Que sonne le tocsin , car l’heure est venu
Nul fin nul départ mais seulement la rue
Les vaches commes les rats, ce tiendront la main
Marcherons de la concordes miséricordes demanderont t’il des comptes à la cours du rois
Mangerons dans les mangeoires, couperons leurs nageoires et ouvrirons les océans
Pour rendre la noir rivières des larmes du ciel.
A part toi , à part toi qui jamais ne trahi ni folie, ni éxcés, ni injustice , fermement etabli , par ton sabre tu tranche la nuit car les signes prennent leurs envols et viennent frôler l’eau et faire s’envoler tout les parasols
Nul n’est à l’abris, cela est dit cela est dit
Que les oisillons sorte de leur nid et en Aigle des cieux prennent leur envol vers la terre du milieux.
Pas le plus petit intérêt. Je suggère à l’auteur de se reposer avec à son chevet un bon livre de grammaire et un autre d’orthographe .
PS : important, une troisième livre lui expliquant que la Lumière est là au fond de lui serait aussi très très utile.
Certes je doit faire attention et perfectionner mon orthographe et ma grammaire. Car la lumière comme vous l’appeler si bien n’est pas dans la complaisance.Et si on oublie et s’endort sur ses lauriers croyant avoir trouvé et conquit notre graal alors le dragons viendra à nouveau rompre la monotonie de notre suffisance, la vie viendra vite nous réveiller. Vous êtes en celà là vie qui vient me rapeller à l’ordre quant à mon écriture.Et je salut la vie!
DD