Message de Maitreya du 19 juin 2010, reçu par Agnès Bos-Masseron

Chaque être est Être cosmique. Que signifient ces mots "chaque être est Être cosmique". Le cosmos tout entier repose dans chaque être, dans chaque cellule du corps cosmique.
L'Être par nature est l'océan d'amour. Que signifient ces mots ? Cela ne peut rester au niveau d'une abstraction. L'océan d'amour chérit, l'océan d'amour entend, l'océan d'amour guérit, l'océan d'amour nourrit, l'océan d'amour aime. Telle est la nature de l'Être. Certains parlent de la Mère cosmique, la Mère nourrit, guérit, aime.
Cela vous a été dit bien des fois, la vie ascensionnée, la vie des êtres cosmiques, la vie dans la dimension de lumière est vie d'adoration. L'adoration, cela vous a été dit également, est la nature de l'Être. L'Être adore l'Être. Inhérent au sein de cette adoration est de chérir la création, car seul est le divin. Offrir l'océan de l'amour à chaque parcelle de création. Se donner tout entier dans cette offrande d'amour avec infinie joie. La plénitude s'offre à la plénitude.
Certains croient que la vie dans la dimension de lumière flotte quelque part, loin des contingences matérielles ; l'intensité de l'amour, de l'adoration, se fait implication.
Lorsque l'on dit que les frères et sœurs ascensionnés accompagnent l'humanité, peu comprennent le concret de cet accompagnement. Lorsque l'on dit que les anges accompagnent l'humanité, peu comprennent le concret de cet accompagnement.
La croyance que la vie ascensionnée est hors des contingences matérielles est erronée, rien n'est extérieur à la vie ascensionnée. Il n'est pas un acte que nous ne partagions. Sur une autre dimension peut-être, mais l'accompagnement est très concret car l'implication est totale, l'implication du don d'amour, guérir, nourrir, adorer, vénérer, respecter chaque parcelle de création, chaque être vivant.
L'humanité a créé bien des compartiments, bien des concepts, bien des croyances. La dimension de lumière est la dimension de l'amour pur, de l'amour absolu, omniprésent, éternellement omniprésent. Simplement le regard n'est jamais en terme de catastrophe ou de désastre, le regard est éternellement en don d'amour, en intention de guérison, en intensité de présence, présence d'amour, présence fraternelle, le vrai sens de la fraternité.
Nous l'avons dit souvent, nous accompagnons, nous nourrissons, nous guérissons. Chaque être garde son libre arbitre. Il est des actes que nous ne pouvons accomplir à la place de ceux qui doivent les accomplir. Il est des choix qui ne peuvent être changés. Et éternellement inhérente à ces choix est la possibilité de guérison, l'offrande de guérison, l'offrande de présence, d'accompagnement, d'infinie compassion. Chaque choix peut être renversé maintenant.
L'humanité s'interroge sur ces brèches (les fuites de pétrole dans le Golfe du Mexique). Il suffirait que l'humanité choisisse l'intensité de l'harmonie, de l'amour, pour que la solution se présente là, maintenant. Il n'est pas d'impossible ou d'inimaginable. Tant que l'humanité garde son regard, fait le choix de garder son regard, sur des problèmes, des désastres, au lieu de voir lucidement la situation et de créer la solution dans l'amour, les désastres grandissent car ce sur quoi vous mettez votre attention grandit.
La dimension ascensionnée, elle, ne donne le poids de son attention que sur la plénitude d'être incarnation d'amour, inconditionnellement, dans le respect total des choix de chacun, des actes, des conséquences. Toute situation pourrait être renversée, transformée, transmuée, maintenant.
Voyez, la dimension de lumière vit, elle aussi, les deux plans simultanément. L'éternité, seul est le silence, la création n'est pas, seul est le silence ; et la création est. Tel est le mystère, la création est la glorification du silence. Tel est le mystère, la création n'est pas, et la création est. Et chaque être est acteur et créateur de cette création, et chaque être fait le choix d'être incarnation d'amour, de compassion.
L'adoration est très concrète. Ce qui fait le concret de cette adoration est justement sa nature, l'Être adore l'Être. L'intensité de la présence est bien plus concrète que les apparences de concret tridimensionnel.
Faire le choix d'être incarnation d'amour, de compassion. Faire le choix dans l'abstrait de la conscience et le concret de chaque cellule. Saturer les cellules de la plénitude d'amour. Saturer les cellules de la flamme éternelle.
Votre intention est belle. Il est beau que vous compreniez à quel point la beauté de votre intention, l'intensité de l'union est ferment de guérison. Voyez les deux plans parallèles, seul est le silence, ce grand, magnifique silence. Et là, ni action, ni guérison, seule est la perfection. Et la création est, et l'application de la perfection, et la présence. Pour cette présence, rien n'est extérieur ou étranger. La présence est l'océan d'amour qui aime à l'infini sans jugement, sans contrainte. Être l'océan d'amour, la plénitude, la vie. Être présence.
Ne sous-estimez pas la valeur des actes ou des intentions, Un enfant même qui anime l'intention de guérir la terre est ferment de guérison. Chaque être est cosmique.
Voyez l'absurdité de se sentir isolé ou impuissant, chaque être est créateur de la création, chaque être est l'océan d'amour, chaque être est cosmique, chaque être est acteur, infiniment impliqué.
Puisse la paix pénétrer la structure de la terre.
Nous vous remercions et vous saluons.

Auteur

  • Agnès Bos-masseron

Source

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Commentaires

  1. Jacou dit :

    Merci Agnès, merci Satyam ,

    Je retiens ceci

    « L’humanité a créé bien des compartiments, bien des concepts, bien des croyances. La dimension de lumière est la dimension de l’amour pur, de l’amour absolu, omniprésent, éternellement omniprésent. Simplement le regard n’est jamais en terme de catastrophe ou de désastre, le regard est éternellement en don d’amour, en intention de guérison, en intensité de présence, présence d’amour, présence fraternelle, le vrai sens de la fraternité. »

    …et cela:

    « Voyez, la dimension de lumière vit, elle aussi, les deux plans simultanément. L’éternité, seul est le silence, la création n’est pas, seul est le silence ; et la création est. Tel est le mystère, la création est la glorification du silence. Tel est le mystère, la création n’est pas, et la création est. Et chaque être est acteur et créateur de cette création, et chaque être fait le choix d’être incarnation d’amour, de compassion. »

  2. Epervierblanc dit :
    Offrir l’océan de l’amour à chaque parcelle de création.

    Se donner tout entier dans cette offrande d’amour avec infinie joie.

    La plénitude s’offre à la plénitude.

    *…..

    Tel est le mystère, la création est la glorification du silence.

    [b] Tel est le mystère, la création n’est pas, et la création est.

    Et chaque être est acteur et créateur de cette création,

    et chaque être fait le choix d’être incarnation d’amour, de compassion. »

    superbe…j’en tremble « la Création Glorification du Silence « , j’ai enfin trouvé une page pour dire comment ceci fait eccho à une perception que j’ai reçue via le bouddhisme ;

    CITATION

    blogg.org

    Dans le bouddhisme, la vacuité (sanskrit : शून्यता, Śūnyatā ; pali: suññata), ou ainsité (tathatā) des choses, désigne leur absence d’être en soi, autrement dit l’inexistence de toute essence, de tout caractère fixe et inchangeant. Elle s’applique aux choses aussi bien qu’aux pensées et aux états d’esprits.
    La vacuité ne vide pas les choses de leur contenu, elle est leur véritable nature (Philippe Cornu, citant le philosophe madhyamika qu’est Nagarjuna, Dictionnaire encyclopédique du bouddhisme, 2001, Seuil). Il ne s’agit donc pas de nihilisme.

    La vacuité est un terme qui peut être mal interprêté. Ainsi, Ringou Tulkou Rimpotché en parle en ces termes (extrait du livre Et si vous m’expliquiez le bouddhisme ?) :
    Selon le bouddhisme, tout est en essence vacuité (shûnyatâ ou śūnyatā), tant le samsâra que le nirvâna. Shûnyatâ ne signifie pas « vide ». C’est un mot très difficile à comprendre et à définir. C’est avec réserve que je le traduis par « vacuité ». La meilleure définition est, à mon avis, « interdépendance », ce qui signifie que toute chose dépend des autres pour exister. [...] Tout est par nature interdépendant et donc vide d’existence propre.
    Selon la thèse de la vacuité, les phénomènes se définissent non pas par une « nature propre », une chose en soi qui leur appartiendrait en propre, mais uniquement par l’ensemble des rapports qu’ils ont entre eux.

    Cependant, il serait erroné de ramener exclusivement la vacuité bouddhique à l’idée d’interdépendance ou de relativité : la vacuité n’est pas un concept qui relève seulement de la pensée discursive, elle est destinée d’abord à ouvrir l’intuition métaphysique (prajñā) du pratiquant. Il s’agit de comprendre qu’il y a une différence fondamentale entre la façon dont nous percevons le monde (y compris nous) et la réalité de ce monde : le « réalisme naïf », qui voit le monde comme peuplé d’entités autonomes, séparées et durables, objectivement existantes, est une erreur métaphysique que la prajñā, à mesure qu’elle se développe, permet de dissiper, par la vue directe de śūnyatā (au moyen par exemple de vipassana bhavana). C’est une perception directe, non duale et non-intellectuelle, de la nature des phénomènes :

    La vacuité n’est ni le néant ni un espace vide distinct des phénomènes ou extérieur à eux. C’est la nature même des phénomènes. Et c’est pour cela qu’un texte fondamental du bouddhisme dit : « La vacuité est forme et la forme est vacuité ». D’un point de vue absolu, le monde n’a pas d’existence réelle ou concrète. Donc, l’aspect relatif, c’est le monde phénoménal, et l’aspect absolu, c’est la vacuité. (…) Les phénomènes surgissent d’un processus d’interdépendance de causes et de conditions, mais rien n’existe en soi ni par soi. La contemplation directe de la vérité absolue transcende tout concept intellectuel, toute dualité entre sujet et objet. (Le Moine et le Philosophe, Jean-François Revel, Matthieu Ricard, 1997) [/b]

    Pour Aapm.. j’ai pensé à toi en écoutant cette musique, et bien evidemment à …. Paprika!!!!!!????? :-P :-P :-P

    tibet-heart-beat-meditation
    Ahhhhhhhh je vois déjà des images sur ces rythmes mais je suis pas fichue de faire une videooooooooo ARGGGGGGGGGGGGGGGG

    • Aapm dit :

      Merci infiniment epervier blanc! La musique résonne à travers le casque, le son qui bascule de droite à gauche, et les graves des moines tibétains en rythme de fond, les tintillements cristallins…

      Tel est le mystère, la création est la glorification du silence.
      Il est beau que vous compreniez à quel point la beauté de votre intention, l’intensité de l’union est ferment de guérison. Voyez les deux plans parallèles, seul est le silence, ce grand, magnifique silence. Et là, ni action, ni guérison, seule est la perfection. Et la création est, et l’application de la perfection, et la présence. Pour cette présence, rien n’est extérieur ou étranger. La présence est l’océan d’amour qui aime à l’infini sans jugement, sans contrainte. Être l’océan d’amour, la plénitude, la vie. Être présence.

      Ce message est tout simplement magnifique à cet instant…

      Belle soirée !

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