ARTICLESPour le plaisir de chacun et ainsi que pour moi-même.
Je vous partage ce message suivant.
Avons-nous vraiment le libre arbitre ?
Plusieurs diront que oui, que nous avons toujours le choix et d’autres diront que non, car tout est orchestré, et cela, quelle que soit notre décision. Normalement quand nous avons le libre-arbitre, nous devrions choisir par nous-mêmes, mais ce n’est pas toujours le cas. Il arrive parfois qu’on aime bien agir d’une telle façon, mais la vie, son déroulement, tout ce qui en découle, ne nous offre pas cette possibilité. Comme si l’univers entier avait manigancé tout pour que nous ne puissions pas agir comme on le voudrait, mais comme l’univers en a décidé. C’est beau de voir cette loi de l’attraction, dire que nous récoltons ce que nous semons, mais la réalité en est tout autre, tout dépend des situations. Comme je le disais dans d’autres messages, je crois fortement que notre vie en ce monde, suit une trajectoire déjà toute tracée. L’univers, ce que j’appelle l’univers, est notre soi divin, notre soi accompli, peu importe comment nous recevons, ou percevons cette lumière, tout ce qui compose cet univers contribue à nous orienter, à nous guider, à nous maintenir dans ce chemin que notre âme a choisi comme expérience, apprentissage, afin d’évoluer et en même-temps contribuer au plan divin.
Quoi qu’il en soit, il n’y a pas un seul être qui ne bénéficie pas de cette lumière, car avant d’être incarné, tout a été prévu, il n’y a pas de mauvais ou de bon rôle, car tout a sa raison d’être, tout est justifié. Il est normal d’être choqué, voir même ébranlé quand nous ou qui que se soit vit des moments très difficiles, que se soit la maladie, une mort subite, un viol, ou autres actes incompréhensibles. Plusieurs en veulent à Dieu pour avoir laissé ces actes se produire, mais Dieu n’a rien à voir dans tout cela, il ne voit pas les choses comme nous les voyons dans ce monde. Cherchez où est la vraie justice dans ce monde, on pourrait dire qu’il y en a une de surface, mais quoi qu’il en soit, je ne suis pas là pour juger qui que ce soit. Je suis juste là à comprendre ce qui se passe en temps qu’être incarné dans ce monde. Il est drôle de constater que tous les êtres humains sont semblables, vivent à peu près toute la même souffrance, mais dans des dispositions différentes. Est-ce que quelqu’un qui est riche souffre moins que celui qui est pauvre ? Je crois que notre statut importe peu en ce monde, ce monde a tous les mêmes blessures. Voilà pourquoi, il y a tant de diversité pour parvenir à mettre un baume sur cette grande souffrance de cette humanité. Est-ce que les religions ont apporté le moyen de libérer l’homme de sa grande souffrance ? Il suffit de voir ce qui se passe en ce monde, où chacun se bat pour sa propre religion, cela entraîne du mécontentement, car il n’y a plus de respect, et cela, quelles que soient les parties concernées et je ne vous parle pas de tout ce cafouillage politique. La grande majorité des êtres humains se disent civiliser, quand on regarde de près la nature animale, c’est plus tôt eux qui sont civilisés, au moins là, tous suivent une conscience universelle, ils sont plus humains.
Encore là, je ne suis pas ici pour juger qui nous sommes, mais d’ouvrir notre conscience à cette conscience universelle, qui prend tout en charge, cette même force d’Amour qui se trouve en tous les êtres vivants, celle qui orchestre tout, qui nous fait apprendre de nos erreurs, qui sait ce qui est bien pour chacun et cela importe peu le rôle de chacun. Plusieurs se disent éveiller, communiquent avec les anges, les archanges, ils savent ce qui est bon pour chacun. Il est vrai que ces gens ont leurs raisons d’être, comme il en est de même pour moi et pour chacun de vous. En d’autres mots, ce qui est bien, c’est que chacun est à sa juste place, vit ce qu’il doit vivre, accompli ce qu’il doit accomplir en ce monde, tout est conforme avec le choix d’incarnation, de vie. Si vous êtes dans une conscience d’amour, quel que soit ce qui se présente à vous, vous savez que l’univers, cette force créatrice, cette intelligence suprême savent ce qui est bon pour vous et pour chacun. Cet univers, se trouve être notre propre création, notre propre pièce de théâtre, nous ne sommes pas justes ce personnage, mais bien cette essence qui l’habite et qui habite toutes les formes de vie. Nous croyons en être séparé pour la simple raison qu’on vit une incarnation à la fois, un personnage pour bien suivre dans cet espace-temps ce que nous sommes venus accomplir, il en est de même pour chacun. Mais tous contribuent à cette même force d’amour. On se demande pourquoi vivons-nous une expérience à la fois, tout simplement accomplir ce que nous sommes venus faire en cet instant de changement. Nous avons tous des rôles différents, cela ne change en rien, en ce que nous sommes tous, issus de la même source créatrice et d’amour.
Il faut comprendre une chose à la base, cette source a eu besoin de se manifester dans la matière et comme l’espace-temps est infini, nous vivons dans un univers sans fin, ni commencement, ce qui nous lie à tout ce qui est, c’est ce qui se trouve en chacun de nous. Il n’y a pas un seul être qui a le même chemin, mais tous les êtres forment le chemin, forment cette voie, car tous contribuent et ce n’est pas à nous d’en juger, car tout a sa raison d’être. Le fait d’ouvrir sa conscience permet cette ouverture afin de mieux comprendre ce qui est en train de se produire. N’ayons aucune crainte pour demain, pour le futur, car tout est déjà orchestré, il en est de même pour la vie de chacun, cette force d’amour, nous guide, nous apporte là où il se doit, à la rencontre de nous-mêmes, tout ce qui est important pour notre choix de vie, il n’y a rien de laisser au hasard, il suffit de voir toutes les synchronicités. Peu importe qui vous êtes en cet instant, qui que vous soyez, tout est parfait, il n’y a pas de plus grand ou de plus petit, quel que soit ce que nous sommes venus accomplir, tout a sa raison d’être. Il est dit : ne jugez pas votre prochain, peu importe les actes, les actions, tout être dans cette incarnation, posez-vous la question pourquoi en est-il ainsi ? Comprendre que tout est là pour permettre à chacun d’ouvrir sa conscience. Nous ne sommes pas là pour juger quiconque, car le faire, c’est se juger soi-même. Gardons en tête, gardons en notre âme et conscience que tout sert le plan divin, et que cette force d’amour qui est en nous, sait ce qui est bien pour chacun. La mort n’est rien d’autre qu’un passage à une autre conscience éveillée, continuant le choix de l’âme, vers une toute autre aventure, que seule cette force d’amour a déjà tout orchestré, et cela, avant même de le demander. Quoi qu’il arrive, soyons tous conscients en contribuant à apporter notre amour inconditionnel, notre amour divin à tout ce qui est, à cette force d’amour et créatrice, car tout en est sa manifestation.
Avons-nous le libre arbitre, à chacun sa réponse, ainsi que sa vérité, tout est parfait.
N’oublions pas que celui qui juge qui que ce soit, se juge lui-même.
Cette force d’amour qui est en chacun, ne fait aucune différence, elle aime tout d’un même amour et, cela qui que nous soyons.
Par Régis Raphaël Violette
Être accompli, amour, paix et lumière
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Guérisseur de l’Âme, Couple divin avec Sandra Violette
Voir ces créations inspirées (toile sur Couple Divin) sur sandrajustetreamour.blogspot.ca…
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Tu peux diffuser et ou partager tous mes textes, sans les couper ni les modifier. Je te demande juste de citer le nom de l’auteur Régis Violette, justeetre.blogspot.ca
Régis Violette
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L’univers est un gigantesque ordinateur qui nous programme façon bisounours ou reptiliens !
Tout est question de volonté !
Ne pourrait on pas s’accorder une fois sur le constat ,on parle référendum comme si De Gaulle nous parlait ,moi je sais et toi tu ne sais pas ,alors faisons la paix ,un référendum à réponse multiple ,on a la technologie ,le besoin ,la nécessité …et en plus on fera des économies de temps et d’argent ,un référendum en 50 points ,O/N ,on ira peut être voter si on nous demande pour une fois de choisir le cap comme si un seul pouvait se clairvoyer de voir à sa personne , il faut changer le système et seules les urnes peuvent y honorer mais l’égo d’un petit banquier peut-il avoir à lui tout seul la vision réelle de son pays ,de son état ,du monde ?
Pourquoi nous rayonnons dans le monde par nos valeurs ou par Macron ,il faut un peu de mérite ,de reconnaissance peut-être ,lui le prince au sommet de son histoire qui ne voit plus ses semelles ,pourquoi continuer à se combattre ,mais quel est cet égo qui se croit au sommet ?
Pas de respect ,pas de sortie ,non ?
ENTENDE QUI PEUT ……
– Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 20-4-23
La Terre sort de la linéarité du temps.
Ecouter le silence. Au cœur du silence est le point du juste milieu. Dans ce point du juste milieu, vous vous reconnaissez. Vous reconnaissez le tout et la source de tout. Dans ce point du juste milieu, vous sortez du temps et retrouvez l’éternel.
Vous le savez, la Terre sort de la linéarité du temps. Comprenez cela concrètement. Bien sûr tous les êtres vivant en mode automatique répliquent la croyance et l’habitude du fonctionnement au sein de la linéarité. Pourtant, tous et toutes peuvent remarquer que la relation au temps change. On semble avoir moins de temps et pendant cette période, le temps semble s’étirer.
La Terre sort de cette croyance de linéarité du temps. Simplement parce qu’elle change de fréquence, de vibration, elle se trouve aspirée, attirée comme par un aimant vers la simultanéité, hors de la linéarité.
Les deux réalités sont parallèles. Les habitudes et les croyances font que seule la linéarité est privilégiée. Et la simultanéité réside comme cachée au point du juste milieu, ce centre qui est la source de tout jaillissement.
La Terre changeant de fréquence, l’accès à la simultanéité, à l’éternité, est plus ouvert. Encore faut-il accepter de déposer les croyances liées au fait que la linéarité est la seule réalité. Elle ne l’a jamais été. Elle est la réalité correspondant à une vibration, à une fréquence. Et là l’éternité semble voilée ou même très cachée. Pourtant de toute éternité, parallèle à linéarité, est la simultanéité du temps.
Le passé n’est pas avant, le futur n’est pas après. Il n’est que maintenant, des milliards de facettes de maintenant. Les croyances dans la linéarité et la vibration correspondant à ces croyances font interpréter le passé et le futur en termes de linéarité. Cela n’est qu’un aspect de la réalité. La Terre changeant de vibration, changeant de fréquence, ouvre à l’évidence de la simultanéité. Ce qui, pour le point de vue de la linéarité, était avant, n’est qu’une autre facette de maintenant. Ce qui, d’après le point de vue de la réalité, est après, est maintenant, une autre facette de maintenant.
Ainsi une autre loi de causes et d’effets. Chaque être est un prisme au millier de facettes. Et la beauté est que l’attention donne vie à la facette correspondant à la vibration de l’attention. Garder les yeux rivés sur l’éternel. Ecouter le silence est donc écouter l’éternité. Ecouter l’éternité est aimer et adorer le-la Vénérable.
Vous le savez, lorsque le temps est ramené à l’éternel, l’espace est ramené à l’infini. C’est ainsi que se fond la notion de distance, d’éloignement. Ecouter le silence est écouter le cœur de la création. Une symphonie de pulsations toutes présentes ici et maintenant.
Ecoutez bien la symphonie de pulsations toutes présentes ici et maintenant. Ainsi chaque parcelle de création peut être rencontrée, peut être appréciée, peut être découverte et adorée ici et maintenant. Ainsi, plus de dimensions, plus de plans, plus de distance, plus d’éloignement. Seule est l’intimité de la symphonie de pulsations du cœur de l’éternité.
Pour que s’opère l’ouverture, pour qu’elle soit, non contenue dans un abstrait mais concrétisée dans la matière de la Terre, il faut bien offrir les habitudes et les croyances qui créent des voiles et des réalités illusoires. Oser cela…
Voyez la beauté, vous abolissez la croyance dans l’espace et dans le temps, et tous les voiles tombent. Cela implique être prêt à offrir les histoires que certains racontent sur le déroulement de l’ouverture inscrit dans le temps et l’espace. Ces histoires ne sont que des reflets très fades de la réalité qui transcende le temps et l’espace. Tout est alors absorbé dans l’ultime simplicité qui est l’ultime intensité, le regard, le regard du Vénérable qui s’offre à lui-même car seul est cela.
Cette offrande du regard est le déploiement de la création. Ce déploiement ne passe pas nécessairement par la croyance dans le temps et l’espace. Ainsi sont actualisées l’éternité et l’immortalité. Ainsi par l’intensité de l’union au sein de ce regard, la matière peut être transmuée et transfigurée. Ce n’est qu’ainsi que s’opèrent les miracles et c’est ainsi que peut être vécue la vie éternelle.
Il conviendrait que l’humanité accepte d’offrir les croyances dans la linéarité et donc dans le devenir. La perfection connaît bien l’autodépassement de façon intrinsèque à sa nature. Cela ne signifie pas le devenir car le devenir implique la linéarité…
Il est réel, pour que l’ouverture soit actualisée, il convient de lâcher prise des habitudes et des croyances qui forgent les histoires, même les histoires décrivant soi-disant l’ouverture. L’on ne peut placer l’ouverture en référence avec le connu, car l’ouverture transcende le connu. La référence ultime est le Un, le retour à l’évidence que seul est le Un et que la fraternité du vivant est ces milliards de facettes du Un qui se projette à l’infini pour découvrir et savourer la perfection de sa nature, la symphonie des battements du cœur, le cœur du Un.
Alors écouter. Ecouter sans projeter. Ecouter simplement; offrant tout voile de croyance, tout voile d’habitude…
Voyez ici et maintenant, se fondent tous les lieux paradisiaques dans l’évidence de cette symphonie de pulsations qu’est la vibration de chaque être, de chaque parcelle de création touchant le cœur de l’éternel, émergeant à peine. Le mental ne peut avoir accès à cela. Le mental est régi par la relation entre le temps et l’espace. Offrir cette relation est bien choisir de le transcender. Alors que tant fabulent sur des histoires d’ouverture forgées à l’image de la réalité mentale, oser s’incliner, se taire et tout déposer.