Imaginez que vous souffliez violemment sur une branche fleurie : les pétales s’envolent dans tous les sens ; il ne reste plus rien de cet ordre, de cet agencement qui en faisait toute la beauté. Eh bien, c’est ce que vous faites aussi lorsque vous vous laissez aller à la colère, la jalousie, la cupidité, la sensualité : vous produisez un souffle, un courant qui trouble la disposition des atomes et des électrons en vous, et c’est la perturbation de cette organisation intérieure qui est à l’origine des maladies psychiques, ou même physiques, et qui vous coupe du monde spirituel.

C’est pourquoi, lorsque vous éprouvez un trouble, un malaise, parlez à vos cellules, dites-leur : « Allons, apaisez-vous, je vous envoie des ondes d’harmonie et d’amour, soyez obéissantes, reprenez votre travail. » Ne laissez jamais un état négatif s’installer en vous, tâchez d’y remédier immédiatement.

Omraam Mikhaël Aïvanhov