MESSAGES RADIO – TÉLÉVISÉS EXTRATERRESTRES (1971 – 1977 – 1989-93 – 2008)

Les années 70 et 80 furent très particulières en matière de contacts extraterrestres. En effet, un certains nombre d’événements eurent lieu en Angleterre, mettant au premier plan des contacts radiophoniques et télévisuels surprises avec des êtres provenant de l’espace souhaitant diffuser leurs messages à notre attention. Le Brésil n’est pas en reste puisque des messages audios d’Ashtar lui-même se sont insérés à différents endroits du pays sur des cassettes. Ces événements n’étaient-ils que les prémices d’une plus grande vague de communications télévisuelles dans les prochaines années de la part de la Flotte de la Lumière ?…

1971

Un premier cas célèbre se produisit en Angleterre, il y a 35 ans, en 1971, durant une émission de radio animée par « London Radio » (future « Greater London Radio », elle-même future « BBC London ») dont le thème était les OVNIS. L’ufologue Rex Dutta était l’un des deux invités de cette émission. Rex Dutta (qui est mort aux alentours de 1993), était aussi rédacteur en chef d’un magazine théosophique appelé « Viewpoint Aquarius (Point de vue Verseau) ».

L’émission se déroula parfaitement bien, à tel point que les standardistes de la station fut submergée d’appels. Face à un tel succès, le producteur (qui n’avait pas prévu un tel succès) décida de programmer une autre émission, afin d’écouter les réactions des auditeurs.

La nouvelle émission se déroula le vendredi 8 Janvier 1971. Rex Dutta fut à nouveau invité. Le téléphone du standard sonna âprement, et les auditeurs, très passionnés, purent s’exprimer à l’antenne sur le thème des OVNIS.

Alors que l’émission avait rendu l’antenne, et que les invités s’apprêtaient à partir, le standard continuait toujours à sonner, et parmi les appels des auditeurs, un seul, reçu par une des standardistes, fut annoncé comme venant de l’espace. C’est le téléphone de l’assistant du producteur (qui, comme par hasard, fut le seul combiné disponible de toute la station) à qui fut transmis l’appel de la standardiste.

L’assistant du producteur (plus ouvert que le producteur sur la question des OVNIS) eut alors la présence d’esprit de rediriger l’appel sur les hauts-parleurs internes de la station, ce qui fait qu’une vingtaine de personnes, dont Rex Dutta, purent entendre l’inconnu. Même si on avait songé à un canulard, il fut quand même décidé de faire passer la conversation en direct à l’antenne. Il était 21h10.
La voix de l’inconnu prétendant venir de l’espace, avait un curieux timbre métallique.

La conversation en anglais suivante s’engagea durant 40 minutes entre l’assistant du producteur et l’extraterrestre : (J’ai traduit en français comme je le pouvais en bleu)

Assistant du Producteur : Why are you calling us ? (Pourquoi nous téléphonez-vous ?)

Extraterrestre : I have not phoned you, I am speaking by thought-transference guided by computer. (Je ne vous téléphone pas. Je vous parle par le biais d’un transmetteur de pensées guidé par ordinateur)

AP : What does that mean ? (Qu’est-ce que cela signifie ?)

ET : It means how do you do. (Cela veut dire ‘Comment allez-vous’.)

AP : Very well. How do you do, Sir ? (Très bien. Comment allez-vous, Monsieur ?)

ET : Yes. Evidence of life in outer space is not visible to Earth eyes except the chosen few who have celestial ability to appertain and to appreciate higher intelligences. (Oui. L’évidence d’une vie extra-terrestre n’est pas visible aux yeux de la Terre, excepté pour les quelques privilégiés qui ont l’habilité céleste de comprendre et d’apprécier les intelligences supérieures.)

AP : How does the planet Earth rate in your experience ? Are we reasonably well developed ? (Comment est évaluée la planète Terre selon votre expérience ? Sommes-nous raisonnablement bien développés ?)

ET : Planet Earth is in for a very difficult time, spinning very fast, making heads of men go round too quickly and think too much about silly little problems. But I think that long-term prospect for Earth is relatively good. (La planète Terre est au sein d’une période difficile, évoluant à un rythme freiné, entraînant l’esprit des hommes sur ce même rythme, les obligeant à trop penser sur des petits problèmes insignifiants. Mais je pense que la perspective à long terme pour la Terre est relativement bonne.)

AP : Are you going to help us from wherever you are speaking ? (Allez-vous nous aider, de là d’où vous nous parlez ?)

ET : Maybe. That is to be discussed soon at a meeting of the Universal Planet Development Society, and we are considering shortly the special case of Earth. (Peut-être. Ceci devra être discuté bientôt lors d’une réunion de la Société Universelle pour le Développement des Planètes, et nous sommes concernés par le cas spécial de la Terre.)

AP : Have you spoken to Mr Heath ? [Le Premier Ministre de l’époque de 1970 à 1974] (Avez-vous parlé à Monsieur Heath ?)

ET : I know of Mr Heath, this gentleman. No ? Yes he is a gentleman. He is at this moment – Mr Heath – yes I can see him. Yes I see him there. He is at the moment – he is having – he is sleeping, but very quickly he will get up to have his breakfast. He is at the moment not in your country. (Je connais Monsieur Heath, ce gentleman. Non ? Si, c’est un gentleman. Il l’est en ce moment – Monsieur Heath – Oui, je peux le voir. Oui, je le vois ici. Il est en ce moment – Il est en train – de dormir, mais bientôt il se lèvera pour prendre un petit déjeuner. Actuellement, il n’est pas dans votre pays).

AP : No, you are quite right, he is not in our country at the moment. You have spoken to him then ? (Non, vous avez plutôt raison, il n’est pas dans notre pays actuellement. Lui avez-vous parlé, alors ?)

ET : I have spoken not to him, no. But I have heard him speak, yes. But I have not spoken with him myself. (Je ne lui ai pas parlé, non. Mais je l’ai écouté parler, oui. Mais je n’ai pas parlé avec lui.)

AP : What do you think the prospects are for this planet ? (Que pensez-vous des perspectives de cette planète ?)

ET : Well, I tell you that very shortly now on Earth there will be very big trouble. (Eh bien, je dis que très bientôt sur la Terre, il y aura un très grand problème)

AP : What sort of trouble ? (Quel genre de problème ?)

ET : I think mankind makes very silly, foolish mistakes. It does not look at elementary methods and forgets important principles ; always looks at unimportant things and thinks unimportant things are important. And because of this there will be much trouble. (Je pense que l’humanité fait de folles erreurs. Elle ne se préoccupe pas des méthodes élémentaires et oublie d’importants principes ; toujours préoccupée par des choses non importantes, et pensant que les choses non importantes sont importantes. Et pour cette raison il y aura plus de problèmes encore.)

AP : How can mankind avoid this disaster ? (Comment l’humanité peut-elle éviter ce désastre ?)

ET : No, I cannot say because you will not listen. (Je ne peux le dire, parce que vous n’écouterez pas.)

AP : I am listening to you now. (Je vous écoute maintenant.)

ET : I know, it has happened before. Also men on Earth say men, other men, do not listen ; they do not wish to listen. They wish to hear other things and they turn away. For a time on Earth the trouble must come and no words, it seems, can escape this. (Je sais, c’est déjà arrivé avant. Des hommes sur Terre se disent des hommes, mais d’autres hommes, n’écoutent pas ; ils ne désirent pas écouter. Ils veulent entendre d’autres choses, et ils s’en vont. Pendant un certain temps sur Terre les problèmes doivent arriver et aucun mot, semble-t-il, ne pourra échapper à cela.)

AP : Where are you now ? (Où êtes-vous en ce moment ?)

ET : I am now approximately, Earth distance, 200,000 miles over X in the centre of Y. (Approximativement à 321 869 km de la Terre au-dessus de X , au centre de Y.)

[Commentaires de Frédéric : X et Y sont volontairement exprimés par l’auteur pour respecter le plus possible les anonymats dans son livre (cf infra). Mais selon certaines sources trouvées sur le Net, X et Y seraient respectivement les quartiers Londonniens de Marylebone High Street et Greater London, où se trouvait la station de radio en question à l’époque.

Pour comparaison, la distance Terre – Lune était exactement ce jour là de 386 651 km. L’image ci-contre a été calculée par un logiciel d’astronomie, et tente de reproduire au jour et l’heure près la position spatiale approximative du vaisseau extraterrestre au moment de l’interview (Clique sur l’image pour l’agrandir). Et dire que c’est cette distance que l’extraterrestre pouvait voir littéralement ce que faisait le Premier Ministre Britanique à ce moment-là.]

AP : What are you doing there ? (Que faites-vous là ?)

ET : I am speaking at the moment to you by computer thought-transference system. (Je vous parle en ce moment par un système de transmetteur de pensées).

AP : Why don’t you speak to me face to face ? (Pourquoi ne pas me parler face à face ?)

ET : I have no face, I am very sorry. (Je n’ai pas de visage, je suis bien désolé.)

AP : Do you exist in the way a normal human being does ? (Existez-vous au sens d’être humain normal ?)

ET : It is possible to assume a human appearance, yes. (Il est possible d’assumer une apparence humaine, oui.)

AP : How long do you do this for ? And when do you do it ? (Combien de temps vous faut-il pour cela ? Et quand le faites-vous ?)

ET : Oh, it is for maybe five minutes, ten minutes, at one time; but not for very long. (Oh, peut-être cinq minutes, dix minutes, en tout ; mais pas très longtemps.)

AP : Why do you do it ? (Pourquoi faites-vous cela ?)

ET : Amusement. (Par amusement.)

AP : You find us amusing on Earth ? (Nous trouvez-vous amusants sur Terre ?)

ET : Yes. There is always great temptation to interfere, but to interfere is not scientific. It is not. It is to destroy that which is natural among men. (Oui. Il y a toujours une grande tentation d’interférer, mais interférer n’est pas scientifique. C’est détruire ce qui est normal parmi les hommes.)

AP : You are obviously of superior intelligence. Why aren’t you helping us ? (Vous êtes assurément une intelligence supérieure. Pourquoi vous ne nous aidez pas ?)

ET : Because the first rule of life is that every creature must help himself and use his own intelligence. It is possible sometimes to guide the way, but very often guidance is ignored. (Parce que la première règle de la vie est que chaque créature doit s’aider elle-même et user de sa propre intelligence. Il est possible quelque fois de montrer le chemin, mais très souvent la guidance est ignorée.)

AP : Are you going to try and guide us ? (Allez-vous essayer de nous guider ?)

ET : Yes. There are men among you now who would guide you, but you would also ignore that. (Oui. Il y a des hommes parmi vous maintenant qui vous guideraient, mais vous ignorez cela aussi.)

AP : What sort of men are they ? Who are they ? (Quelle sorte d’hommes sont-ils ? Qui sont-ils ?)

ET : I shall not say. (Je ne le dirai pas.)

AP : Why not ? (Pourquoi pas ?)

ET : Because they would be attacked. (Parce qu’ils seraient menacés.)

AP : Do you really believe that ? (Vous le croyez vraiment ?)

ET : Yes. (Oui.)

AP : Why would they be attacked ? (Pourquoi seraient-ils menacés ?)

ET : Because they speak the truth. (Parce qu’ils parlent avec vérité.)

AP : So how do you intend to help us ? (Mais alors, comment comptez-vous nous aider ?)

ET : The only way you can be helped is not by doing for you that which you must do for yourself. But possibly by guiding the way, but indirectly not directly. It is not possible to say to man, « You must do this », because it is in the nature of man not to do this, but to do something different because there is in the nature of man perhaps a perversity which we observe. But never mind, it is possible perhaps if man uses only one thing – that is intelligence. The greatest danger in man is pity. Man has a strong feeling of pity for his fellow men, for suffering. It is good but it is not the highest good. In the universe, the highest good is balance, is justice, not pity. A very interesting thing but justice is the most important element in the universe. And if man will find justice, there is hope for man. (La seule manière de vous aider serait de ne pas agir selon ce que vous feriez pour vous-mêmes. Mais en vous guidant indirectement, pas directement. Il n’est pas possible de dire à l’homme :  » Tu dois faire cela « , parce qu’il est dans la nature de l’homme de ne pas faire cela, mais de faire quelque chose de différent parce qu’il y a dans la nature de l’homme quelque chose de pervers que nous observons. Mais peu importe, c’est possible peut-être seulement si l’homme utilise une chose – qui est son intelligence. Le plus grand danger de l’homme est la pitié. L’homme a un fort sentiment de pitié pour ses semblables, lorsqu’il a la souffrance. C’est bien, mais ce n’est pas le meilleure bien. Dans l’univers, le meilleure bien c’est l’équilibre, c’est la justice, pas la pitié. Une très intéressante chose mais la justice est le plus importante élément de l’univers. Et si l’homme trouve la justice, il y a de l’espoir pour lui.)

AP : What you have been saying has made a great deal of sense to me. How could I contact you again ? (Ce que vous avez prononcé a trouvé un grand écho en moi. Comment pourrais-je vous contacter encore ?)

ET : Call outer space sometime. (Appelez quelques fois l’espace.)

AP : How do I call you ? (Comment dois-je vous appeler ?)

ET : Call me Sir. (Appelez-moi Monsieur)

AP : How do I call you Sir ? (Comment dois-je vous appeler Monsieur ?)

ET : You call me Sir any way you like. I don’t mind. Any way. Now I must return to outer space. (Appelez-moi Monsieur selon la voie que vous préférez. Peu importe. Comme vous voulez. A présent, je dois vous quitter).

AP : Well, it has been a great pleasure talking to you Sir. Thank you very much indeed. (Bien, ce fut une grande joie de vous parler, Monsieur. Merci beaucoup.)

ET : Good-bye. (Au revoir.)

Une fois la conversation terminée entre l’entité extraterrestre et l’assistant du producteur, Rex Dutta revint s’exprimer juste après à l’antenne pour donner son opinion sur la conversation qui venait d’avoir lieu. Pendant ce temps, le standard téléphonique de la station sonna comme jamais.
Puis le producteur décida de stopper l’émission de manière définitive. Malgré l’enthousiasme de son assistant, ce dernier ne put jamais convaincre par la suite son chef de programmer une nouvelle émission. Rex Dutta suggéra plus tard que le producteur avait reçu des pressions ou des instructions venant de plus haut, demandant qu’on ne puisse plus diffuser de telles choses à l’antenne. Désormais, la station de radio se refusa par la suite de faire toute émission sur le thème des OVNIS.
La conversation avec l’extraterrestre fut transcrite ultérieurement dans le livre de Rex Dutta intitulée « Flying Saucer Message », publié en 1972 aux éditions Pelham Books (p. 73 à 93 – « Chapitre 13 – A Flying Saucer Broadcast »).

Je dispose personnellement de ce livre, et j’ai pu comparer ce qui y est écrit par rapport à ce qui est rapporté sur le Net.
Tout d’abord, le texte de la conversation elle-même que l’on trouve sur le net est bien le même. Cependant, l’auteur, Rex Dutta, donne en plus ses commentaires personnels entre chaque ligne. C’est pour cela que le chapitre est long de 20 pages. Il évoque aussi, contrairement à ce qui est prétendu sur le Net, le fait qu’un enregistrement de la conversation ait pu se faire. Nous serions en effet bien heureux de pouvoir en disposer pour une diffusion publique sur le Net.

Aucun nom des participants de l’émission n’est donné. Rex Dutta évoque le fait que citer des noms précis dans le cadre d’une étude sur les OVNIS, pouvait entraîner des poursuites… Voilà pourquoi les noms des membres de l’équipe de la station de radio ne sont pas cités, seulement leur fonction.
Étrangement, la date et l’heure du 8 Janvier 1971 à 21h10 (informations trouvées sur le Net) ne sont nullement citées dans le livre. Seulement les termes de « in 1971 » (« En 1971 »). De même, le nom exact de la station de radio et également le lieu géographique (cité comme « Y » ou « the village ») ne sont pas clairement cités dans l’ouvrage. L’auteur a vraiment fait en sorte de retirer tout ce qui permettrait d’identifier précisément l’événement dans le temps et dans l’espace.

Cet événement est actuellement relaté sur le Net, en ajoutant qu’il s’agissait soit-disant d’un émissaire de l’Ashtar Command. Or, disposant personnellement du livre de Rex Dutta, aucune allusion n’y est faite à propos de l’Ashtar Command. La voix inconnue ne s’est jamais présentée comme étant un des émissaires de la Flotte de la Lumière. Rex Dutta évoque toutefois, selon ses théories, de la possibilité que la civilisation Vénusienne pouvait être à l’origine de cet appel surprenant. Mais nous admettons que si les Vénusiens (de vibration supérieure) étaient bien derrière tout cela, il va de soit que la Flotte de la Lumière serait effectivement impliquée.

Nous avons noté les termes de « Universal Planet Development Society » (« Société Universelle pour le Développement des Planètes ») donnés par la voix inconnue. La notion de groupes extraterrestres unis dans le but d’aider les peuples à avancer est une des particularités que l’on attribue à l’Ashtar Command (Fédération Galactique de la Lumière).
Nous constatons néanmoins que beaucoup de thèmes enseignés par les membres de la Flotte d’Ashtar sont bien repris dans cette conversation, en particulier, la loi du libre arbitre, la vie au delà des perceptions tridimensionnelles, la méfiance que les hommes ont envers l’inconnu, la présence de maîtres sur Terre, l’observation des erreurs des hommes, le grand principe de la justice. Ces thèmes sont vraiment proches de ce que Ashtar lui-même ou l’un de ses membres d’équipage aurait pu tenir avec l’un d’entre nous.

L’extraterrestre n’a jamais donné son nom. Il n’a seulement suggéré à l’assistant du producteur de l’appeler « Sir ». Rex Dutta suggère dans son livre que les Vénusiens ne sont pas obligés de s’appeler par des noms comme nous, sur Terre, le faisons. Rex suggère que les êtres de ces civilisations avancées se reconnaissent plutôt par leur aura ou par tout autre signe spirituel que nous ne pouvons pas appréhender en troisième dimension.

Précisons enfin que même hors antenne, l’extraterrestre n’a jamais forcé le standard à passer à l’antenne. C’est le libre arbitre du réceptionniste et celui de l’assistant du producteur qui ont fait en sorte que la conversation puisse passer sur les ondes.

Ascensionplanetaire