Quand ils sont déçus par les événements, insatisfaits de leur sort, les humains ont tendance à se projeter dans l’avenir. L’espoir est sans doute ce qu’ils abandonnent en dernier.

Mais en attendant des jours meilleurs, on a besoin de trouver sur quoi s’appuyer pour tenir bon. Or, pour tenir bon, il faut non seulement avoir la foi, mais entretenir aussi la vie en soi, et c’est grâce à l’amour qu’on entretient la vie.

Sinon, l’espérance peut n’être qu’une fuite devant la réalité, et alors elle aussi, un jour, nous abandonne.
Or, en général, que font les humains ? À la moindre déception, au moindre obstacle, ils perdent leur amour, ils perdent la foi, et alors l’espérance les quitte aussi. Comment leur faire comprendre que les difficultés ne sont vaincues que par la foi, l’espérance et l’amour ? Mais à condition que cette espérance, cette foi et cet amour se tournent vers Dieu.

Ces trois vertus peuvent être comparées aux trois faces d’un prisme de cristal : et la présence divine est le rayon de soleil qui tombe sur ce prisme pour se décomposer en sept couleurs. >> ;c=7916825751&SESSION_ID=MAILING5dabb8f27216e