Il est toujours difficile de se prononcer sur le bien et le mal. Car un mal n’est pas « le mal », et un bien n’est pas « le bien ».
On constate même souvent que des événements qui, au début, paraissent catastrophiques, se révèlent finalement bénéfiques.
Et malheureusement, on constate aussi l’inverse : des événements apparemment heureux se transforment en catastrophes, parce que les personnes n’ont ni la sagesse ni la maîtrise nécessaires pour tirer parti de ces situations favorables.
Au moment où les événements se produisent, on ne peut pas savoir si, avec le temps, ils se révéleront bénéfiques ou néfastes pour soi-même et pour les autres.
Alors, quand vous subissez un échec ou une épreuve, prenez l’habitude de vous dire qu’au bout du chemin, c’est peut-être quelque chose de bon qui vous attend.
Message de L’Ami (Jésus) reçu par Agnès Bos-Masseron le 15-4-18
Question : Qu’est-ce que la négativité ? D’où vient-elle ?
La négativité est la résultante du libre arbitre. La négativité n’existe point au niveau du un. La négativité n’est qu’au niveau du duel.
Parce que l’être humain est créé à l’image du divin, l’être humain, inhérent à lui, a le libre arbitre. Inhérente à ce libre arbitre, est la possibilité de s’enfermer dans des choix, des illusions qui ne sont pas celles de la pleine ouverture, du un, qui sont celles d’un ego cristallisé. De l’ego cristallisé, découlent des émotions cristallisées, un mental égaré, un corps affaibli. Ainsi, au sein du duel, est la panoplie de tous les milliards d’expériences.
L’au-delà, le Vénérable, est intouché par les expériences. La gloire est qu’au niveau le plus ultime, chaque expérience, quelle qu’elle soit, fond dans la gloire rendue au Vénérable, car le duel éternellement émerge et fond dans le un. Ce n’est qu’un jeu. Pourtant le jeu se doit d’être joué avec authenticité totale.
Le choix, le libre arbitre, peut être utilisé pour éternellement sortir du duel.