Au cas où
rien ne se passe
car pas grand chose se passe (vous vivez le contraire ?)
à absoudre les emballages néo-électroniques
(une parole de « vieux » peut-être)
et à force de rêver (ou pas) l’altre-monde
au cas où
les étudiants agronomes
perdraient le fil de la joie
et les contingences
et si le monde était abominablement « astreint » ?
à sa dé-couture ?
au cas où
rien ne passe dans le gosier
et ailleurs (voyons)
Peut-être juste une vibration
(dans le calçon)
(dans la culotte)
au cazou
au carrément
à dissoudre les rêves (peut-être)
à découdre (avec le réel, pour certains)
au cas où
là
on se retrouve,
exactement
comme ça.
Oui pareil verbre, c’est intéressant mais plutôt dans la rubrique poésie du forum ^_^
à sa dé-couture ?
Qu’est-ce qui a la capacité de recoudre, d’harmoniser, de soigner ? La photo en parle
Libère ton esprit…
(message doublé)
Oui alors « libère ton esprit », les choses ne sont pas si simples que cela même si l’on aimerait qu’elle le soit parfois.
C’est à dire qu’il semble que tu confondes ici esprit et mental :
Un exemple de fausse liberté : éviter de se « prendre la tête » à classer, à ordonner et à ranger…
Mais il ne s’agit pas ici de libération de l’esprit donc, mais d’un manque de disciple et de volonté d’ordre. Bien… Ce n’est pas évident à expliquer tout ça parce que ce n’est pas populaire, pas attirant, mais pourtant il faut bien en passer par là :
Le mental doit être assujetti à l’esprit, et lui laisser justement la « liberté » de faire n’importe quoi n’est pas du tout une bonne tactique pour aller vers le meilleur. La raison en est qu’en lui donnant un peu, il en voudra plus ; et que de toute manière il ne s’en satisfera jamais. C’est ainsi que le mental personnalité réagit.
Ce qui permet d’obtenir la véritable liberté, c’est de pouvoir justement soumettre le mental à ce qu’il a de meilleur, sans se laisser influencer par ses facéties. L’égo est plutôt fainéant, égoïste (par nature), déglingueur ; d’où la difficulté des fortes personnalités égotiques.
Alors comment faire pour libérer son esprit… Et bien donc d’abord en obtenant un mental obéissant, c’est à dire en lui apprenant
> dans la douceur et l’amour <
à obéir à celui qui est en fait le vrai nous : l'esprit.
Une fois que le mental est mis en sourdine, qu'il n'impose pas ses quatre volontés aux quatre vents, derrière, commence à apparaître la paix, le subtil, l'expansion de conscience.
Il ne faut pas se laisser berner par un mental paresseux, parce que l'on se soumet à lui inutilement.
…
Alors là oui, libérons notre esprit.
Par l'amour, la paix, la sagesse et la domination du mental et des sens.
Attention cela ne veut pas dire de les étouffer, mais de les diriger, de les orienter.
A:
Dites ce que vous en pensez…
Je préfère :
La seule chose digne d’être racontée, c’est ce que l’on ressent.
(Virginia Woolf)
Magnifique cette souche … habitée ;-): éléphant,mouton, tortue …
Autre chose que je n’aurais pas vu ?
J’aime ce texte plein d’humour et aussi d’amour …
Merci Verbre
Gaffe à la fossilisation !!!!
Joli troncoeur !