Message de l’Ami reçu par Agnès Bos-Masseron
Belle était cette question du sens de la relation entre chaque être et la terre, entre chaque être et la fraternité.
N’oubliez jamais les deux plans. Il est vrai, la terre est être lumineux. En soi, rien ne peut affaiblir ou altérer la puissance de la lumière de cet être qu’est la terre. Et pourtant, à quel point cette planète qu’est la terre dans son expression tridimensionnelle est défigurée. A quel point elle est écrasée.
De même, rien ne peut altérer ou affaiblir la beauté et la puissance de la lumière qu’est chaque être. Cette fraternité que vous nommez fraternité lumineuse, fait le choix inconditionnel de n’honorer que cet aspect qui est lumière, qui est ce que Je Suis. Et pourtant, à quel point la dimension angélique, par exemple, est écrasée, à quel point son rayonnement est ombragé par tout ce déversement non considéré de ce qui peut se nommer négativité.
Il est vrai, l’on ne pourrait jamais dire que les anges ont besoin d’aide, et pourtant les anges ont besoin de réciprocité et de coopération. La nature elle-même a besoin de réciprocité et de coopération. Chaque membre de la fraternité a besoin de réciprocité et de coopération. Cela n’altère en rien la perfection du Un, la perfection du sublime. Il est temps que chaque être se réveille et choisisse de n’honorer que les voies de l’amour.
Il est vrai, la terre a choisi, par infinie bienveillance, d’honorer le libre arbitre. Ainsi dans chaque moment de maintenant, chaque être a le libre arbitre de choisir. Il est temps que chaque être comprenne l’importance des dégâts créés par chaque vague de négativité. Il n’y a pas que les canons qui détruisent, il n’y a pas que la pollution qui salit.
La grande majorité se croit honorable en condamnant les canons et en condamnant ceux qui laissent les fleuves, les océans, les rivières, l’air et la terre être pollués. Et qui veille à n’émettre aucune pollution ? Cela, c’est le libre arbitre et le choix d’honorer sa propre grandeur. Rien ne peut excuser ou ne peut même expliquer cette indulgence des êtres humains, cette nonchalance qui fait qu’au moindre chamboulement – le foie peut être un peu agité ou l’autre, cet autre imaginaire, un peu secoué – pour que se déverse une énergie aussi puissante et aussi destructrice que le feu des canons.
Il faudrait pouvoir le dire, le pouvoir créateur des mots et le pouvoir destructeur des mots. Il faudrait pouvoir le dire, le pouvoir créateur de la pensée et le pouvoir destructeur de la pensée. Alors il est vrai, la fraternité reste la fraternité. La lumière de toute éternité reste la lumière. Pourtant la Fraternité appelle, et implore peut-être, certainement même : « cessez, cessez les voies de dysharmonie, cessez les paroles abruptes, cessez les pensées chaotiques, cessez même les soucis, cessez les voies de tristesse ou de ressentiment « .
L’humanité devrait le savoir pourtant, à quoi bon ? Depuis des siècles et des siècles et des siècles, les humains s’entredéchirent à coup de mots, à coup de pensées. Depuis des siècles et des siècles et des siècles, les humains polluent la terre par leur attitude. Et voyez, rien ne change si ce n’est que la planète est de plus en plus obscurcie. Pourtant il est vrai, elle reste lumière. La logique d’être lumière est d’agir en être de lumière. C’est la seule logique. Être lumière, être l’infinie noblesse.
Alors, qu’attend l’humanité pour s’éveiller à sa propre noblesse ? Ces drames qui semblent si pesants ne sont que des enfantillages. Pourtant tout le monde le sait, tout le monde condamne les canons. Alors pourquoi en créer encore et encore et encore avec des mots qui ne sont que le résultat d’un manque total de loyauté envers sa propre noblesse ? Qu’attend l’humanité pour s’éveiller à elle-même ?
Il est vrai, l’humanité est divine et rien n’altère cela. La terre est divine et rien n’altère cela. Et la fraternité reste la fraternité. Pourtant il est temps de se réveiller, car dans cette réalité tridimensionnelle, la terre très sérieusement courbe l’échine, accablée, non pas tant par la pollution chimique ou électromagnétique, mais bien plus par celle que la plupart déverse à travers des mots trop hâtifs et négatifs, à travers des pensées trop hâtives.
On ne peut s’empêcher de s’inquiéter pour la situation de la terre. Alors comprenez et cessez de vous inquiéter, agissez. Œuvrez. Entourez chaque être de l’infinie bienveillance, de l’infinie bonté et de l’infinie beauté. Peu importe l’attitude de chaque être puisque vous savez que l’attitude que vous recevez n’est que celle que vous émettez.
Il est temps que l’humanité se réveille. Il faudrait pouvoir le dire et le répéter. L’heure est au grand réveil à l’infinie beauté, à l’infinie tendresse. A chacun de l’actualiser.
Nous vous remercions.
Publié par Satyam (Profil & Articles associés)
Un cri du cœur comme l’on dit.
Je crois être de ceux qui œuvrent pour cela au jour le jour, pas facile par moment. Parfois si dur aussi.
Mais enfin je suis heureux de ce travail d’amour, de lumière et de qualifications que je fais. Je me sens utile et à ma place comme cela.
Nous sommes nombreux dans le cercle des amis (de Bruno Groening) de le faire et d’envoyer des prières qui s’appellent einstellen pour la terre et l’humanité entière (les einstellen sont vraiment élaborés, c’est plus que cela). Mais nous ne sommes pas encore très nombreux.
Je reviens hier Dimanche d’un culte de partage et de communion de fraternité où j’avais cette sensation la : que j’étais un des rare, voire le seul, à transcrire les paroles en énergie. Alors quelle bataille ce fut ! Je crois que j’en suis même battu d’avance pour l’année prochaine : trop difficile, trop de force à produire quand on est seul à œuvrer dans ce sens. J’irai plutôt me promener et méditer au parc pour faire ce travail tranquille de mon côté. Enfin je verrai, tout dépendra de ma forme du jour.
Peut être s’agit-il de tout cet univers ?
Je vais vous faire une confidence, je trouve cette bienveillance par trop infinie. Je la préférerais, et de combien ! finie.
Que l’on comprenne ce que je veux exprimer : laisser se détruire un monde par bienveillance et pour honorer le libre arbitre ne me correspond pas.
Je vais faire, ai fait, des prières pour que les hommes soient avertis sans avoir besoin de demander, par action directe de prévention des difficultés. Je pourrais parler d’une expérience vécue avec Ramana Maharshi, du lourd. Avec ça les choses sont mises aux claires résolument.
Oui je prie pour que le libre arbitre soit respecté, aimé et honoré ; mais aussi d’être prévenu à temps par de puissantes actions spirituelles pour que les lignes de futur se maintiennent sur le meilleur.
Je crois qu’être prévenu une fois avant de faire une erreur dramatique sans avoir à le demander n’est pas trop demander.
Que cela veut-il dire ? Faire peur ?
Oui peut être parfois, ça peut aider. Mais faire du bien aussi, ne dit-on pas qu’il vaut mieux prévenir que guérir.
Avec douceur et remerciements
« Je vais vous faire une confidence, je trouve cette bienveillance par trop infinie. Je la préférerais, et de combien ! finie.
Que l’on comprenne ce que je veux exprimer : laisser se détruire un monde par bienveillance et pour honorer le libre arbitre ne me correspond pas. »
– La bienveillance commence par soi-même l’on ne peut avoir de bienveillance si l’on ne l’a pas soi-même . La source même de la création est amour , donc bienveillance et ce monde ne peut en être détruit , ce qui le détruit c’est justement ce manque de bienveillance .
Quand au libre arbitre , Il /Elle, Le Vénérable/La Vénérable , n’a que faire d’un robot pour Se mirer et Se connaître
Qu’en sais-tu Jacques… ? Peut-on seulement imaginer ce que l’absolu pourrait n’avoir que faire ?
Tomtom333
Une réponse des Messagers de Monique Mathieu ( Du Ciel à la Terre )
L’humanité est esclave de la technologie
« Actuellement vous êtes esclaves de la technologie !
Il y a plus de sept milliards d’humains qui se posent de plus en plus de questions quant à leur réalité d’humain. La machine créée par une technologie débordante n’est pas là pour servir l’homme. Elle a remplacé l’homme alors que la technologie et la robotique auraient pu l’aider considérablement, mais sans l’asservir.
Comment la technologie aurait-elle pu être une aide considérable pour l’homme ? Déjà en limitant son travail ! Au lieu de travailler comme vous le faites des heures et des heures, des années et des années, la technologie aurait pu vous libérer de beaucoup de contraintes professionnelles et, à ce moment-là, vous auriez tous eu du temps pour vous épanouir spirituellement, pour être des créateurs de beauté et pour vivre dans la fraternité…
Au contraire, la technologie actuelle divise les hommes car ils n’ont pas envie de perdre leur travail ; les hommes sont forcés de « gagner leur vie » ; c’est une expression terrible ! La vie ne se gagne pas, la vie se vit, tout simplement !
Beaucoup de jeunes enfants et d’adultes sont complètement addictes à la technologie, à leur téléphone, à leur tablette, au point de perdre le goût d’échanger avec leurs frères humains, si ce n’est à travers d’une petite machine, inhumaine bien sûr.
Vous disposez de certaines choses qui pourraient être extraordinaires comme Internet et les réseaux sociaux.
Tout cela, croyez-le bien, n’a pas pour but de vous faciliter la vie ou d’aider à l’éveil de l’humanité, mais sert à ceux qui ont investi votre planète afin de pouvoir dominer l’humanité ; c’est leur objectif. Ils travaillent pour l’ombre ! La seule chose qu’ils ne comprennent encore pas tout à fait, c’est que nous sommes là et que nous veillons à ce que cela soit encore un peu supportable pour l’homme et que, petit à petit, avec ses prises de conscience, il ne soit plus esclave d’une technologie, quelle qu’elle soit….
ducielalaterre.org
Et aussi :
… »En fin de compte, relier la possibilité d’une conscience artificielle à notre capacité à reproduire le connectome du cerveau humain, c’est-à-dire son architecture neuronale, ne mènera peut-être jamais qu’à une autre forme de croyance, non pas spirituelle, mais matérialiste ? Considérer l’existence de machines conscientes changera profondément l’avenir de l’homme, son rapport au monde, à l’autre et à lui-même. Si les promesses du transhumanisme et de l’intelligence artificielle sont grandes, ses risques de dérive le sont tout autant : avant de promettre, à l’instar de Ray Kurzweil ou Dmitri Itskov, la sauvegarde de la conscience humaine dans des machines, il est impératif d’aller au-delà des croyances et de s’assurer que celles-ci seront capables, un jour, de la recevoir… Et si ce n’était pas la conscience qui était un produit de la matière, mais le contraire ? C’est une question, très scientifique, qui reste ouverte à ce jour.
« Je considère la conscience comme fondamentale. Je considère la matière comme un dérivé de la conscience. Tout ce dont nous parlons, tout ce que nous considérons comme existant, suppose la conscience. » Max Planck, père de la théorie quantique et prix Nobel de physique en 1918. »
Tout cela est vrai Jacques, mais tu ne réponds pas aux questions…
Pour la canalisation de Monique Mathieu, il s’agit là d’une vision globale à caractère d’avertissement et de précaution me semble-t-il. Tout le monde n’en est pas là, mais enfin c’est une bonne chose de pointer vers ce qui peut constituer un risque, ou qui est un risque avéré pour certains.
Ce que soulève Max Planck dans cette citation est remarquable et confirme ce que certains saints disent depuis si longtemps : que la matière est consciente. Bien entendu une conscience très différente de la notre, mais avec ses propres réalités et sensations. Il ne le dit pas cela ouvertement exactement, mais je pense qu’il aurait pu certainement y être ouvert étant donné sa conception de la matière :
*
À la fin de sa vie, il conclut :
« Pour moi qui ai consacré toute ma vie à la science la plus rigoureuse, l’étude de la matière, voilà tout ce que je puis vous dire des résultats de mes recherches : il n’existe pas, à proprement parler, de matière ! Toute matière tire son origine et n’existe qu’en vertu d’une force qui fait vibrer les particules de l’atome et tient ce minuscule système solaire qu’est l’atome en un seul morceau […] Nous devons supposer, derrière cette force, l’existence d’un Esprit conscient et intelligent. Cet Esprit est la matrice de toute matière »
— Das Wesen der Materie (La Nature de la matière), conférence donnée à Florence, Italie (1944)3
(wikipédia)
*
Et aussi, même si cela n’est en aucun cas un lien de cause à effet obligé, que sa généalogie était profondément relié à la théologie.
Oui, bien d’accord que la matière ait une conscience « latente », mais en ce qui concerne les robots et tous objets aux contacts de l’homme ils peuvent et sont imprégnés de charges émotionnelles qu’ils peuvent restituer d’une manière ou d’une autre , mais ils n’ont pas d’autonomie de conscience « active »
-« Lorsque l’on demande à quelqu’un quelle est la différence entre l’homme et la machine, bien souvent, la réponse est que la machine est incapable de ressentir des émotions.
Pourtant, on voit de plus en plus de robots exprimer des émotions. On parle même pour certains de robots émotionnels… Mais sont-ils réellement capables de ressentir des émotions ? Un robot peut-il se mettre en colère ou tomber amoureux ? Un robot peut-il avoir mal ou, au contraire, éprouver du plaisir ?
Pour tenter de répondre à ces questions, il convient de distinguer trois aspects :
La capacité d’exprimer des émotions
Celle de percevoir les émotions exprimées par les autres
Celle de ressentir soi-même des émotions.
Ces trois facettes sont nécessaires pour qu’une entité, organique ou artificielle, puisse être qualifiée de créature émotionnelle.
La capacité d’exprimer des émotions est celle qui est la plus maîtrisée aujourd’hui. Depuis les travaux de Charles Darwin et ceux de Paul Ekman, pour ne citer que les plus connus, nous savons qu’il existe des expressions émotionnelles universelles. Toute l’histoire de l’art et celle plus récente de l’animation montrent que nous sommes capables de créer des personnages artificiels qui expriment parfaitement ces émotions. Il en est aujourd’hui de même avec les créatures artificielles, par exemple dans les jeux vidéo, et bien sûr avec les robots.
La seconde capacité correspond à celle de percevoir les émotions. Il s’agit d’être capable de capter et d’interpréter les signaux comportementaux et verbaux qui témoignent de l’état émotionnel de son interlocuteur.
Là encore, nous avons fait des progrès importants ces dernières années, en particulier grâce aux avancées dans le domaine de l’apprentissage profond (Deep Learning). En analysant les expressions faciales, la tonalité de la voix et le contenu des messages verbaux, il est possible d’en déduire l’état émotionnel d’une personne.
Métabolisme émotionnel
La troisième capacité est celle de ressentir (réellement) des émotions. Les humains possèdent un métabolisme émotionnel complexe faisant intervenir de nombreuses régions du cerveau dont le système limbique. À l’inverse, les machines ne possèdent aucun métabolisme émotionnel. Il est bien sûr possible de simuler un tel système, comme nous l’avons fait dans le projet Living Joconde par exemple. Néanmoins, il s’agit d’une simulation et non d’un véritable dispositif permettant de ressentir à proprement parler des émotions.
La boucle d’interaction émotionnelle de la Living Joconde est constituée par un capteur capable de percevoir le comportement des spectateurs, un métabolisme émotionnel bioinspiré utilisant un modèle connexionniste, et une infographie en image synthèse de très haute définition animée en temps réel. Institut de l’Internet et du Multimédia, Author provided
En effet, l’homme est doté non seulement d’un système sophistiqué de perception externe (les cinq sens classiques), mais aussi de perception interne. Le cerveau est hyperconnecté au corps par un réseau qui nous permet de ressentir avec acuité l’ensemble de notre corps.
Prenons l’exemple d’une sensation comme la douleur (nous nous limiterons ici à la douleur physique), qui n’est certes pas une émotion à proprement parler, mais qui a un impact direct sur la biochimie émotionnelle du cerveau. Nous percevons les agressions physiques au travers d’un réseau dense de nocicepteurs qui détectent les stimuli potentiellement douloureux pour transmettre l’information à l’encéphale.
Les robots, et plus généralement les machines, ne possèdent aucun système similaire. On notera d’ailleurs que les robots actuels ne sont dotés que d’un nombre relativement restreint de capteurs internes. Dans la plupart des cas, un robot ne peut donc pas percevoir la « limite » entre son propre corps et l’environnement ni « sentir » directement une quelconque agression physique. Par conséquent, il ne peut y avoir en pratique l’émergence d’une conscience de soi ni de véritables sensations émotionnelles primaires ou d’ordre supérieur.
Cela ne signifie pas qu’il soit impossible d’envisager une machine capable de ressentir des émotions. Mais cet objectif, si cela devait en être un, est encore hors de portée. Il faudrait pour cela imaginer des architectures radicalement différentes. Que serait alors la douleur ou le plaisir pour une machine ? La question reste encore sans réponse.
Simulation amoureuse
En guise de conclusion, s’il est parfaitement possible de concevoir des robots capables d’interagir avec nous émotionnellement, avec un réalisme parfois saisissant, ils ne sont en aucun cas capables de ressentir réellement des émotions : un humain peut tomber amoureux d’un robot et « projeter » sur lui ses propres sentiments, mais un robot, lui, ne pourra tout au plus que simuler un comportement amoureux…
theconversation.com
La matière a une vie, une conscience et un certain degré de sensibilité parce que Dieu est en elle, comme Il est en tout. Si nous étions suffisamment évolués spirituellement, nous pourrions percevoir l’aspect véritable de la matière qui est lumineuse en soi.
Rien à voir avec les émotions des robots programmées artificiellement, ni avec ce qu’on appelle « intelligence » qui n’est rien autre qu’un transfert de données mentales humaines.
De plus, certains objets peuvent être chargés d’une grande dose de vibrations divines si on communique avec eux par la conscience ou la foi (pierres précieuses, totems, icônes, statues, photos….)
La communication avec les robots n’est basée que sur des calculs savants et des projections émotionnelles forcées.
Pourquoi l’être humain cherche-t-il toujours à réaliser artificiellement ce qu’il ne peut atteindre par des moyens naturels ?
La paresse sans doute…
Selon la loi de l’évolution, tous les règnes sont amenés à s’élever. Lorsque l’homme sera parvenu à une dimension supérieure, les animaux suivront en acquérant des capacités mentales, les végétaux sauront s’exprimer plus ouvertement comme les animaux, et les minéraux deviendront plus sensibles comme les végétaux.
Donc inutile de perturber ce rythme naturel en créant artificiellement des fausses capacités. Le mythe du surhomme est un fantasme qui conduit plus à l’aliénation qu’à la libération.
@ Marie-christine
Entièrement d’accord avec toi
Il y a des millénaires au temps de l’Atlantide l’humanité d’alors avait une grande connaissance de l’énergie de comment la capter et l’utiliser notamment avec les cristaux, mais , certains cerveaux au mental hypertrophié et à la conscience d’un petit pois ont voulu la manipuler et l’utiliser à des fins egotiques , mettant en péril l’équilibre de la planète , ce qui a provoqué l’effondrement de cette île/continent et l’éradication d’une bonne partie de cette civilisation .
Il semblerait que l’histoire veuille se répéter , mais fort heureusement partout dans le monde les consciences s’éveillent .
« Question : Pourquoi l’humanité a quitté l’âge d’or et a sombré ?
Sanat Kumara nous répond :
L’humanité n’a jamais sombré. Voir l’humanité sombrer est l’apercevoir dans la courbe du temps linéaire. L’une des invitations de dévotion est de cesser de considérer l’histoire de l’humanité dans la courbe du temps linéaire et de contempler éternellement l’humanité de gloire.
Alors bien sûr vous nous direz « les apparences, on se doit d’être réaliste, n’est-ce pas ? ». Cela est très réaliste, les apparences ne sont plus à l’image de la réalité de gloire de l’humanité. Mais comprenez-le, il n’est point une apparence figée. Chaque être projette sa propre création et l’énergie qui projette cette création est l’attention. La question alors n’est pas de se demander pourquoi l’humanité a sombré, elle est de ramener à l’humanité le don de la vision de l’humanité de lumière, de chérir ce don à travers son incarnation, d’offrir à cela toute la puissance de son attention.
Nous le savons, l’invitation est simple mais non facile, car comprenez-le, la coagulation de l’attention de la majorité de l’humanité sur son histoire de souffrance crée des apparences de souffrance et l’humanité s’embourbe dans la projection de ce film. Ce n’est qu’un film pourtant. L’humanité sait bien à quel point il est difficile de sortir d’un film lorsque l’on a donné toute son attention à des images qui semblent défiler. Alors créez votre film, créez par le don de votre attention sur la vision de pure beauté de chaque être avec lequel vous entrez en relation. Ne mettez votre attention que sur la pure beauté. Au-delà des apparences qui semblent se présenter, vous saurez que l’intensité de votre attention est juste lorsque l’apparence sera alignée à votre vision intérieure, à l’objet de votre attention.
Ainsi la fraternité recrée ou précipite dans la courbe du temps linéaire, la vision de cette humanité de lumière qui reste éternellement la réalité dans le temps simultané. Voyez, la réalité du temps est qu’il n’est que l’éternité. Le temps linéaire n’est point, il n’est que le temps simultané et chaque être allume, dans cet arbre de la création, la lumière correspondant à l’objet de son attention.
Là peut-être a été le piège, même de ceux qui veulent aider l’humanité à sortir de ses apparences d’ornières. Mais comprenez-le, à regarder les ornières, on les fait grandir. A regarder la lumière, on la fait grandir. Il ne s’agit pas de se voiler la face et de croire en une humanité lumineuse alors que les apparences sont rudes et violentes. Il s’agit d’offrir l’ultime dévotion, porter la vision comme on porte un trésor, comprenez-vous, chérir cette vision et la nourrir de son attention.
Comprenez-le, l’attention ne peut être divisée sinon elle s’affaiblit. A garder quelque part l’attention sur la vision d’une humanité d’harmonie et à donner une autre part de l’attention aux apparences de disharmonie pour en triompher, il est vrai, mais cela n’est point ainsi que l’on triomphe des apparences car l’attention donne vie, comprenez-le. Alors osez, osez à travers votre incarnation proclamer le bon, le beau et le simple »….
Tout à fait d’accord, Jacou !
La Mère dit que l’humanité n’évolue pas en ligne droite mais en spirale. ca signifie qu’il y a toujours des bonds en avant, des stagnations et aussi des régressions. Mais dans toutes les périodes, il est indispensable en effet de garder toujours à l’esprit que nous sommes cette pure beauté au-delà des apparences.
Je souhaiterais, si vous me le permettez, mettre par écrit ce qu’il y a dans mon cœur et mon âme, et que j’adresse à vous, mais aussi aux anges et à tous les maîtres et les organisations avec lesquelles je suis en relation (surtout) télépathique. Et bien sûr à Dieu.
Je ne cherche pas vraiment de réponse, si ce n’est celle qui confirmerait mes vœux, et qui me comblerait alors de bonheur. Car il s’agit ici d’abord d’une prière.
J’en reviens à cette phrase de la canalisation de l’Ami d’Agnès Bos-Masseron. Il me semble que « l’Ami » soit en fait celui que nous avons connu sous le nom de Jésus (Christ) ou Jeshua. Mon (notre) grand frère que nous aimons tant.
Que cache cette phrase ? Qui est relié à celle-ci ?
Donc voici le sujet qui me préoccupe :
Pour ceux qui ont suivi mes messages derniers, j’ai écrit, et réécrit donc que pour moi, mon second vœu le plus cher et d’avoir accès à de puissantes lignes temporelles de qualité.
À défaut d’en avoir, je pourrais faire tout à fait confiance à des êtres plus évolués que moi (même si je les obtiens) qui en auraient de plus fortes, de plus magistrales et magnifiques. Et à partir de celles-ci ce serait pour ainsi dire comme ma philosophie d’existence, une de mes volontés de vie en quelque sorte.
Voici donc ma prière :
Je souhaite rester à l’infini sur les meilleures lignes de futur possibles pour moi et pour les autres.
Et c’est là où il y a une possibilité d’incompatibilité de fond, très importante en ce qui me concerne, qui serait celle d’une possibilité de sphères, de fédérations, de congrégations (etc.) qui souhaitent mettre en priorité le libre arbitre par rapport aux meilleures lignes de futur.
Si tel est le cas, je présente avec le plus de délicatesse possible le fait suivant :
Je ne suis pas tout simplement pas des vôtres.
Par contre si l’on me dit par exemple : Tomtom, la chute de l’Atlantide, même si cela te parait être une moins-value par rapport aux meilleures lignes de futur, en réalité il fallait qu’elle se fasse pour apporter des lignes de futur encore plus belles à l’humanité. Les voici (dans ce cas idéalement je pourrais recevoir les arborescences de destinées de l’humanité en vision dans mon âme). Et si je conviens que c’est bien le cas, je confirmerai que mon cœur est avec eux.
Par contre, si l’on m’évoque, l’on me fait comprendre même en filigrane ou en allégorie, ou d’autres manières encore plus subtiles et fines qu’il s’agit finalement d' »honorer » le libre arbitre, c’est-à-dire que c’est lui qui est prioritaire par rapport à la magnification des lignes de destinées ; je serais contraint d’exprimer ceci :
Je suis désolé, je ne me reconnais pas en vous. Je vous aime, mais si vous n’êtes pas comme moi, je suis au regret de partir en recherche de mondes, de dimensions, de sphères… qui elles le sont. (En connaissez-vous ?)
***
Un jour j’ai fait la prière suivante :
» Puisse l’univers devenir de plus en plus merveilleux à l’infini (en harmonique) »
Et j’ai entendu mon Dieu et maître (SSB) me dire :
« C’est la meilleure prière que tu aies faite jusqu’à présent. »
Je lui ai répondu alors que je n’arrêterai donc pas de la faire jusqu’à la fin de ma vie dans ce cas
. Et c’est bien ce que je fais, je l’ai écrite et elle n’est pas loin de moi en ce moment posée sur mon petit autel charmant devant laquelle parfois j’allume une bougie pour la faire briller comme une petite étoile quelque part sur cette planète aimée.
Le libre arbitre n existe que tant et aussi longtemps qu il y a possibilité de faire un choix .
Il existe un » noeud » du temps linéaire ou le libre arbitre » n existe plus » …
Aujourd hui, sur cette planète, il existe encore beaucoup de possibilités de pouvoir exercé ce libre arbitre si cher a certains d entre nous, mais peux être pas pour tous
@++
Le non choix est un choix , celui de ne pas choisir , tant que nous nous identifions à la personne que l’on croit être , l’essentiel de qui nous sommes ne peut se révéler et s’exprimer : nous sommes des êtres de lumière qui avons ( pour le coup ) choisi de nous manifester ( incarner ) dans un corps dense pourquoi ? pour « illuminer » la matière par dévotion envers l’Être que nous sommes .
– Message de l’Ami (Jésus) reçus par Agnès Bos-Masseron le 26-4-19
Différence entre dévotion et soumission
Belle est ta question, frère de lumière, car tu amènes là l’un des points forts sur lequel s’est cristallisée l’ignorance.
Il n’est aucune similitude entre la dévotion et la soumission. Il est vrai, la dévotion amène à ce que l’on peut nommer la totale ouverture et la totale obéissance. L’obéissance n’est pas la soumission. L’obéissance est la clarté. L’obéissance est l’intelligence. L’obéissance est le sous-produit du lâcher- prise total de l’être qui s’offre totalement et s’offrant totalement, ouvert à sa propre divinité et ainsi ouvert à cette divinité qui est l’éternel au-delà de sa propre divinité.
L’être uni ne veut exprimer cette union qu’à travers une obéissance totale à la voix de la sagesse, à la voix de la clarté. Cette clarté lui permet de reconnaître instantanément toute résurgence d’un ego qui voudrait récupérer quelque pouvoir, ou d’émotions qui voudraient s’emparer de quelque interprétation, ou du mental qui voudrait se dissiper.
Alors l’être par dévotion, en obéissance totale à sa propre sagesse, à sa propre puissance, à sa divinité, s’incline et se tait. La motivation de cette obéissance n’est point la soumission, elle est l’infini de l’amour et l’infinie reconnaissance que Je Suis le don vivant.
Dans les temps d’origine, lorsque l’humanité se souvenait que la religion universelle est ce qui unit, ce mouvement, cette attitude, ce regard qui perpétuent l’union sont l’art de l’incarnation découlant de l’union. Au temps où la religion était vécue dans sa pureté, l’être faisait vœu de totale obéissance à sa propre grandeur. Au fil des temps, des récupérations et des pouvoirs, l’obéissance dans sa clarté et sa pureté est devenue soumission. Et plus personne ne sait à qui l’on se soumet. Non au Divin. L’on ne se soumet pas au Divin, on s’offre totalement, l’on s’incline, le reconnaît, l’on se tait et l’on obéit.
Bien d’accord. Il y a souvent cette confusion entre obéissance et passivité.
Certes, il faut lâcher prise et accepter tout ce qui vient, mais pas comme des chiffons mous.
L’obéissance, c’est être à l’écoute des impulsions divines, et si elles nous enjoignent d’agir de telle ou telle façon, on le fait.
Dieu peut nous demander le silence et le calme. Tout comme il peut aussi nous engager à lutter parfois, parce qu’on n’est pas là uniquement pour sa réalisation personnelle, on est un maillon d’une chaîne qui fait progresser le monde, dans une longue série de réincarnations.
Et cela arrive même si on n’a pas forcément la foi. Il suffit d’être branché par le cœur pour percevoir cette vibration et y répondre. On ne sait pas où cela nous conduit mais il y a cet élan profond de l’âme en communion avec les autres âmes, cette certitude pressentie de la vérité en mouvement.
youtu.be
Cher Elem, lecteur et lectrice,
Je suis enchanté de ton message, car il me permet de préciser pour ceux et celles que ça intéresse la nature de ce que j’entends par « meilleures lignes de futur ».
Les meilleures lignes de futur
Eh bien il s’agit tout simplement pour un saint, un Dieu, un siddha, un être développé au niveau de la clairvoyance temporelle de voir, d’évaluer dans l’arborescence des futurs la ligne la plus bénéfique et merveilleuse possible.
Est-ce qu’il s’agirait par exemple de ne plus avoir la possibilité pour les êtres concernés de faire des choix ?
Non pas du tout. Il s’agirait pour chacun de pouvoir être dans un libre arbitre classique, mais avec une gestion d’une civilisation vers le meilleur en continu.
Donc tout le monde garderait son libre arbitre de pouvoir faire ce qui lui chante, plus ou moins en fonction de ses choix de vie bien entendu.
Un bémol cependant, une ligne de futur globale implique d’appliquer des actions, de traduire les visions en actes qui appliqueront une modification de la destinée de la civilisation.
Et si cela était réalisé sur terre, que se passerait-il ?
Pour la majorité des gens, absolument rien. Ce serait imperceptible.
Par contre au niveau subtil effectivement il y aurait possiblement d’importantes modifications dans la gestion des destinées et de l’influence des égrégores.
Prenons un exemple concret :
Les influences du mal sur notre monde.
Certaines entités désincarnées, certains êtres incarnés (loge maléfique, sorcier solitaire) travaillent à dégrader du mieux possible le monde dans lequel nous sommes.
Nous savons pour ceux qui se sont penchés avec attention sur les causes et conséquences des guerres, que le nerf de celle-ci n’est pas que l’argent, mais les combats spirituels qui poussent certains individus à en attaquer d’autres pour des raisons variées.
Avec l’application des lignes meilleures de futur, le travail serait certainement un traitement de désarmement des tendances belliqueuses au niveau subtil par l’amour et la douceur par exemple. Il est possible que certaines actions directes soient envisageables à ce niveau.
Cela implique-t-il que nous changions notre manière d’être libre ?
Effectivement, bien qu’au début il n’y aurait aucun changement visible, petit à petit – cela étant juste une hypothèse de ma part – il y aurait une évolution douce et contrôlée d’un libre arbitre disons « total », à un libre arbitre « total bénéfique ». C’est-à-dire que l’ensemble de la civilisation deviendrait totalement libre de faire ce qu’il lui plait, ainsi que chaque individu, mais dans la limite d’agir pour son / le bien.
Cela prendrait évidemment certainement plusieurs générations pour que cela se généralise.
Il ne faudrait pas imaginer qu’à ce moment il y aurait de graves sanctions pour celui qui perpètrerait des actions dites mauvaises, simplement elles se feraient de plus en plus rares parce que les inconscients collectifs auraient évolué vers le meilleur.
Du choix du moi au choix du soi .
Il est bien évident que la personne n’ayant conscience d’exister que par son identification au moi de l’ego n’a le choix que lui permettent ses différentes croyances et conditionnements, ce n’est que lorsque sa conscience commence à s’éveiller que nous pouvons parler de discernement et de libre arbitre dans l’incarnation , lorsque la connexion avec l’être de lumière que nous sommes est pleine et entière nous pouvons parler de liberté parce que je suis est Cela et qu’il n’y a rien d’autre que Cela .
Intéressante pensée Jacques que celle du libre arbitre du Soi par rapport au libre arbitre du moi.
Effectivement Omraam M A explicitait bien, comme il savait si bien le faire, que lorsque nous entrons dans la providence, nous sommes absolument libre.
Ainsi Elem, devenir libre dans le bien ne limite pas la destinée comme certains pourraient le penser. Quand on obtient cette amplitude Divine, au contraire, je dirais qu’elle augmente globalement la liberté de l’individu unifié.
– De la Fraternité du Vivant :
« Pour nous, la Joie est la nature de la Vie, la source de tout et la motivation de nos actions. Nous aimons vous accompagner dans le retour et la concrétisation dans la vie quotidienne de cette évidence que seule est la Joie.
Cela implique vivre depuis un autre paradigme, que nous aimons vous inspirer à découvrir. Vivre depuis la référence à votre nature propre, libre des conditionnements et des influences extérieures, invite à un autre positionnement. Cela invite aussi à se dépouiller de bien des habitudes de fonctionnement, de bien des croyances ou de cicatrices anciennes, se libérant ainsi de ce passé qui semble peser et enchaîner…
Retrouvez la liberté d’être un être Humain, déployant pleinement ses potentialités depuis le paradigme que tout est possible, puisque l’Etre humain, par nature, est l’Etre dans la simple splendeur de sa nature de conscience pure…
Réapprenez à vivre au-delà des cloisonnements du mental, à l’écoute de la vie dans toutes ses manifestations, de la plus matérielle à la plus céleste, à l’écoute de toutes les Voix, échos de la seule voix : celle de votre Etre véritable, et appliquant l’inspiration dictée par cette voix dans tous les détails de votre Vie quotidienne. »
Tout à fait en phase avec vous, Tomtom et Jacques !
En fait, Dieu nous donne la liberté d’être esclaves de nos désirs et de nos impulsions. A nous de comprendre ce qu’est la vraie liberté. La liberté est dans la maîtrise de soi en toute circonstance, c’est n’être influençable par rien ni personne que par l’appel divin. (bon, j’ai encore du chemin à faire !)
L’image du petit chaperon rouge me vient à l’esprit. La fillette avait un but : aller rendre visite à sa grand-mère et lui apporter à manger. C’était clair et net! Hé ben non, elle s’est mise à batifoler, à cueillir un fleur par ci, à poursuivre un oiseau par là… Résultat, elle s’égare et rencontre le loup. De plus, elle a perdu du temps et donné l’occasion à la bête d’avaler la grand-mère. Conséquences néfastes de l’irresponsabilité. Rien à voir avec une quelconque punition divine. C’est la logique imparable de l’erreur avec ses conséquences naturelles.
C’est pourquoi il est si important de savoir en conscience à quoi ou à qui on obéit chaque fois que l’on émet une pensée, une parole, une action. Savoir si on est dans le mensonge (à soi-même parfois) ou dans la vérité. La vraie liberté, c’est être sur la bonne voie, être dans la vérité. Dans ce cas, tout marche comme sur des roulettes.
Je pense que ça demande de l’entraînement. Et plus on s’entraîne, plus ça devient facile. Et là, on change de ligne de temps.
Oui, Dieu ne punit jamais il est don et par-don de l’amour, nous commettons des erreurs mais c’est par elles que nous grandissons dans la conscience de qui nous sommes , l’incarnation est un jeu , mais pour pouvoir jouer dans la joie , la liberté et l’amour il est nécessaire d’avoir vu et de voir tout ce qui n’est pas en accord avec notre aspiration profonde qui est en dehors de tout concept mental , cela demande vigilance dans nos pensées, paroles et actions , je reconnais qu’il est bien plus facile de l’écrire que de le vivre .
Oui, c’est bien ça, jacques !