Il est plus sacré d’apprendre de la résultante de sa dévotion.

L’heure est venue. L’heure est venue de proclamer l’éternel. L’heure est venue d’effacer dans le collectif du temporel ces mémoires qui n’ont jamais été ni la résultante ni le fait de mon passage sur terre.
Mon passage sur terre n’a été que la proclamation du bonheur, la proclamation de l’immortalité, la proclamation de l’hommage à la vie. La fraternité à laquelle j’invite l’humanité est la fraternité de joie.
L’humanité voudrait-elle bien tout offrir à la joie ?
Offrir la plénitude d’ananda à toutes ces mémoires, toutes ces croyances associées avec quelque archétype dénué de sens. Je ne suis pas l’archétype des églises, je suis le frère dévot d’ananda, le frère du frère qui choisit de proclamer sa dévotion.
Choisir par l’intensité de son attention d’imprimer ananda dans le collectif de l’humanité. Sacrée est l’invitation.
Il est vrai, l’humanité peut apprendre des résultantes de ses croyances. Il est plus sacré, plus sain, plus beau, d’apprendre de la résultante de sa dévotion. Tout offrir à ananda, et offrir ananda à tout. Et voyez se déployer l’arbre d’ananda, votre incarnation. L’infini de la joie s’autodépasse éternellement. Voyez l’infini de la joie se déployer dans vos structures physiques. Soyez les témoins de la vie tout offerte à ananda et des fruits portés par cette vie. Les fruits se doivent d’être concrets. La clef est d’intensifier l’attention et de ne laisser rien vous détourner de cette intention d’être le dévot d’ananda.

Agnès Bos-masseron