Vla,
la cana du bout du truc qui dit que ça manque…
De quoi ?
Gandhi il a dit : si tu veux voir le monde changer, commence par être le changement…
Ou un truc comme ça…
Rentrons dans le « vif » du « sujet ».
S’il suffisait de « dire », des « méthodes » ou de « montrer » des « belles choses »…
Ma nan ! Rien de plus que le non-courage d’être ce que l’on doit.
Avec le décodeur :
« Tu peux imaginer absolument ce que tu veux, et le monde est donc ce que tu as le courage d’incarner… »
« Tu peux « regarder » les propositions et les visions alentour et même les « idées » réelles mais rien ne remplace tes « actes » !
Il y a comme une facilité du psychisme à trouver une quelconque réponse satisfaisante dans un rêve pseudo-scientifique à la forme de la réalité « visible » dans l’être « possible ».
Des « bla-blas » si « humains » qui nous « réunissent ».
Dans l’accord ou le désaccord peu importe…
Ce qui « vibre » est entre ces pseudo-sens qui essaient de « définir » une transcendance, une « énergie », « l’amour », le reste au delà de « rien ».
Ce qui arrive est la super-conscience, celle de la reliance instantanée, pas le moindre « sauvetage » personnel d’un « égo » qui se pense en train d’accéder à une libération de soi-même et s’en « émeut » quitte à se « vibrer ».
Avez-vous réfléchi aux miroirs ?
Avez-vous fait « le » choix le plus absurde, celui qui change concrètement vos existences ?
On va dire que c’est comme l’histoire de Narcisse qui se voit et qui « tombe » amoureux de son « image ». C’est exactement cela. Il dit : Σας βλέπω…
Le verbe est ce qui se met à genoux, et donne l’entièreté du soi, à l’autre, celui qui est nous-même…
Vous en pensez quoi?