Devant sa porte la petite fille joue avec sa soeur, un peut plus loin elle ce faisais chouchouter par la coifeuses masser le crane sous la douce chaleurs de l’eau qui ruicelez sur ces tempes,et puis la la pharmacie les personnes venu chercher de quoi soignier leur maux ,leurs petits , le gros chagrins, leurs maladies chroniques,sous le regard doux et aimant du pharmacien d’environs soixante ans, emmanant d’une belle aura emprunte de sagesse et de l’energie qui donne envie de guerir.
Et puis il y avais moi la au millieu de tout ca marchant dans cette rue destabilise par le tranchant sabre qui a mesure de mes pas revient sans cesse rompre ma perception habituelle inserer dans ma pensee , mes sentiments, des brides d un monde dans le monde , de cette au dela en dedans en dehors partout qui ne veut pas plus me laissez dupe.
Pousse dans mes retranchements au bout du monde la ou celui ci prend fin je voulais trouver autre chose je ne suis au final que revenu a la porte de ma maison. Et j’aime ma maison, et leurs histoires a chacun si singuiliere leur visages , leur regard des uns pour les autres, leur rire, leur blague,leur coup de renard,leur embrouilles un peut moins et leurs klaxons m’agace c ‘est certain. M

Mais je me suis pris par la main et j’ai decide que j’aimais ma vie, j’ai decider de me dire et de m’en convaincre qu’en faite il n’ y a rien pour empecher d’etre libre a cet instant merveillieux de ne pas etre un present un chemins au files des histoires de leurs des miennes de la notre.

Spasfond