Voici une définition qui convient : Tirée du mot grec « ethos » qui signifie « manière de vivre », l’éthique est une branche de la philosophie qui s’intéresse aux comportements humains et, plus précisément, à la conduite des individus en société.

Un lien issu du site institutionnel du Canada : Qu’est-ce que l’éthique ?

L’éthique est le résultat de l observation des rapports entre humains d une part et des interaction de l individu avec son biotope .

C est une fonction qui fait appelle a la logique et a la rationalité, l éthique est un produit du cortex que l on pourrait qualifier de supérieure ou spirituel .

Elle différencie donc les humanoïdes responsables de ceux qui ne cherchent qu a assouvir leur besoins instinctif ou primaux, qu ils soient nécessaires ou dévoyés par l usage sans éthique des fonctions cérébrales dont sont dotés les individus .

Pourquoi l éthique est elle développée par certains individus et rejetés par d autres …

Nous supposerons que l éthique ne peut se développer que chez ceux qui ont acquis l individualisation et ont un développement corticale suffisant pour considérer et l espèce et le biotope dont l espèce dont ils sont issue dépend et alimente .

Si l ont devait considérer autre chose que l aspect naturel ou perceptible des choses, alors il faudrait faire appel a des concepts comme la grâce ou le salut pour qu un être qui nait sans les facultés nécessaires a développer l éthique puisse l acquérir et en faire une source de bien être et de science .

Nous devons considérer que c est le biotope ou l environnement qui formate l individu naturel issue d un système ou la pérennité de l espèce n est assuré que par les fonctions de reproduction sans « imprégnation » via des moyens spirituels ou produit par l éthique .

Considérant que le sujet discuté ici fait appel a des notions élaborés et non acceptés par l ensemble des individus, il faut clore le débat et faire appel au bon sens de ceux qui sont capables et recherchent les elements de compréhension a même de faire naitre le désir de devenir une personne d éthique .

En résumé et pour minorer le sujet, l éthique ne sauve pas d un accident de la route ( mais encore ) ou de la rencontre avec un abruti sanguinaire, dans ce cas il faut mieux être averti par avance et soit éviter le « sujet » soit ce munir d un moyen de le neutraliser .

Cordialement et avec humour a l usage des gens de bonne compagnie, Namasté .

Et ainsi que le dit le proverbe  » honni soit qui mal y pense  » ou encore  » carpe diem  » .

Publié par Elem (Profil & Articles associés)