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Aujourd’hui, depuis hier, et demain qui s’éternise dans l’après, je suis à la convergence des chemins.
Il y a quatre directions, comme la croix que je porte à mon cou et qui comporte une pierre bleue, une pierre violette, une pierre jaune, une pierre verte…
Un cercle en son milieu…………
Je suis un rêve, une espérance ….
Scrutant les millénaires sans retour..
Un mirage dans lequel ton cœur admirable pourrait se perdre..
N’oublie pas que notre corps précède les choses et part à jamais..
Je m’attriste et m’angoisse moi-même pour toi..Simplement pour te dire, qu’un jour les traces nous quittent et l’image disparaît..
Le chemin que tu prends pour revenir de si loin est bel et bien celui que tu as choisi…
Il est comme un filet de lumière sur un pont..
Toujours…
Bien loin du chant qui plonge dans mes pensées et que j’écoute en silence..
Ainsi va le cercle, le carré s’arrête..
Eternellement, Toi !
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« Citadelle, je te construirai dans le coeur de l’homme »
et moi, de grands jardins…
Avec de l’amour et de la ferveur non éparpillés dans l’espace et dilatés dans l’informe du grand tout…Préférant la fidélité à l’effusion…
Et patati et patata…
Et allant là, comme l’aurore agenouillée dans l’espoir des retrouvailles de cette complicité dont je rêves…
Je hurle dans le noir intersidéral ton nom celui de ma chair à genoux,
et je brise mon être sur ton reflet si dur,
car je ne respire que cela : le souvenir de la blessure si intense et si inconnue de ma clarté mise au monde…
Et quel est le don que j’offre au monde éberlué tout autant que moi ?
Ma souffrance surmontée par le simulacre de mon équilibre que je ne sais offrir.
Pas d’bol, j’suis pas couché Ds Ya et voilà mes poèmes chrysanthemes de cette aura bla-bla…
Il y a un truc et c’est pas du toc de cette trique existentielle qui traque l’ennemi supposé de notre bonheur en le noyant de tracasseries sémantiques, tu crois pas ?
Je suis l’elfe, le fou, le no man’s land, le trouduc peu importe car je ne revendique rien surtout pas te changer, mais juste, tu veux pas être un peu heureuse ?
Juste déconnecter le neurone émacié qui turlupine à l’endroit hyper-précis de la « blessure » ?
Car « l’autre », celui que tu rêves et bataille n’est autre que Toi. Car il t’aime, plus que tu ne peux pour ton soi
Et je sais ce que tu vas dire… « Il » revient te mettre les boules, là où il n’y en a pas…
Pour te dire : la cible n’est pas la cible.
C’est la paix-tank de l’amour ..
boule apres boule, tel de flamboyante comet .. pointer sur les maux … pour approcher le silencencieux-cochonné ..
Coucou Verbre le poète
Coucou Elisa
Verbre, je ne suis pas sûre que tu comprennes ce que tu écrives.. Faire du style, c’ est une chose mais Si tu as un message précis a faire passer, fais en sorte d’ être plus clair..
Oui Elisa, un poète si tu veux mais qui aurait perdu sa plume !
Au clair de la lune, mon ami Yaya !
Un jour tu comprendras
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Ton lien ne marche pas Alim..
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