Placebo

Bonheur du hasard,
Art de l’espérance, mystère qui inspire la terreur ;
Tu es l’interrogatoire sensationnel du grand Mozart
Dans l’ouïe forte de la tempête, romance de l’erreur
Quand la mélodique passion de la turbulence de la vie
Fait découvrir l’existentialité mythomaniaque.
Une vie, un vécu anonyme, un être saralisant de la vie.
Une existence assaharaïque, un ouï assarajevoïque
Qui présage l’amitié inouïe, un comble sentimental de l’attirance,
Tu es le goût de la préférence, une ardeur de posséder la joie
Dans une ferme conviction du vouloir de la curiosité et de la romance
Attisée par le charme du vrombissement d’une voix comme une proie
Incarnant ainsi la passion de l’angélisme d’une beauté inconnue,

Une beauté digne d’une princesse au lus verdure de la femme ;
Saveur d’un régime, un parfait mystère à la manchette nue,
Et une nudité qui augure le principat dans la prêtrise de l’embarra.

Bonheur du hasard,
Nuit de la tendresse du firmament de l’imagination;
Tu es l’aube superbe de la bourgeoisie de beaux arts
Dans le besoin harmonique du ton talentueux de la supination
Quand le regard amoureux se dissipe entre l’équilibre et la cohérence,
Et stimule l’endoctrinement de la sorcellerie du gré de la ponctuation.
Regard inquisiteur de l’étonnement dans la nuit de l’expérience,
Emoi tapageur de la conscience dans la scène du désarroi de la consternation
Là où, il y a le son monologique de la force de frappe de l’amour ;
Femme, l’humorisme des méprisés à l’hauteur de l’âme désespérée
Et vivants dans le farfelutisme de la splendeur agréée de l’humour.
Charme de la tonalité d’une voie mélancoliquement modérée,
Son qui distimule le rythme, valeur ineffable qui fait naître l’équité,
Au milieu de la ronce épineuse de la jalousie de l’hypocrisie
Lorsque le cœur chercheur s’évanouît dans le funeste agoniste de la sobriété.
Tu es l’âme sœur, la sérénité qui sauve de l’ineptie de la jalousie.

Bonheur du hasard,
Dans la pénombre de l’aisance de la fermeté croyante
A la mesure de l’espoir d’une âme meurtrie associée au maquisard
Et que l’absurdité de la folie de l’amour n’épargne la pureté de la bonté savante,
Allégorisme passioniste, destinée de l’incertitude de la force d’aimer incognito,
Présage d’une confiance inconditionnelle, aveu d’un attachement aveugle ;
Exercice d’un cœur au rythme de l’irréfléchi, hymne chanté du plus tôt
Dans la dialectique du suicide et souhait majestueux de la magie de l’angle.
Princesse anonyme agrée, Femme la synonymie de l’exaltation
En pleine saison de la tendresse et de l’exister des inconnus cyniques
Du genre mien en pleine singularité d’une philosophique en mutation
Sur le regard arbitraire du désir et de l’ambition au gré des gestes magiques.
Passion possessive, élan spontané de la noblesse des amours folles,
Là où se dissimule le pouvoir de l’horizon de la pensée dans le monde des idées
Et s’affiche le déclin des obligations de la loi du bien et mal aux aisances formelles
Car, Femme n’est que Femme, une harmonienne qui change les destinées élidées.

Pholaman