Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron.

Ce n’est pas la situation qui cause le ressenti, mais la fréquence à laquelle on s’harmonise.

L’amour est la clef maîtresse, et l’art de la relation ne peut qu’être basé sur l’amour. Ce n’est jamais l’amour de l’autre, mais l’amour de l’amour. L’autre n’est que la projection de soi. A aimer l’amour, on aime l’amour en l’autre, sans aucun jugement. A aimer l’amour, à travers sa vie on ne voit que l’amour.
Car de par la loi des vibrations, tout vibre à différentes fréquences. L’on choisit de s’harmoniser à telle ou telle fréquence. Mettant l’attention sur n’aimer que l’amour, on choisit de s’harmoniser à la fréquence la plus noble et la plus haute. Ainsi, l’on ne rencontre que l’amour à travers chaque rencontre. Pour la même situation, quelqu’un qui choisirait de s’harmoniser à une autre fréquence, celle d’émotions peut-être, rencontrerait cette même émotion ou son opposé dans la rencontre avec l’autre. Ne jamais croire que ce choix est compulsif. Tout choix est choix.
Ramener tout ressenti, toute perception, à la relation entre soi et soi-même pour la guérir par la puissance de l’amour. Ce simple regard. Tu exprimes un ressenti de souffrance. Je Suis l’amour qui guérit. Tout est bienvenu, tout ressenti. Je Suis l’amour qui guérit.
Je ne saurais choisir de justifier un ressenti de souffrance par telle ou telle situation, car cela est erroné. La même situation peut être vécue selon telle ou telle fréquence. La même situation peut être vécue comme étant sublime ou comme étant souffrance. Ce n’est pas la situation qui cause le ressenti, mais la fréquence à laquelle on s’harmonise. Et ce n’est pas le corps de souffrance qui détermine la vibration à laquelle on s’harmonise, sauf si on lui laisse les rênes. Laisser les rênes au corps de souffrance, revient à laisser les rênes à un cheval incapable de tirer la charrette. Cela ne peut mener nulle part. Le seul cheval permettant de tirer la charrette est l’amour. L’amour est partout et tout. Cela est su abstraitement. L’incarnation est de traduire cela dans le concret du quotidien.
Sortir radicalement de toute habitude de jugement. Le jugement n’est qu’une errance mentale, causée peut-être par le corps des émotions ou le corps de l’ego. Cela reste une errance mentale. Être la pleine conscience de ce qui invite à être guéri et le guérir parce que Je Suis l’amour que Je Suis, parce que seul est l’amour, parce que seul est cela.
L’on ne peut abstraire l’amour d’aucune parcelle de création. Il est la nature, la substance, la réalité. Choisir par choix conscient d’entrer en relation avec soi-même avec une telle intensité d’amour jusqu’à ce que la création ne reflète plus que le visage de l’amour. Cela est l’art de l’incarnation.

Auteur : Agnès Bos-Masseron
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Publié par Satyam (Profil & Articles associés)