ont besoin de notre aide car ils sont non seulement atteint au niveau astral mais également temporel. Car il existe également les dimension temporelles. Ceux qui ne peuvent trouver des soloutions aux dimension énergétiques n’ont d’autres choix que de puiser l’amour dans les dimentions temporelles.
Toutes ces drogues créent des déséquilibres aux différentes couches énergétiques mais également un déséquilibres au niveau temporel. Si au début tout était Présent et que l’on puisait tout au Présent. On n’avait pas à s’inquiéter de noeauds ou du passé et du futur.
Quand il y a des noeuds au niveau énergétique et un désaxement du présent vers le passé et le futur à cause de prise massive de drogues. La solution est de recréer le Présent avec l’aide de la Présence divine pour qui tout est possible. L’illusion que ça ne marche pas peut faire en sorte que l’on à l’impression que rien ne se passe au début. Pour les âmes les plus intoxiquées elles peuvent avoir l’impression que absolument rien ne se passe en méditant mais c’est simplement Dieu qui guéri votre karma en dénouant les divers noeuds et en relaxant votre ligne temporelle au présent.
Les voyages temporels sont prévus pour dans les années 3000. L’humanité à pris conscience de ses moi énergétiques, pas encore des ces moi temporels. Biensur, il y a la téléportation, la matérialisation, dématérialisation d’objets, la télékinésie, les guérisons miraculeuses et autres.
Nous allons probablement passer par une grande guerre qui ouvrira petit à petit la porte dans un premier temps, sur ce qui est le plus à notre portée, à savoir les dimensions parallèles énergétiques, puis aux dimension parallèles temporelles, pour un peu plus tard. La télékinésie, la matérialisation et dématérialisation et la téléportation seront mis de cotés pour plus tard et laisseront la place aux guérisons miraculeuses, entre guillemets, pratiques les plus accessibles à l’heure actuelle, télépathie et autres actes prophétiques qui consiste à faire la demande du Moi présent au moi futur mais aussi au moi passé.
TOUT EST POSSIBLE, ABSOLUMENT TOUT.
Pour en revenir à ceux qui ont pris des masses de drogues régulièrement, je leur conseille d’aller voir un accupuncteur régulièrement qui va faire changer le flux énergétiques dans leur corps. Des bains avec huiles essentielle et autres massages sont bons. Si vous ne vous en sortez pas tout seul ou avec ces techniques allez voir un guérisseur qui est un peu plus efficasses que ces techniques mais qui demande un acte de foi plus grand.
Dans ces cas on peut dire qu’il faut oser guérir après ces longues années à errer.
N’oublions pas que le karma collectif est inclu les drogués, ce qui n’est pas uen mince affaire, les oublier rajoute dans la balance karmique, ce qu’il faut justement c’est avoir des pensées de guérison à leur égards.
L’amour, la joie et la conscience guérissent toutes les maladies.
Tu as raison en ce que tu dis, beaucoup de drogués sont des machines a remonter le temps ( ils assument le karma d entité désincarnés qui ayant vécu des horreurs durant les guerres passés ou d autres traumatismes refusent l incarnation et hantent les plans de l incarnation ) ou pires a explorer l avenir, la drogue permettant la mise au repos des fonctions naturels du corps pendant qu une entité se projète dans les futurs possibles …
» il est des justes dont les œuvres qui témoignent d eux sont des œuvres de méchants, il est des méchants dont les œuvres qui témoignent d eux sont des œuvres de justes »
Et tu as aussi raison de parler des dégâts occasionnés, on ne passe pas par ces lieux sans en garder de nombreuses traces .
bonne journée .
Un peu comme l’histoire bidon de la 2eme guerre mondiale ?
Ils ont pas le choix, leur présent est je vais dire squatté par des entités extérieures à cause du piège de la drogue. A l’heure actuelle c’est dangereux parce que pas connu. Mais qui sait dans mille ans… Et puis faut en trouver l’utilité.
Les noeuds créés sont squattés soit par des entités genre, fantômes, soit par des être humains qui ont trouvé quelque façon de soudoyer de l’énergie. D’autres utilisent le prétexte de la jalousie pour ne pas se remettre personnellement en question. Le problème ne vient pas de moi, c’est toi qui doit être jaloux ou envieux. Ca dénoue des noeuds quand c’est vrai mais quand c’est faux et qu’on nous sort ça en espérant en tirer quelque énergie, c’est frauduleux et puis le karma final est pas bon. Donc faut changer de comportement.
Les drogués ont fait une erreur d’avoir pris des drogues et d’avoir légué leur pouvoirs à la drogue, d’accord. N’empêche qu’à l’heure actuelle on se tape un super karma justement parcequ’on oublie qu’on peut les aider (au minimum en pensant à eux).
Ici on lit que le dernier sceau de l’apocaypse à été ouvert, là on lit que les sceaux vont s’ouvrir en 2020. Ce qui est sur c’est qu’on est en train de vivre, comme vous le remarquez dans une période préapocalyptique ou apocalyptique.
La meilleure chose à faire je trouve est de passer son temps à lire ou s’occuper avec sa passion. C’est une forme de prière.
Moi je suis tout à fait d’accord avec toi Imanuel.
Le problème c’est que certains prônent le changement, mais n’acceptent pas qu’on le définissent.
Alors quand tu leur parles d’apocalypse, ils répètent inlassablement les discours qu’ils entendent de part et d’autre.
Comme si cela avait toujours été ^^ !
Comme si les « ragots » concernant un éventuel grand changement ne tenaient pas debout.
Le problème, c’est que beaucoup de gens ces « gens » ne savent même pas ce que veut dire apocalypse.
Et deuxièmement, la vraie réalité et qu’ils en ont peur tout simplement.
Et ils feront n’importe quoi pour se convaincre du contraire, et pour se rassurer.
Alors que finalement, ce changement ils le vivent comme toi et moi.
Simplement, il « n’arrivent » pas à en parler.
L’homme est ainsi fait, le conditionnement relatif à la sécurité est bien ancré dans les moeurs.
pour exemple, qui peut prétendre être capable de vivre au jour le jour?
prévoir du bois pour l’hiver,une poire pour la soif, envisager un logement sur et stable, garnir le garde manger de suffisamment de réserves.
ton raisonnement est pertinent.
pour moi la question serait comment vaincre toutes ses peurs?
la peur des mots peut trouver une solution en adaptant notre vocabulaire,
la peur du changement ne se résout que par une attention personnelle, par un prise de conscience.
sommes-nous armé pour changé le monde?
sommes-nous prêts à changé nos habitudes ?
par où devons nous commencer ?par l’intérieur ou l’extérieur.
Qu’est ce qui raisonne le plus en nous dans les exemples diverses de comportement équilibré?
Les conseil donné ou les exemples de vie.
Prendre conscience des dysfonctionnements est très important si l’on agit à changer nos propre conditionnement.
l’homme à aussi la particularité d’être un imitateur et ne suis qu’un chemin qui à fait ses preuves.
Bien sur que mettre le doigt sur les erreurs destructrice de notre monde reste un point primordiale.
Claude
La meilleure façon de vaincre toutes ses peur et pour moi, le lâcher prise.
Les peurs ne sont là qu’à cause d’un manque de contrôle illusoire de l’homme.
Il ne contrôle pas, donc il a peur.
Mais je pars du principe que je prends ce que la vie m’apporte, et j’ai confiance en la Vie.
Cela peut s’appeler Dieu, la Force, l’Univers, l’Amour.
Si nous la reconnaissons, si nous suivons le flot, nous aurons ce dont nous avons besoin.
Lacher-prise sur ces illusions de contrôles, c’est une méthode facile et directe pour vaincre toute ses peurs.
Libérer ses peurs ! Plutôt que de les vaincre.
Ce n’est pas uniquement lâcher, c’est surtout de les libérer, aussi de se libérer de ses peurs.
Le mental et l’égo semblent régis par l’espace et le temps, auxquels nous
sommes identifiés, l’espace et le temps tels que nous les connaissons changent en permanence ,cela se manifeste physiquement par ce que nous
nommons le « vieillissement et son aboutissement » la mort; voila la source de toutes les peurs .
Mais, tout ceci n’est qu’une « réalité » apparente, une image, un instantané ,ce que je suis ne dépend ni de l’espace, ni du temps, car,
je Suis de toute éternité, je suis l’Être qui se manifeste de façon individuelle à travers cette apparence .
Il sufit de se tourner vers ce que Je suis, de voir le monde avec le regard de Qui je suis pour que toutes les peurs disparaissent ,et que
toutes mes actions soient en accord avec ce qui est :l' Être et de toutes ses expressions diverses er variées que nous pouvons
voir manifestées par la nature .
Petit complément….
La preuve que ce que nous percevons de la vie est une image, un instantané
c’est que ce que nous appelons le « monde réel » se construit et déconstruit
à chaque instant mais cela à une telle fréquence vibratoire que cela nous
parait fixe ,et à la source de tout cela est :
l' Être que je suis de toute éternité
Oui se libérer de ses peurs tout à fait.
Bonjour Jacou,
juste un petit mot pour te dire que j’adhère complètement à tes commentaires.
Belle soirée,,
Serena
Bonsoir Serena
C’est certainement ce qu’on appelle la convergence harmonique