Climats et astronomie dans les Chroniques :

Peter (via le forum) : Le premier déluge est notamment confirmé par l’évolution des températures au cours des derniers millénaires (étude sur la carotte de glace). Le graphique ci-dessous présentant cette évolution, nous montre très clairement une hausse des températures à partir d’environ 10.000 ans avant J.-C. (hausse provoquée par le passage de Vénus à proximité de la Terre et due à la fonte des glaces). Concernant le second déluge, il est plus difficile de percevoir la hausse des températures liée au dernier passage rapproché de Vénus (vers 3.000 av. J.-C. selon vous ?). Comment expliquer les hautes températures survenues il y a 130.000 ans et les importantes variations survenues par la suite jusque 10.000 ans avant J.-C. ? Est-ce une conséquence d’une manipulation du climat ? Faut-il y voir la conséquence également de la précession des équinoxes et de l’activité solaire (principales explications des scientifiques pour tenter de comprendre les cycles de température à l’échelle de millénaires) ? Cette hausse de température à 130.000 ans av J.-C. semble avoir été similaire à l’effet du passage de Vénus qui a provoqué le premier grand déluge ? Comment interpréter ces courbes et dans quelle mesure Vénus et la manipulation du climat ont-t-elles influencé les cycles de température ?

Anton Parks : De mon point de vue, il n’y a effectivement aucun rapport entre ce qui est survenu il y a 130.000 ans et le déluge de près de 10.000 ans av. J.-C. Je ne suis pas scientifique, donc je ne peux prétendre commenter cette courbe. Je ne suis pas certain non plus que la science l’ait même déjà fait de façon claire et définitive. Je peux toutefois vous rappeler que la Terre a subi plusieurs inondations sur la très longue période qui couvre le T2. Dans sa dernière entrée du T2, Enki-Osiris en fait allusion. Il faut aussi se rappeler que le clan Anunnaki a joué avec le climat afin d’obtenir plus de chaleur. Il est possible que cette manipulation du climat se situe vers 130.000 ans, cela me semble tout à fait possible.
En ce qui concerne les passages de Vénus, les approches de l’astre étaient différentes à chaque fois, donc les effets visibles ou mesurables sur Terre devaient être inégaux. Pour ce qui concerne la date approximative de 3.000 av. J.-C., cela ne concerne pas une hausse des températures, mais une montée des eaux partielle de la planète (dont on a retrouvé les traces). C’est d’ailleurs vers cette date que les plus grandes civilisations du monde se réveillent, celles qui se trouvent dans nos livres d’histoire.

Osirisnotdead et d’autres intervenants (via le forum) : Quand et comment Seth, An et consorts ont-ils fait sauter Mulge, et quel en était le but principal, s’agissait-il uniquement de se débarrasser de Nammu et des Abgal ou bel et bien de briser le pouvoir des Planificateurs au sein du système solaire ?
Au sujet de la destruction de Mulge : Sachant que la chute de l’astéroïde qui aurait causé par une suite d’évènements la fin du Crétacé (65.000.000 BP) n’a causé qu’un cratère de 180 km de diamètre (Chicxulub) malgré une force destructrice de « plusieurs milliards de fois « Hiroshima » selon les scientifiques, comment Seth s’y est pris pour détruire une planète aussi gigantesque que Mulge ? Je n’ose même pas imaginer la taille de l’astéroïde qu’il faudrait réussir à détourner pour qu’une telle explosion se produise. Et si ce n’est pas le fait d’un déplacement d’un corps céleste, de quelle type d’arme a disposé Seth pour produire une telle force destructrice ?

Anton Parks : Quand Mulge a sauté ? : approximativement entre 12.000 et 10.000 av. J.-C., c’est indiqué plusieurs fois dans mes ouvrages. Comment Mulge a explosé ? : Personne ne le sait. Dans le Réveil il a été évoqué que l’appareil de Sé’et transportait peut-être une bombe, ce qui l’a empêché d’atteindre Mulge-Tab. Pour la mort de Nammu et la destruction de Mulge, on peut éventuellement imaginer que son vaisseau transportait à son tour une très lourde charge et qu’il ait éventuellement atteint le monde creux de Mulge, ce qui l’a fait exploser. Faire exploser une charge dans la cavité intérieure ne doit pas donner le même effet qu’à l’extérieur.
Lorsque je parle de charge explosive, je ne pense pas qu’il puisse s’agir du même type d’explosif que nous connaissons sur Terre. Je pense que ce genre d’arme était usiné sur Mars par An et ses Anunna. C’est un peu le sentiment que j’ai aujourd’hui sur ce sujet, mais nous sommes dans des suppositions, car je n’ai pas plus d’informations à ce propos. En tout cas, le fait de faire disparaître la fille et ensuite la mère dans des conditions similaires est typiquement Usumgal-Anunna. Comme vous l’avez noté dans votre question, je pense que l’objectif de ce complot avait bien pour visée de briser le pouvoir planificateur au sein du système solaire.

Prométhéen (via le forum) : Les nombreux satellites de Jupiter et Saturne, comparables à notre Lune, sont-ils aussi des bases Kingu ? Ces deux planètes sont censées être gazeuses, quel serait alors l’intérêt pour eux de cette présence, s’il est possible de le savoir ? Plus généralement, pourrait-on avoir une idée de la répartition des forces dans notre système solaire…?

Anton Parks : Difficile à dire. C’est comme si vous me demandiez de vous dresser la carte des forces armées américaines sur notre globe. Les Kingu ont toujours été secrets, comme toute force militaire terrestre. Par contre, j’ai un gros doute concernant leur présence sur des satellites de Jupiter.

Apademak : Problème des constellations : Il est souvent dit que tel ou tel groupe d’individus provient d’une constellation en particulier. Je n’arrive pas à comprendre cette vision purement géocentrique car si je prends au hasard 3 étoiles de la constellation d’Orion cela nous donne: – Rigel (Beta Orionis), environ 774 années lumières de distance de la Terre. – Saiph (Kappa Orionis), environ 700 années lumières de distance de la Terre. – Bételgeuse (Orionis), environ 427 années lumières de distance de la Terre. Ainsi, venir de la constellation d’Orion par exemple ne veut rien dire, car si l’on vivait sur une planète d’une de ces étoiles, les deux autres nous paraîtraient alors appartenir à d’autres constellations. Je veux dire que les étoiles de pratiquement n’importe quelle constellation sont aussi éloignées entre elles qu’elles le sont elles-mêmes de nous.

Anton Parks : Une constellation n’est pas seulement un groupement d’étoiles proches, malgré les énormes distances qui peuvent les séparer, mais aussi un groupement d’étoiles brillantes dans le ciel. Que cela soit sur Terre ou ailleurs dans notre univers, j’imagine que le constat reste le même. Vous avez raison de préciser qu’une constellation n’aura jamais la même figure géométrique dans notre ciel terrestre comparativement à un autre endroit dans l’univers. Cela implique donc que le même nombre d’étoiles brillantes ne sera peut-être pas regroupé de façon identique dans un ciel extraterrestre qu’ici-bas. Jusqu’ici, nous sommes d’accord.
Cependant, lorsque j’évoque des étoiles dans les Chroniques, comme par exemple la constellation d’Orion, je parle de zones géographiques célestes. Lorsque je pointe une étoile appartenant à une constellation, il s’agit d’un lieu distinct qui porte un nom que les « dieux » sumériens lui ont donné et qui lui est propre. Votre remarque aurait été pertinente si le terme sumérien Mulmul (« la constellation des constellations ») aurait été la traduction du grec Pléiades (« les navigatrices »), or ce n’est pas le cas. Idem pour Sirius qui provient du grec Seirios (« ardent ») qui n’est pas la traduction du nom sumérien GAG-SI-SÁ (« flèche céleste »), on pourrait continuer ainsi à l’infini. Le constat reste le même : les Hopis font descendre leurs Kachinas des Pléiades et les Dogons d’Afrique font provenir leurs dieux amphibiens de Sirius…
Pour résumer : dans les Chroniques, il n’est question que de zones célestes. Par exemple, aux yeux des Gina’abul, Mulmul (les Pléiades) n’est pas nécessairement constitué du même nombre d’étoiles que sur Terre, idem pour les autres constellations.

Apademak : Autre interrogation d’ordre astrologique. Toutes les étoiles et constellations présentes dans Les Chroniques (La Lyre, Le Dragon, La Grande Ourse, Orion, Sirius…) se situent dans notre Galaxie, c’est-à-dire la Voie Lactée (qui contient déjà à elle seule entre 200 et 400 milliards d’étoiles). Est-ce que l’auteur sait si les Gina’abul sont aussi présents sur d’autres galaxies que la nôtre ?

Anton Parks : C’est une bonne question. Je suppose que les Gina’abul forment une espèce spécifique à notre univers, ce qui est déjà pas mal. Ceci dit, il n’est pas exclu d’imaginer des familles cousines aux Gina’abul dans d’autres univers.

Questions concernant la rédaction des Chroniques :

Peter, Rictus et Tony (via le forum et par mail) : Comment Anton a-t-il pu retranscrire avec tant de minuties les textes des dialogues que l’on retrouve dans les Chroniques ? Est-ce retranscrit de mémoire ou avez-vous pris des notes depuis que votre expérience « paranormale » a commencé au cours de votre adolescence ? Si Anton a reçu tant de visions pendant de nombreuses années, il ne comprenait pas encore la langue. J’admets la possibilité de retenir avec grande précision une vision, mais il est beaucoup moins évident de retenir une conversation surtout dans une langue qu’on ne comprend pas. Admettons qu’au cours du temps Anton ait pu retenir certains fragments, comment a-t-il pu retranscrire avec tant de précisions des dialogues si compliqués ? A-t-il peut-être au bout d’un certain temps réussi à noter ce qu’il comprenait ? Est-ce que les retranscriptions des dialogues des toutes premières visions sont-elles perdues ? Quelle a été sa démarche pour retranscrire les dialogues ?

Anton Parks : Comme je l’ai déjà expliqué plusieurs fois, j’ai reçu des visions sous forme de flashs lumineux pendant près dix ans, entre 14 et 24 ans, de 1981 à 1991. J’en ai eu de nouveaux après, en 2007, lors de mon premier voyage en Egypte. Ce furent les plus douloureux d’entre tous. Sûrement en raison du fait que Sa’am et ensuite Heru ont bien connu la terre d’Egypte et les lieux que j’ai visités. Ensuite, cela s’est estompé à partir de 2008 ; je ne reçois à nouveau plus rien du tout à l’heure actuelle. J’espère bien ne plus rien recevoir ! Ce que j’ai reçu, il y a quelques années, représente bien peu par rapport au reste. Je connais bien la suite et la fin de toute cette histoire. J’y ai déjà consacré de nombreuses heures pour tenter de comprendre et d’assembler son contenu.

Mes flashs ont toujours été spontanés (en relation avec la lumière ambiante du moment présent, équivalente à la scène reçue), sans être contrôlé, ce n’est pas moi qui décide de « voir » contrairement à un channel. Quand cela survient, c’est de façon subite et je ne peux pas arrêter le processus, de toute façon, c’est très rapide, de 2 à 5 secondes tout au plus. Je reste cependant conscient de ce qui se passe autour de moi, mais les visions ont plus d’importance et accaparent toute mon attention. En quelques secondes, je reçois plusieurs minutes, voir même des heures. C’est dans ce dernier cas que cela est le plus éprouvant. Ce n’est pas simple, car je revis émotionnellement tout ce que le personnage vivait. L’intensité et le vécu émotionnel est d’ailleurs un facteur important dans la mémorisation. Lorsque l’on vit des choses aussi intenses et concentrées, il n’est pas possible de les oublier. C’est comme si vous aviez été brûlé à vif.
Ma mère a pris des notes et a retranscrit mes premières visions lorsque j’étais à la fin de mon adolescence et au début de l’âge adulte. J’ai aussi pris des notes manuelles, que je consulte quelques fois lorsque je rédige mes ouvrages, mais l’ensemble est resté gravé dans ma tête.

Merci pour la précision concernant les faits, mais certains m’ont déjà reproché de ne pas donner suffisamment de détails sur les décors, au détriment de détails « moins importants ». Il faut comprendre que je ne fais que retranscrire ce que Sa’am vivait, voyait et ressentait, dans les scènes qui me sont apparues. Je n’ai jamais reçu deux fois la même scène. Comme Nora l’explique bien dans son dossier qui se trouve à la fin du Réveil, la totalité des connaissances du personnage n’est pas appréciable dans son ensemble lors des visions, en raison du fait de revivre uniquement ce que les deux personnages pensaient, ressentaient et voyaient à ce moment précis et qui sont restitués à l’identique lors des visions.
Le langage que j’entendais m’était parfaitement étranger, mais je le comprenais sur l’instant. Il a été enregistré (gravé comme sur un disque dur) avec l’ensemble des images quelque part dans ma tête. Comme je l’ai mentionné à d’autres occasions, il m’a fallu du temps pour comprendre qu’il s’agit d’une forme ancienne de sumérien. Ce n’est qu’en feuilletant par hasard un manuel sumérien vers l’an 2000 que j’ai enfin compris. Cela a été un des facteurs qui m’a décidé à écrire.

Idem : Aussi y a t-il eu une part d’interprétation lors de la translittération finale ? Est-ce le temps qui a permis à Anton de comprendre progressivement la langue sumérienne (et akkadienne) ? Est-ce que le ressenti d’Anton à la place de Sa’am est-il suffisant pour retrouver le sens de ses paroles ?

Anton Parks : Je ne fais que retranscrire ce que j’ai vu, il n’y a pas de partie romancée ou ajoutée. Lorsque j’écris un ouvrage des Chroniques, j’y passe beaucoup de temps, car cela me demande un effort considérable de retrouver l’information au fin fond de ma mémoire, de la retranscrire et de la placer dans le bon ordre de la narration. Le journaliste Alain Gossens comparait cela à une tête de lecture qui va chercher l’information sur le disque dur.
Au début, lorsque j’ai commencé à recevoir ces flashs et qu’il était question du personnage du T1 et du T2, j’entendais le nom Sam ou Am, et quelques fois (plus rares), Sam’il ou Sam’el. Je l’ai alors associé au Samaël de la littérature juive. Par exemple, lors de la scène où An annonce à son clone (début du T1) : « Tu te nommeras plutôt Sa’am – le bon seigneur, le bien façonné », je ne savais pas qu’il s’agissait de SA’AM, pour moi c’était SAM ou AM. D’ailleurs au début de mon manuscrit du T1, ne sachant trancher, Sa’am s’est nommé tour à tour AM, ensuite ‘AM ou encore E’AM dans les premières pages. C’est le Sumérien qui m’a mis sur la voie, car SA’-AM veut effectivement dire « bon seigneur ». J’avais la bonne information, mais il me fallait le sumérien pour comprendre. D’ailleurs SA-AM-IL veut dire « bon seigneur élevé (ou grand) ». J’ai piétiné sur beaucoup de détails comme cela au début.
Je vais vous donner un autre exemple qui me vient à l’esprit. Il ne concerne pas la linguistique, mais la chronologie de l’histoire. Après le Testament, lorsque j’ai repris la rédaction du T3, je me suis rendu compte que la scène où Horus se trouve à Abydos pour y être initié par les prêtres ne se situait pas du tout à sa bonne place, elle intervenait beaucoup trop tôt dans l’histoire. Pourquoi ? Parce que je n’avais pas encore fait le lien entre cette scène partiellement rédigée et celle où Horus se révèle à la foule comme étant le Mesi d’Asar (l’engendré à l’image d’Osiris), donc le successeur légitime d’Osiris.

Comme vous le voyez, écrire ce genre d’ouvrages demande beaucoup de temps et une énorme concentration. Je suis perfectionniste, chaque mot est important, chaque souffle, chaque virgule. C’est pénible. C’est aussi pénible de devoir rédiger une histoire figée où l’on ne peut rien changer, c’est très frustrant. J’aimerais souvent qu’un personnage dise autre chose ou qu’il fasse carrément le contraire, mais ce n’est pas possible. De surcroît, pour les raisons que vous connaissez, tout se déroule avec les yeux de Sa’am et Heru : on ne sait jamais ce qui se passe ailleurs. Imaginez devoir rédiger des ouvrages avec cette contrainte… c’est du suicide littéraire ! Difficile de captiver un lecteur de cette façon, un livre d’accord, mais pas toute une série. Alors, vous voyez, lorsque j’entends dire que je serais un romancier, cela relève pour moi plus de l’exploit que d’une critique…

Pour finir, une fois un ouvrage écrit, il m’est impossible de le réouvrir et de me relire. Je ne me relis jamais, je le fais uniquement lorsque je dois retrouver une note ou quelques chose de ce genre. Cela a demandé tellement d’énergie… lorsque j’écris, je me vide comme une pile. J’ai beaucoup plus de plaisir à écrire les notes, les dossiers et maintenant des ouvrages de recherche, donc des essais. Dans ce genre de rédaction, j’écris beaucoup plus vite et je me sens plus à l’aise.

Mireille (via mail) : Pourriez-vous juste me dire si vous avez plus d’informations sur « l’état » de votre personnage principal lors du combat (perceptions du temps et de l’espace, état énergétique, état émotionnel…) même le détail le plus insignifiant peut m’être fort utile.

Anton Parks : Je pense que votre question concerne Horus. Ce dernier ne pensait à rien de particulier lorsqu’il était au combat. Il faisait son possible pour ne pas se laisser gagner par des émotions qui auraient dérangé sa concentration. Il lui arrivait de se poser des questions, mais c’était plutôt d’ordre tactique.

François (via mail) : Aussi, est-ce que dans les récits avenirs, vous allez aller plus vers l’histoire racontée ou l’élaboration de preuves ?

Anton Parks : Je vais poursuivre la démarche éditoriale dans laquelle je suis, récit et recherches parallèles. Mes diverses démonstrations sont pour moi des preuves. On m’a dit qu’elles agacent parfois.
Je suis un personnage public de la littérature qui irrite parce que j’incite le lecteur à sortir de son attachement à des dogmes historiques et religieux qui forment la culture humaine officielle. Je compare ce « savoir autorisé » à un dogme parce qu’il est pré-mâché et surtout bancal ; il n’incite donc pas à la réflexion et à la libre pensée.
Au contraire, ce que j’écris incite à la réflexion, à l’intelligence et au voyage. A ce propos, la véritable intelligence est l’honnêteté ! Mais, à l’heure actuelle, je ne suis pas certain que l’honnêteté serait très « actuelle et branchée ».

Mes écrits sont destinés à électriser la pensée unique, celle qui a, en quelque sorte, sédentarisé notre cerveau. J’ouvre des voies et des portes, à chacun de s’y engouffrer et de partir pour un voyage dont il ne pourra ressortir indemne s’il a bien compris le sens de ce voyage et son objectif. Mais cet objectif, j’en conviens, peut faire peur, car il ébranlera beaucoup de nos convictions établies par l’ordre mondial occidental de la pensée unique.

Théorie de la terre creuse :

Apademak (via le forum) : Comment alliez-vous la théorie de la Terre creuse à la loi de gravitation universelle de Newton? En effet, cette loi démontre que tout objet ayant une masse hérite d’une force d’attraction proportionnelle à cette masse. Si la Terre était creuse, elle ne pourrait avoir une masse suffisante pour générer la force d’attraction que nous lui connaissons. En outre, l’intérieur d’une terre creuse serait privé de gravité car la force gravitationnelle est nulle à l’intérieur d’une coquille sphérique, quelle que soit l’épaisseur de celle-ci si l’on néglige l’effet des autres masses à l’intérieur et à l’extérieur de la coquille (théorème dit de la coquille creuse). Les habitants de cette terre creuse ne subiraient donc aucune attraction vers l’extérieur, et ne pourraient pas se maintenir sur le sol. Ils se trouveraient en état d’apesanteur quasi-complète, car ils ne pourraient ressentir que la petite force de gravité résiduelle provenant de la forme imparfaitement sphérique de la terre ainsi que des forces de marée produites par les corps célestes extérieurs tel que la Lune. La force centrifuge due à la rotation de la terre les attirerait en théorie vers l’extérieur, mais elle n’excéderait jamais (pas même à l’équateur) 0,3% de la force de gravité qui s’exerce à la surface dite extérieure de la Terre. En outre, toutes les études des sismologues via les ondes sismiques nous font état de différentes couches solides (croûtes continentale et océanique, manteaux supérieur et inférieur, noyaux externe et interne) délimitées par des discontinuités (Moho/Gutenberg). Cela semble logique si nous considérons que la terre s’est formée par accrétion de météorites. J’ajoute que depuis les travaux et la modélisation d’Einstein, nous savons que la gravité n’est qu’une déformation du « tissu » (géométrie) de l’espace-temps sous l’effet de l’énergie de la matière qui s’y trouve. Est-ce que Mr. Gerry Zeitlin ou vous-même avez un autre modèle à nous présenter ?

Anton Parks : J’ai comme le sentiment que vous me prenez pour un physicien ou quelque-chose d’approchant. Non, je n’ai pas de théorie à vous donner, mais je vous renvoie vers celle de l’Allemand Karl-Heinz Engels et sa Hohlkörper-Theorie (La Théorie des Corps Creux) qui a été complétée par des membres du magazine français Morphéus.
J’adhère à cette théorie, bien que je ne sois pas persuadé que le magma planétaire serait présent sur une étendue qui couvre la superficie totale de la Terre. Je vois plus le magma comme s’étalant autour du globe en réseau, comme une tuyauterie ou un réseau sanguin. Voir le dossier ici : antonparks.com

DeathRamps (via le forum) : Que pensez-vous de la légende qui entoure l’Agartha et sa fameuse cité « Shambala » ? Qui pour les adeptes de la théorie, n’a rien à voir avec celle de la Terre Creuse et serait donc un énorme réseau de galeries souterraines parcourant le monde. Pensez qu’un peuple puisse vraiment vivre dans « ces réseaux souterrains » ? Les Neferu ? L’Abzu terrestre est-il toujours habité selon vous? Par les Kingu ? Neferu ? …

Anton Parks : Je ne pense pas grand chose de Shambala. Je ne sais pas de quand date l’association Agartha / Shambala, mais je crois que ce sont les Occidentaux qui ont fait cette assimilation hasardeuse. Je ne pense pas que Shambala ait été la capitale de l’Agartha, il s’agit plutôt d’une ville qui est considérée comme étant invisible à la surface de la terre. Shambala apparaît dans un ancien texte bouddhiste, le Tantra Kalachakra, où il est indiqué que cet endroit ne peut se situer sur aucune carte et que seules des personnes qui ont un karma convenable peuvent y avoir accès. Je ne suis pas contre l’idée que des individus spirituels puissent vivre dans des endroits reculés du monde, totalement invisibles à nos yeux. Alors pourquoi pas, mais ce genre de concept n’apparaît pas vraiment dans mes informations (à part pour les dimensions et le monde souterrain), il ne m’est donc pas très familier. Je suis plus proche du concept du monde souterrain.
Effectivement, les concepts de la terre creuse et celui de réseaux souterrains et de galeries sont différents. J’ai donné mon avis sur celui de la terre creuse dans mes ouvrages et plusieurs documents qui sont disponibles sur notre site. Dans la narration des Chroniques, l’Abzu (la terre creuse où les eaux primordiales du monde sont réunies) serait plutôt contrôlé par des individus de souche planificatrice comme les Ama’argi. J’espère que cette famille est toujours présente, sinon cela ne serait pas un bon signe pour nous. Quant aux réseaux, il devrait sûrement y séjourner des Kingu (cf. traité signé avec les Ama’argi dans le T2) et sans doute encore des Neferu…

Eric (via mail) : Question concernant l’influence des Chroniques du Girkù. Depuis la parution, y a-t-il eu des modifications dans la vision officielle de l’histoire humaine, notamment par le fait que des chercheurs, des paléontologues, aient pu montrer un vif intérêt aux écrits d’Anton ? Que certains d’entre eux aient pu se rapprocher d’Anton pour corroborer ses connaissances ? ou au contraire, avez-vous pu subir, vous-même et votre entourage, des pressions pour vous faire taire ?

Anton Parks : Je n’ai jamais subi de pressions jusqu’à présent, à part des missives malveillantes qui semblent plus émaner de personnes déséquilibrées et auxquelles il serait pure perte de temps d’y prêter attention. Cela fait partie du lot des auteurs qui travaillent dans cette voie.
La vision « officielle » de l’histoire humaine est jalonnée de différentes théories, et s’enrichit constamment. Difficile de répondre à cette question. Effectivement, quelques scientifiques de toutes natures semblent porter un intérêt aux Chroniques. Le premier tome date de 2005, espérons qu’avec le temps, il y en aura de plus en plus.
A ce propos, je peux vous rapporter une aventure inoubliable ; un excellent contact que j’ai entretenu pendant quelques temps avec Marcelo G. Martorelli qui devait effectuer la fameuse expédition au Pôle Nord avec Steve Currey pour atteindre l’ouverture Nord. J’ai rencontré Marcelo et son épouse Nancy le 15 novembre 2005 à la Défense à Paris. Ils étaient accompagnés d’un petit groupe appartenant à son éditeur français. Nous avons beaucoup parlé. Marcelo m’a remis des documents qu’il comptait utiliser lors de l’expédition et qu’il pensait codés. Il souhaitait que je les examine, ce que j’ai fait par la suite.
Nous nous sommes revus plus tard dans la soirée, en privé. Avec le consentement de Steve Currey, il m’a invité à faire partie de l’expédition à titre gratuit, en qualité de linguiste spécialisé dans le langage extraterrestre Gina’abul, afin que je puisse être intégré aux hommes de science qui allaient participer à cette expédition. Nous avons longuement échangé, et je peux attester que Marcelo et Nancy sont des êtres exceptionnels, d’une grande simplicité et surtout très respectueux.
Par la suite j’ai inspecté à la loupe lesdits documents que l’on m’avait remis. Certains étaient vraiment intéressants. Parmi eux, se trouvait toutefois un faux, un leurre (un document en vieil allemand), mais un autre, lequel représentait une topographie assez détaillée de l’intérieur de la Terre, était effectivement codé en Gina’abul.
Malheureusement, nous connaissons la suite de l’histoire. L’expédition n’a pas eu lieu, Steve Currey étant décédé le 26 juillet 2006 en raison d’une tumeur fulgurante au cerveau. Le voyage avait été cependant reporté d’un an avant l’annonce de la tumeur incurable, mais ce voyage ne pouvait plus avoir lieu sans Steve. Tous les participants ont été remboursés. Je dois dire que je pense souvent à Marcelo et son épouse Nancy ; ils sont dans mon cœur à jamais.

Questions sur la Franc-Maçonnerie et l’occultisme :

Secretlight (via le forum) : Que pensent Anton et Nora Parks de la Franc- maçonnerie au vu des révélations contenues dans leurs livres, et vu la symbolique de l’œil qui les accompagnent et à laquelle ils semblent souscrire ?

Anton Parks : Nous ne pouvons pas parler des francs-maçons et du groupe de la Franc-maçonnerie pour une simple raison : Nora et moi n’en faisons pas partie et ne connaissons pas véritablement ce sujet. En tout cas, pas plus que la majorité de mes lecteurs. Il est difficile de nous exprimer sur un thème qui nous est inconnu. Les francs-maçons ne communiquent jamais d’informations sur leur organisation à ceux qui n’en font pas partie, c’est peut être aussi pour cette raison qu’il existe une telle fixation sur ce groupe très secret, dont tout le monde sait qu’il possède des ramifications jusqu’aux sphères gouvernementales.
Pour avoir des avis clairs, il faut s’orienter auprès des personnes concernées. Il existe beaucoup de livres qui parlent de ce sujet, écrits par des francs-maçons. J’en possède en tout et pour tout quatre : deux de C.W. Leadbeater (qui parle de la Franc-maçonnerie égyptienne) ; « La Clé d’Hiram » de C. Knight et R. Lomas et « L’Etoile Flamboyante » de O. Doignon. Ma culture personnelle sur ce sujet s’arrête là.

Ma formation concerne le marketing et la communication où j’ai exercé de nombreuses années à Paris. Pendant toutes ces années, j’ai connu plusieurs francs-maçons. Ces hommes et ces femmes étaient comme vous et moi, très sympathiques au demeurant, avec souvent ce petit truc en plus : celui d’être très respectueux et attentifs à votre point de vue. D’après ce que je sais, la Franc-maçonnerie serait une école de la connaissance. Les francs-maçons font un énorme travail sur eux et sur leur ego, ils passent leur vie à « polir leur pierre », à forger leur caractère, ce que la grande majorité de la planète ne sait pas faire. Chacun d’entre nous fréquente un ou plusieurs francs-maçons dans son entourage proche ou même dans sa famille sans le savoir… et alors ? L’être humain a tendance à focaliser et à diaboliser ce qu’il ne connaît pas.

Concernant la symbolique de l’œil, il s’agit d’un symbole universel qu’il est facile d’utiliser sans même s’en rendre compte. Je vais vous donner deux exemples très simples à propos des mises en pages des deux premiers tomes. Pour la couverture du T1, le vaisseau d’An qui s’élève d’un cratère forme un œil reptilien. Antas et moi ne l’avions pas vu et c’est en montrant notre maquette à un très bon ami que ce dernier m’en a fait la remarque. Il nous a même suggéré de rajouter un léger orbe tout autour pour accentuer l’effet de cet œil imprévu, ce que nous avons fait.
Le second exemple concerne la nouvelle mise en page du T2 et particulièrement sa tranche (que l’on nomme aussi l’épine) où l’on voit l’astre rouge de la couverture s’élever ou s’approcher de la Terre, mais dans un positionnement vertical et non horizontal comme sur la couverture. Si vous regardez bien cette image le soir, dans un clair-obscur, vous aurez l’impression de voir un œil flamboyant dans une pyramide… Une fois encore, c’était totalement imprévu.

Nora : Il existe plusieurs groupes maçonniques en France et certains organisent même des portes ouvertes. Il y a donc des moyens possibles pour trouver réponse à ces questions en s’enquerrant auprès des personnes concernées. Personnellement, Anton et moi n’avons pas d’a priori. Comme l’a dit Anton, je suis certaine que nous connaissons et côtoyons tous des personnes qui font partie de la Franc-maçonnerie, sans même le savoir. Si demain, des gens que vous aimez, de la famille, des amis, ou des personnes avec lesquelles vous travaillez, vous annoncent en faire partie, votre sympathie envers eux va-t-elle cesser sur ce simple fait ? Chacun est libre d’avoir ses opinions et de faire ses propres expériences.

A propos de la symbolique de l’œil. J’ai vu que plusieurs personnes ont fait la réflexion qu’Anton aurait un rapport avec le satanisme à cause de cette fameuse photo artistique où on voit son visage superposé à la Terre. Je trouve qu’il faut être terriblement perturbé pour annoncer ce genre de propos. Il est impossible que ces personnes aient pris le temps de lire ses livres, puisque le fond de ses ouvrages dénonce justement ce sujet. Malheureusement beaucoup font encore l’amalgame entre Satan, le grand administrateur du monde, et Lucifer, le porteur de lumière qui combat ce dernier. C’est un des grands sujets des ouvrages d’Anton.

La symbolique de l’œil est partout. Chacun de nous, hommes et animaux, possédons deux yeux. Lorsque nous prenons des photos ou réalisons des couvertures d’ouvrages, nous ne réfléchissons tout simplement pas à la symbolique. Nous regardons le coté artistique et suivons nos goûts spontanément. Dans un processus de création, il est important de ne pas analyser, ni de faire attention à ce que cela représente, sinon l’inspiration ne vient pas. Anton qui travaille toujours dans le milieu de l’art et du graphisme en sait quelque-chose. Les artistes comprendront ce que je dis, car ils savent bien que le plus souvent celui qui crée est étonné d’analyser ensuite ce qu’il a fait, et de découvrir la symbolique que son œuvre renferme.
Pour vous donner un autre exemple, nous avons réalisé bien plus tard que la photo d’Anton avec la Terre montrait la moitié gauche de son visage, et la photo du Testament de la Vierge, la moitié droite du mien, alors que ce sont justement ces parties exactes qui sont attribuées à Osiris et Isis dans l’arbre des Sephiroth. Une fois de plus, c’était du hasard, d’autant plus que la ‘vierge’ sur la pochette ne représente pas nécessairement Isis, mais plutôt une prêtresse vouée à son culte. La photographie du fond a été prise dans le temple de Dendérah, dans le même lieu où des milliers et milliers de prêtresses ont séjourné pendant plusieurs millénaires…

Osirisnotdead (via le forum) : Les Kingu royaux (dont la hiérarchie, à moins que cela ne m’ait échappé, n’est jamais clairement évoquée par Parks) et les Usumgal seraient en guerre et agiraient sur Terre en KI, manipulant en cela une espèce humaine jusqu’à présent puissamment mystifiée, voire égarée pour mieux être domestiquée (et servir de chair à canons). Que penser dans ce cas de la lettre prophétique d’Albert Pike qui jouait les Cassandre dès 1871 en prévoyant dans sa lettre à Mazzini trois guerres mondiales à venir ?

Anton Parks : Je ne suis pas certain de bien comprendre votre question. Les Kingu sont très secrets. Il n’est pas étonnant de ne posséder que très peu de renseignements les concernant. Ils se situent en haut de la pyramide de la famille Gina’abul. Si je n’avais pas relevé leur existence dans mes ouvrages, on n’en parlerait même pas. Personne ne s’est jamais intéressé aux Kingu auparavant. Je vous rappelle que dans le T3, il est mentionné qu’ils feraient du commerce avec des engeances extraterrestres…
Pour la troisième guerre mondiale, je ne suis pas devin, ni prophète, ma spécialité étant le passé. Un passé qui, j’espère, apportera des réponses pour un meilleur avenir, en tout cas pour qui s’en donnera la peine. Tout ce que je peux ajouter c’est que pour les Gina’abul du clan d’An, les Kingu, mais aussi pour nos gouvernements, la guerre n’est rien d’autre que de l’autorégulation…

Osirisnotdead (via le forum) : De quel côté doit-on situer Horus aujourd’hui (s’il s’agit bien du Lucifer franc-maçon), (et qui est Adonai ?) dans le combat qui s’annonce ? pp.auto.ke.orange.fr J’ai bien conscience qu’une seule question en soulève plusieurs autres, et que toutes les réponses ne sont pas forcément définitives !

Anton Parks : Sincèrement, je ne savais pas que Lucifer avait un quelconque rapport direct avec la Franc-Maçonnerie. Les concepts de la lumière (Lucifer) et des ténèbres (Satan) sont bien plus anciens, j’en suis certain et ceci est démontré dans mes différents ouvrages.
J’ai été voir votre document. J’ai remarqué que la troisième guerre mondiale semblait programmée pour le 20e siècle, alors que nous sommes aujourd’hui au 21e siècle. Certes, nous avons tous bien compris que les différents pouvoirs gouvernementaux ne cessent de diviser les gens pour avoir plus de contrôle sur nous tous. J’ajouterai même, qu’ils traquent l’intelligence humaine qui est supérieure à leur médiocrité. Si une nouvelle guerre mondiale devait éclater malgré la vigilance des citoyens et leur compréhension sur la façon dont les décisions sont prises en coulisse, c’est que l’humanité (celle qui aime s’autoproclamer comme étant au-dessus de tout) serait tombée bien bas !

Le changement que tout le monde attend n’est pas nécessairement en rapport avec une guerre totale, mais plutôt avec une crise économique mondiale et des conflits d’intérêts qui pourront se terminer dans la rue. J’entends souvent dire que le système financier s’écroulera bientôt ; à moins d’un ressaisissement et d’actions ciblées grâce à la mobilisation des foules, je ne vois pas trop. Il faut savoir que le système financier s’écroulera vraiment le jour où les gangsters du privé qui mènent la danse auront décidé qu’il s’écroulera. Il ne faut pas prendre les plus grands voleurs au monde pour des amateurs. Ils sont les rois du bricolage qui font dire ce qu’ils veulent aux comptes et aux statistiques. Le jour où la finance s’écroulera, ils auront pris leurs dispositions et cela fera partie d’un plan machiavélique, comme cela a été le cas pour les deux précédentes guerres mondiales.
Maintenant, vu les armes dont dispose désormais le genre humain, une guerre totale ne serait souhaitable pour personne. En 1871, Albert Pike ne pouvait pas prévoir que pendant et après la seconde guerre mondiale, plusieurs gouvernements auraient entretenu des contacts avec d’autres civilisations plus évoluées matériellement et que ces dernières auraient communiqué une partie de leurs armes. C’est du moins ce qui est écrit ici et là, mais ce sont des informations totalement invérifiables, même si elles m’évoquent à travers les Chroniques un goût de déjà vue, alors prudence…
Je pense que la 3e guerre mondiale concerne plutôt une guerre psychologique et alimentaire qui tourne autour du contrôle de la nourriture. A l’heure où je vous parle, l’empire agroalimentaire US fait pression sur Bruxelles pour rendre l’OGM obligatoire en Europe. L’objectif est à la fois de contrôler la nourriture mondialement (faire du bénéfice), mais aussi d’empoisonner les gens (réduire la population mondiale), car l’extension planétaire des cultures OGM ne dépend d’aucun contrôle sérieux sur les effets sur la nature et la santé humaine. Le reportage de Marie-Monique Robin : Le Monde selon Monsanto (Arte Vidéo, 2008) l’explique de façon implacable.

Anton & Nora Parks