Les dragons relèvent d’une nature et d’une vérité que nous devons apprendre à ressentir dans leur immense diversité et dans une complexité longtemps inaccessible. Arzus, mon Maître Instructeur dragon, m’accompagne dans un patient apprentissage de leurs formes, de leur histoire et des rôles endossés.
Les dragons existent en chaque dimension ou fréquence vibratoire. Chacune reflète l’expérience et l’apprentissage qui sied le mieux à un dragon. Bien que les dragons puissent évoluer verticalement entre plusieurs dimensions, chacun d’entre eux ne vibre que dans les dimensions dont il a acquis la maîtrise selon son degré d’évolution et son choix d’expérimentation.
Lorsque Gaïa, Conscience divine, devint l’âme de la planète Terre, elle endossa un mandat divin. Des dragons pluridimensionnels l’accompagnèrent dans sa gestation. Ils peuvent être assimilés à des pères/mères fondateurs de toutes les créations qui furent ensemencées dans les différentes couches énergétiques de la planète. Ces dragons, vibrant dans les octaves dits archangéliques (13ème à la 18ème dimension) et les octaves supérieures, manifestent en chacun d’eux l’équilibre parfait des polarités féminine et masculine. À l’image de Gaïa, ils possèdent également les attributs et les vertus de la Conscience Créatrice Père/Mère. À mon niveau de compréhension, ils sont les garants du contrat divin liant Gaïa à La Source, quant à l’expérience qui est menée au travers de tous les corps physiques et éthériques de Gaïa et dans la multitude de ses couches énergétiques imbriquées. Ils ont la possibilité de transmuter toute chose, tels des dieux/déesses tout puissants et bienveillants. Chacun d’entre eux disposent de la capacité créatrice de toutes les formes de vies sur Terre réunies. Ils sont des expressions pures issues de La Source.
Les dragons emprisonnés à l’extérieur de soi
Les convoitises pour les possibilités offertes par Gaïa/la Terre attirèrent des forces prédatrices. Il nous a été révélé que le Plan Divin, initialement prévu pour Gaïa et toutes les formes de vies venues en apprentissage dans ses plans vibratoires, avait dévié. Pour cela, il a fallu aux forces de l’Ombre mettre hors-jeu les Gardiens protecteurs de Gaïa/la Terre. Comme les plus élevés d’entre eux leur étaient inaccessibles vibratoirement, elles se sont attaquées aux maillons intermédiaires, ceux évoluant dans l’octave de fréquence angélique (7ème à la 12ème dimension) et dans les dimensions inférieures.
À la fréquence angélique, je les conçois comme des consciences dragons, entre les dragons archangéliques et les esprits dragons qui avaient besoin d’expérimenter des dimensions plus basses. Ceux dans la 4ème dimension côtoyaient la plupart des races qu’accueillait Gaïa, incluant les hommes dont les corps étaient moins denses qu’aujourd’hui.
Les attaques des forces prédatrices ont brisé la chaîne hiérarchique des dragons, ce qui a été ressenti avec une grande douleur par les esprits dragons en apprentissage et perdant la guidance de maîtres dragons des dimensions supérieures. Les règles du jeu ont alors changé pour ces dragons ainsi que pour toutes les autres races sur la planète.
Arzus me confia que l’on peut être attaqué de deux manières lorsqu’un être n’est pas encore équilibré et intégré dans toutes ses facettes multidimensionnelles, ce qui fut le cas des esprits dragons et autres races de 4ème dimension à cette époque. Il s’agit de la directe par une force extérieure à soi, et la encore plus directe par un de ses aspects multidimensionnels qui vibre à l’opposé de soi (une part d’ombre).
L’attaque intérieure d’un aspect de soi affaiblit, bloque et paralyse l’être, réduisant ses résistances lorsque l’attaque directe survient, pouvant amener à enchaîner l’être.
L’âme, en tant que corps de lumière, est immortelle. L’enfermement et la pose de chaînes énergétiques furent la prise de contrôle la plus sûre pour ces forces prédatrices.
Les consciences dragons ont, quant à elles, déjà fusionnées leurs aspects multidimensionnels. Elles ont été enfermées dans des couches et des sous-plans multidimensionnels verrouillés. Certaines sont ainsi piégées sous terre dans des niveaux vibratoires autres que le nôtre. Des grilles énergétiques puissantes ont été érigées pour les isoler, les cloisonner et réduire leurs capacités. Des dragons sont ainsi devenus prisonniers de couches multidimensionnelles dans le corps de la Terre.
Il a été créé une grille isolante supplémentaire en surface pour rendre imperméable des connexions avec des plans vibratoires autour de la Terre. Pour couper définitivement ces liens dimensionnels, il a été inséré une couche vibratoire isolante en surface de la Terre, complètement fermée du Cœur. Au lieu de s’attaquer à la vibration du Cœur de tous les êtres évoluant en surface en 4ème dimension, les forces obscures ont « simplement » fait chuter vibratoirement l’homme en 3ème dimension pour en faire leur couche isolante. Les lignées reptiliennes que l’homme porte dans son ADN ont été utilisées pour le faire chuter, fermer son Cœur Sacré et perdre sa reliance avec son Soi Supérieur. Les autres races pouvaient soit accompagner et suivre cette chute, soit s’élever pour échapper à la vibration toxique de plus en plus émise par la race humaine. Les forces prédatrices ont induit des comportements chez l’homme afin d’engendrer des attaques néfastes, en toute inconscience, dirigées vers les êtres de la 4ème dimension (fées, elfes, dragons physiques etc.) Ces derniers se sont soit repliés géographiquement dans des lieux peu peuplés par les hommes, soit ont cherché à s’élever vers le haut de la 4ème dimension, voire atteindre la 5ème dimension. Des esprits dragons n’ont pu s’échapper, ont été enchaînés et mis sous scellés vibratoirement. Un sous-plan s’est ensuite libéré dans le bas du champ fréquentiel de la 4ème dimension, ce que l’on nomme bas astral. Il fut occupé par ces forces prédatrices, ainsi invisibles aux hommes, en contact direct avec eux pour les contrôler et les vampiriser. Ce bas astral accueille également toutes les formes pensées négatives des hommes, ainsi que leurs âmes errantes en quête de portes vers la Lumière. Le bas astral rajoute un pare-lumière sur la couche isolante, tout en permettant une oppression et un contrôle de la 3ème dimension. Un coupe Lumière sur un autre coupe Lumière, en quelque sorte, empêche ainsi la Lumière autour de la Terre d’atteindre certains sous-plans vibratoires verrouillant des consciences dragons prises au piège, pourtant dans des dimensions supérieures à la nôtre.
Les dimensions s’interpénètrent, se juxtaposent et ne s’ordonnent pas toujours de manière progressive ou inversement progressive selon notre perception des choses, tirée du référentiel humain tridimensionnel.
Les esprits dragons enchainés en des lieux sur Terre peuvent être relâchés grâce à l’action vibratoire de certains. Ils n’ont habituellement pas clairement conscience du procédé en œuvre puisque leur Soi Supérieur prend le contrôle afin de réaliser cette libération. En se rendant physiquement sur les lieux, ils induisent l’ouverture de sceaux pour libérer ces dragons. L’expérience m’a conduit à comprendre que chacun serait amené à défaire ce qu’il a engendré dans d’autres vies.
Les consciences dragons verrouillées dans des sous-plans dans le corps de Gaïa, tentent comme les esprits dragons de rejoindre ceux d’entre nous suffisamment réceptifs et sensitifs. Leur emprunte énergétique ressentie est différente de celle des esprits dragons. Je pense percevoir qu’ils peuvent se libérer eux-mêmes mais notre aide leur est indispensable. Ils en appellent à notre Portail du Cœur. Nous possédons en nous un puissant vortex énergétique au niveau de notre Cœur Sacré. Le long et souvent souffrant processus de réouverture de notre Cœur Sacré conduit à l’activation d’un portail vortex intérieur. Celui-ci se comporte alors comme un puits traversant de part en part la couche isolante dans laquelle nous évoluons. Ce puits relie tous les sous-plans dans le corps de Gaïa à La Source omniprésente dans les dimensions autour de Gaïa.
Notre Portail du Cœur est un vortex à ouvrir pour laisser s’écouler la Lumière au travers de notre dimension pour relier le Ciel à la Terre, La Source aux dragons emprisonnés sur et dans la Terre.
L’affranchissement des dragons prisonniers dans des couches pluridimensionnelles de Gaïa peut se faire par la mise à disposition de notre Cœur Sacré ouvert pour laisser s’écouler la Lumière Une et Indivise de La Source vers ces consciences dragons qui ont besoin de cet apport pour se libérer. Si l’homme porte des lignées reptiliennes dans son ADN, il porte également des lignées rédemptrices des dragons. Les dragons emprisonnés en appellent à l’activation de ces codes stellaires en nous afin d’être en mesure de corriger ce qui fut fait et être capable d’être en résonance vibratoire avec eux. Travailler avec les dragons, c’est obligatoirement travailler sur soi, ses défauts, ses blocages, ses peurs, tout ce qui entrave l’ouverture de notre Cœur Sacré.
Le dragon en sommeil à l’intérieur de soi
Ce qui est manifesté à l’extérieur de soi est aussi à l’intérieur de soi. Si des dragons sont emprisonnés dans des couches énergétiques pluridimensionnelles autour de nous, ce n’est que la traduction du propre enfermement de notre dragon intérieur dans les couches multidimensionnelles de notre corps. Si le pouvoir créateur des dragons est réduit dans des sous-plans de Gaïa, notre propre pouvoir créateur l’est également et ne peut plus se manifester.
Le dragon intérieur est l’énergie de feu purificateur qui ouvre au pouvoir de la manifestation. Cette énergie de serpent de feu ou kundalini est lovée à la base de la colonne vertébrale, au niveau du sacrum. Elle a été mise en sommeil et oubliée. Le dragon intérieur est prisonnier de nos mémoires karmiques non transcendées, par l’accumulation de blessures de l’âme, de conditionnements, de limitations qui inhibent notre être. Ces entraves portent les noms de colère, de trahison, d’orgueil, de honte, d’abandon, de peur, de jugement etc. Elles sont l’aspect sombre de notre dragon intérieur qui enferme l’aspect lumière de notre dragon intérieur. Dans notre dimension, la dualité se retrouve en toute chose. Tout aspect sombre peut attaquer et verrouiller son aspect lumière. Il faut réapprivoiser l’aspect sombre de notre dragon intérieur, le dompter, afin de libérer et affranchir l’aspect lumière de celui-ci.
Pour se réapproprier notre intériorité véritable, il convient de défaire patiemment et méthodiquement toutes les entraves. Au fur et à mesure de ce processus de travail sur soi, son feu intérieur, son dragon intérieur de lumière, sera amené à se déployer, à libérer le pouvoir purificateur et libérateur de la kundalini.
Dragons à l’extérieur de soi et dragon intérieur, tous appellent à être libérés. Tout ce qui nous entrave de l’intérieur et tout ce qui est entravé à l’extérieur de soi doivent être relâchés et affranchis par l’ouverture de notre Cœur Sacré.
Crédit illustration : Huy Mai Van
Par Samuel sous www.leretourdesdragons.com
Merci pour cet article qui m’a plu.
Pour info, Christian Duval a publié plusieurs volets :
»L’Ombre des dragons plane-t’elle encore sur nous » ?
Merci Karen de m’offrir cette référence. C’est ce qui donne un sens au fait de republier ici certains de mes articles, celui de se voir offrir une ouverture vers d’autres références. Je ne connaissais pas, je vais aller lire ses textes
Les dragons sont des bêtes.. La bible utilise le terme de « grand dragon » pour parler de Satan. Juste est le rapport avec l’élément feu et la kundalini qui est évoqué. « Vaincre » un dragon (n’importe quel dragon) veut dire dans un autre langage dépasser un bloquage. Une peur. Une timidité, etc. C’est alors que sa force de vie ainsi libérée est redistribuée aux centres énergétiques de vie de la personne par le kundalini. Le dragon vie au fond de la grotte, au fond de l’enfer qu’il garde, il est la porte et le gardien de son ciel affilié. Il y autant de dragons d’entraves au bonheur, autant de bloquage différents entre nous et le ciel. Le dragon est une force de vie, et non un ange qui a conscientisé tel ou tel ego (dragon) sur tel plan. L’ange est l’enseignant. Le dragon la difficulté à dépasser, l’épreuve à surmonter. Il ne faut pas se créer de nouveaux dieux en inversant les polarités de nos discriminations. Le dragon en l’homme représente l’ego libre de ses dépendances sans péché. Le diable est un dragon, le dragon du père, le dragon de la royauté. On peut vivre comme un roi sans causer de torts à son entourage. Il faut gagner sa vie par exemple, ou être amoureux, les gens heureux ont toujours un fort ego. Ce n’est pas pour ça qu’ils font du mal. La faim est par exemple un grand dragon en nous. Si vous aviez faim trois jours, vous seriez ainsi en contact avec l’ego de la faim. Qui a certainement beaucoup de force, en nous, avant de nous laisser tomber a abandonner notre droit à la vie. Qui lui profite. Car en tant que dragon, il a besoin de nous pour revenir au ciel.
Nous pourrions aller chercher divers écrits et chacun d’entre eux aura sa vision de la réalité des dragons. C’est très bien ainsi car je pense que la vérité est multiple.
Je dépose ici mon témoignage sur ma réalité au sujet des dragons. Il est fort probable qu’elle ne s’articule pas facilement avec d’autres perceptions au sujet des dragons.
On a affublé le terme de dragon pour désigner nos démons intérieurs. L’article que j’ai publié n’est qu’un seul parmi d’autres car pour moi les dragons sont bien plus que ce qu’on lit ici et là. C’est simplement basé sur mon vécu sans imprégnation des perceptions et des visions dogmatiques. Je ne veux pas écrire de nouveaux dogmes sur les dragons, ils méritent bien plus. J’apporte une pierre différente à la compréhension des dragons, des esprits dragons, de l’énergie dragon à l’intérieur de soi et à l’extérieur de soi, du dragon intérieur.