Chers tous,
Cet article est la prolongation d’une première partie sur ce sujet (cliquer dessus pour y accéder) qui reste tout à fait valable.
Ce second volet a pour but de le renforcer et de le compléter. En effet mon chemin de vie a continué, s’est enrichi par l’expérience et c’est pourquoi je vous propose ces additions d’informations qui j’espère vous seront utiles.
D’abord je voudrais vous inviter à découvrir un chemin vers la santé du corps et de l’âme absolument remarquable qui est le cercle des amis de Bruno Groening. J’ai découvert avec enthousiasme cet enseignement en 2014, mais je n’ai réalisé que les cercles d’amis sont actuellement actifs sur la planète entière qu’en novembre 2017.
Les témoignages de réussite de guérison de dépressions y sont très nombreux et iront en grandissant. Si vous prenez à cœur l’enseignement et la fraternité, il est très improbable que vous ne connaissiez pas d’amélioration sur la durée, voire la disparition complète de la dépression. Nous précisons dans le cercle que la guérison ne peut pas être promise, mais des aides sont pour ainsi dire certaines.
Je tiens à préciser que la volonté de travail sur ses pensées et sur la volonté de bien à tous les niveaux fait partie intégrante de ce chemin.
Voici un article sur choix-réalité.
Et le lien vers le site où vous trouverez une redirection facebook et youtube.
***
Ensuite au fil de mon travail spirituel je me suis aperçu que l’antidote causal le plus efficace pour faire disparaître la dépression n’est pas l’amour pur, même s’il reste utile et nécessaire. Non, selon mon expérience, dès que me vient une vague de dépression, souvent en rapport à des courants d’égrégores, c’est la qualification d’être au paradis – dans un paradis ici même sur terre – qui se révèle le plus efficace et rapide pour dissoudre les forces dépressives.
Je vous recommande donc particulièrement ce travail sur votre état d’âme (appelé aussi qualification).
Il est probable qu’il vous sera très, voire extrêmement difficile de le produire de prime abord. C’est tout à fait normal, et comme pour toutes choses complexes à maîtriser, il faut du temps pour y parvenir. Ce sera donc avec de la patience et des efforts que vous pourrez arriver à contrôler cet outil anti-dépression extraordinairement efficace.
Je précise pour celles et ceux qui souhaitent magnifier leurs vies que cette qualification peut être aussi utilisée pour l’embellir, tout simplement.
Définitivement…
Je reconnais avoir été un peu gourmand pour l’adjonction de cet adjectif dans le titre, car « définitivement » est tellement vaste qu’il se perd en quelque sorte dans les infinis temporels. Mais qu’importe, je vais tenter de le tenir dans les limites de mes connaissances actuelles.
Ainsi pour vous débarrasser définitivement de la dépression, il ne faudra pas être capable de seulement maîtriser ses courants comme c’est globalement mon cas aujourd’hui, mais de la prévoir, et de modifier le cours des événements pour qu’elle ne puisse pas se réaliser en vous. Avec le plus grand respect, toutes les réalisations spirituelles n’assurent pas une stabilité certaine de bonheur, de bien-être et de félicité dans la vie et dans l’après-vie.
Pour ce sujet qui nous intéresse, nous cherchons donc lesquelles y parviennent.
Des hautes réalisations sont atteignables certainement avec du temps et une ferme volonté pour qu’elles se réalisent en nous. L’union au Divin et la réalisation de son Soi apparaissent être des étapes utiles et importantes pour ce dessein.
Le rapprochement à des êtres qui ont eux-mêmes ces niveaux de réalisations est aussi certainement un très bon conseil, ils seront mieux à même de nous indiquer la voie à suivre, l’ayant eux-mêmes parcourue.
L’on peut aussi imaginer une non-renaissance dans les dimensions où la dépression est possible.
Attirer cette finalité
Comme habituellement en spiritualité, il faut tout simplement avoir l’idée de demander.
C’est-à-dire faire une prière de tout son cœur et la renforcer par des qualifications adaptées comme :
– avoir la foi en sa réalisation certaine,
– exprimer sa gratitude anticipée,
– mettre tout son amour et sa volonté aimante.
Trouvez un moment à vous pour la faire le plus merveilleusement et puissamment possible. Et pour vous aider, en voici une en exemple, mais vous pourrez trouver les mots qui vous conviennent plus particulièrement :
« Ô matrice d’amour, que je puisse me débarrasser définitivement de la dépression, et que je puisse attirer à moi des êtres qui pourront m’aider à réaliser cet objectif. »
Puisse cela se réaliser pour vous si tel est votre souhait, et beaucoup d’autres choses merveilleuses.
Tout le bien et vœux de réussite.
Publié par Tomtom333 (Profil & Articles associés)
Salut, tom, je découvre cet apport a CR avec joie ( je n ai pas d autre qualificatif ), pas encore eut le temps de regarder ton article en entier ni le précédant, je le survol pour ainsi dire et je le visualiserai plus tard .
Ok je comprend a présent l allusion au cercle d amis de BG ( j abreve )
Bonne journée @ tous .
Merci pour cet article, Tomtom.
De mon point de vue, la dépression n’est pas une maladie, comme on a toujours voulu nous le faire croire. C’est juste une descente en vibration qui peut disparaître en quelques minutes si on se reconnecte et fait appel sincèrement à Dieu, à la Mère divine…, bref aux forces de lumière qui veillent sur nous et nous aident.
Et pour éviter de faire le yoyo, veiller à éviter tout ce qui nous fait plonger (d’où l’intérêt de la vigilance) : personnes toxiques, certaines émissions télé, sites internet, médisance, mental trop actif, idolatrie, espoirs, attentes en tout genre, mauvaise nourriture, rythme de vie irrégulier…
Se concentrer sur les tâches matérielles en essayant de les réaliser le plus parfaitement possible, avoir des projets, créer, même modestement, sont aussi d’excellents moyens de garder un moral positif. Il est important de rester enracinés sinon on part dans l’astral et le monde mental où l’on est ballotté et emporté dans les fantasmes et l’incertitude. Trop de désir de réalisation spirituelle en fait partie, c’est le piège.
Dieu sait mieux que personne par quelles étapes nous devons passer. La patience est de mise, et l’observation du processus est intéressante, voire bluffante. On découvre le cheminement, les priorités auxquelles on n’aurait jamais pensé. On découvre le processus de progression (enfin, quelques bribes). On comprend peu à peu pourquoi tel ou tel événement, telle ou telle épreuve… On prend conscience des enchaînements. On s’aperçoit que rien n’est gratuit.
La dépression est un manque de foi, un manque de confiance. Il faut avoir la certitude qu’on est suivi, aidé, aimé, épaulé à chaque instant ; qu’on n’est jamais seul, jamais abandonné. Plus on a une foi sincère, plus on est précieux. On se rapproche du Royaume divin. Et ça, Dieu aime beaucoup qu’on fasse l’effort de le rejoindre ! Les forces de Lumière ont tellement l’habitude de faire un pas vers nous sans écho en retour. Alors quand on répond !!! Surtout ne pas hésiter à demander de l’aide. Eviter quand même les futilités. Privilégier les prières pour demander à changer intérieurement. Elles sont TOUJOURS entendues et efficacement traitées.
Merci Marie-Christine pour ce commentaire que je trouve instructif.
J’aime particulièrement: »Privilégier les prières pour demander à changer intérieurement. Elles sont TOUJOURS entendues et efficacement traitées. »
j’ajoute un lien qui peut aussi aider:
psychologies.com
Oui je confirme le remerciement de Sérena M-C comme initialise ton prénom Elem, merci pour tes bonnes idées utiles et efficaces. ^_^
Juste ceci :
C’est vrai, mais pas seulement.
Serena par rapport à ton lien
Il y a plusieurs manières d’aborder une problématique pour tendre à la résoudre. La voie de l’accueil et de l’acceptation de ce qui est en est une qui fait ses preuves.
Ce n’est pas la mienne. Elle fait aussi ses preuves, donc c’est à vous qui me lisez à faire votre choix.
Ce que je propose dans cet article est une voie de maîtrise énergétique et causale qui est effectivement un véritable combat intérieur. Je peux témoigner que ce qui est écrit au-dessus, avec tout mon respect, n’est pas exact. Je n’ai jamais été anesthésié en faisant mes efforts de qualifications ; ni ai perdu les plaisirs de la vie.
Les résultats que j’obtiens sont excellents et m’amènent en douceur vers l’art de rester dans la joie et le bonheur. Petit à petit je me rapproche des êtres qui restent stables dans ces états quelque soit les situations extérieures.
Est-ce que je souhaite ne plus jamais ressentir de tristesse ? Pas vraiment, ça me plait de pleurer de temps en temps, d’être touché. Par contre j’aspire à pouvoir la maîtriser intérieurement : la faire durer le temps que je souhaite. C’est souhait comme un autre.
Tout le bien, et plein de bonheur pour ceux et celles qui le souhaitent.
Bonjour Tomtom,
et MERCI pour ton article qui suscite tant de commentaires.
Tant de personnes souffrent de la dépression aujourd’hui!
Il est heureux qu’il existe un espace comme celui-ci afin de pouvoir échanger.
Je ne sais si Veda est toujours admin du site (il y a longtemps que je ne suis pas venue), en tout cas merci à tous
Je ne peux pas prétendre définir la dépression, seulement donner mon point de vue et faire part de mon expérience. C’est un sujet vaste, je suppose. Il y a une infinité de causes et de remèdes possibles, dépendants de notre histoire particulière.
Merci Serena pour le lien. La psychologie peut aider, c’est sûr, et encore plus si c’est une psychologie spirituelle.
En ce qui concerne la tristesse, la douleur, je ne sais pas… J’ai juste envie de réagir comme un enfant de 3 ans : souffrir c’est pas agréable, j’aime pas souffrir, c’est pas normal.
Beaucoup d’encre a coulé pour nous expliquer comment se comporter face à la douleur. En gros, soit on la fuit en faisant semblant d’être heureux, en se persuadant qu’on est heureux ; soit on lui fait la guerre, on la combat, on essaie de l’anéantir ; soit on la regarde et on l’accepte telle qu’elle est parce qu’elle a le droit d’exister ; il y en a même qui conseillent de l’aimer et de la choyer.
Alors que faire ? Que choisir ?
Personnellement, quand une souffrance apparaît, je me demande immédiatement d’où elle vient, pourquoi elle est là. Je cherche la cause. Je ne l’accepte pas avec condescendance, je ne la chasse pas non plus, mais je cherche le moyen de la faire disparaître comme on corrige une faute d’orthographe. Trouver la cause, en se concentrant dessus, apporte bien des prises de conscience (avec l’aide de Dieu).
La douleur, c’est une joie pervertie, tout comme la haine est un amour tourné à l’envers. Il faut juste transformer, transfigurer, remettre les choses dans le bon sens.
Ou alors, peut-être la souffrance est-elle un voile qui fait écran entre notre être essentiel et notre vie. Dans ce cas, elle ne serait pas le contraire de la joie. La joie serait notre état naturel profond et la souffrance une sensation parasite…
Le difficile courage d’être soi
– D’ Eckhart Tolle
« La première chose à ne pas oublier est la suivante :
TANT ET AUSSI LONGTEMPS QUE VOUS VOUS CRÉEREZ UNE IDENTITÉ QUELCONQUE À PARTIR DE LA SOUFFRANCE, IL VOUS SERA IMPOSSIBLE DE VOUS EN LIBÉRER.
Tant et aussi longtemps que le sens de l’identité sera investi dans la souffrance émotionnelle, vous sabotez inconsciemment toute tentative faite dans le sens de guérir cette souffrance ou y résisterez d’une manière quelconque. Pourquoi ? Tout simplement parce que vous voulez rester intact et que la souffrance est fondamentalement devenue une partie de vous. Il s’agit là d’un processus inconscient, et la seule façon de le dépasser est de le rendre conscient.
Réaliser soudainement que vous êtes ou avez été attaché à votre souffrance peut-être la cause d’un grand choc. Mais dès l’instant où cette prise de conscience a lieu, l’attachement est rompu.
Un peu comme une entité, le corps de souffrance est un champ énergétique qui se loge temporairement à l’intérieur de vous. C’est de l’énergie vitale qui est prise au piège et ne circule plus.
Bien entendu, le corps de souffrance existe en raison de certaines choses qui se sont produites dans le passé. C’est le passé qui vit en vous, et si vous vous identifiez au corps de souffrance, vous vous identifiez par la même occasion au passé. L’identité de victime est fondée sur la croyance que le passé est plus puissant que le présent, ce qui est contraire à la vérité. Que les autres et ce qu’ils vous ont fait sont responsables de ce que vous êtes maintenant, de votre souffrance émotionnelle ou de votre incapacité à être vraiment vous-même.
La vérité, c’est que le seul pouvoir qui existe est celui propre à l’instant présent : c’est le pouvoir de votre propre présence à ce qui est. Une fois que vous savez cela, vous réalisez également que vous-même et personne d’autre êtes maintenant responsable de votre vie intérieure et que le passé ne peut pas l’emporter sur le pouvoir de l’instant présent.
L’inconscience le crée, la conscience le métamorphose. Saint Paul a exprimé ce principe universel de façon magnifique : « On peut tout dévoiler en l’exposant à la lumière, et tout ce qui est ainsi exposé devient lui-même lumière. » Tout comme vous ne pouvez vous battre contre l’obscurité, vous ne pouvez non plus vous battre contre le corps de souffrance. Essayer de le faire créerait un conflit intérieur et, par conséquent, davantage de souffrance. Il suffit de l’observer et cela suppose l’accepter comme une partie de ce qui est ce moment. »
Ah oui, j’adhère aux propos d’Eckart Tollé.
Superbe phrase…
Question de point de vue certainement, mais enfin :
Si générer une force positive qui tend à chasser l’obscurité c’est la battre. Je dirais que cette affirmation est fausse puisque je le vis. Mon expérience me prouve le contraire.
C’est d’expérience exact, par exemple dans le cercle des amis il est demandé de se libérer de sa maladie, de ne plus y penser pour pouvoir ouvrir la porte à la guérison et à l’énergie curatrice.
Pour ma part je pense que (presque) tout est possible, et je me garderais bien de faire des affirmations que je n’aurais pas vérifié dans l’absolu, c’est-à-dire dans l’infini de la Création. De même que je n’imposerai pas mon point de vue à une personne qui me lit en lui assurant qu’une pensée est certaine sans être sûr qu’elle a tout à gagner à en être convaincue.
Si tel est le cas, il me faudrait idéalement l’avoir vérifié par vision directe dans les lignes de destinées. Ceci rejoint la fluidité des conseils et les apparentes contradictions que certains saints ont dans leurs enseignements :
Chaque pensée (conseil) ne convient pas à chacun, car les situations de vie sont différentes.
***
Pour revenir à mon article et le préciser, il ne s’agit en aucun cas de se battre contre la souffrance directement, mais de la remplacer par le meilleur.
La subtilité des qualifications est élaborée, la voie du diamant Tibétaine les appelle « antidotes », et à chaque jour son meilleur cocktail spirituel en ce qui me concerne.
Si vous vous sentez appelé(e) par cette voie, ne croyez tout simplement pas les personnes qui affirment que l’on n’obtient rien par les efforts, le travail, la volonté spirituelle. C’est tout simplement faux, et elles prennent leurs vérités pour les vérités ou même LA vérité.
Croire que ce que l’on pense est LA vérité ?
Ce type d’attitude est très commun dans la société et le monde dans lequel je suis incarné actuellement.
Tout le bien et meilleur pour vous quelque soit votre choix de vie.
Croire que ce que l’on pense est LA vérité ?
Justement, les Êtres éveillés ne témoignent pas de ce qu’ils croient ou de ce qu’ils pensent mais de ce qu’ils expérimentent depuis la conscience de leur nature véritable.
Là est toute la différence, le savoir mental rejette la conscience alors que la connaissance embrasse l’acceptation.
Voici un extrait très parlant :
La vie n’est pas ce que fabrique notre esprit, avec ses doutes et ses certitudes. Elle n’est pas ce contenu mental qui entrave le souffle d’énergie. L’esprit nous fait vivre dans un état artificiel de tension, écartelé entre la mémoire de blessures et l’attente de bonheur. C’est lui qui crée cette division à l’intérieur de nous et qui la projette dans le monde à travers des pensées dualisantes. Son instrument, l’ego, fasciné par les expériences, recouvre tout de ses exigences. Il regarde chaque évènement avec toujours la même attitude : si la situation procure du plaisir, il se referme dessus avec l’espoir de la prolonger, si le fait qui se présente est douloureux, il le rejette aussitôt, le condamne puis renforce sa carapace. Or, chaque chose qui arrive est la vie qui s’offre à nous par la conscience. La puissance d’une intelligence sans limite est à l’œuvre au sein de l’évènement qui se présente. Celui-ci est l’expression de la force mystérieuse qui nous porte où elle veut, la manifestation extérieure de la réalité qui est en nous. L’esprit seul est incapable de voir le mouvement universel qui a créé cette circonstance en entrant en résonance avec ce qui est en nous. Il ne peut appréhender cet espace illimité et intemporel.
Lorsque nous consentons, sans entrave mentale, à ce qui apparaît en soi et autour de soi, nous reconnaissons l’intelligence intrinsèque de la vie et nous y relions en confiance.
Il est inutile de se battre pour obtenir quelque chose. Il suffit d’accepter cette vie intense qui coule en nous, de se fondre en sa réalité, de jouer totalement son jeu, sans toutefois nous égarer au sein de la diversité de ses manifestations.
Vivre intensément le quotidien, avec ses petites et grandes joies, avec ses petits et grands chagrins, c’est aussi ne pas résister au dépouillement que la vie nous invite à effectuer. C’est accepter la perte de nos proches, de nos biens, de notre travail, de notre réputation… la perte de tout, qui sera à la fin inévitable
sans se référer au passé qui conditionne notre vision ou au futur qui espère que des désirs se réalisent. La vie n’existe que dans le moment présent. Lorsque nous perdons le contact avec celui-ci, nous nous coupons de la vie.
Lire en entier ici : laconscience-espace.com
Ca, c’est le modèle de « l’être éveillé ». Si l’acceptation de tout ce qui est était si simple (« il suffit de…), tout le monde serait éveillé depuis longtemps. Il y a tout un processus pour y parvenir. Et ce processus peut demander de gros efforts, ne serait-ce que celui de vouloir vraiment cet état et de renoncer à toutes les tentations, tous les conditionnements, tous les désirs, toutes les peurs, etc…
Le mot « lutte » n’est pas à prendre dans son sens guerrier primitif. Il y a des luttes pacifiques, des luttes en conscience pour éliminer des éléments indésirables qui freinent l’évolution spirituelle intérieure. C’est ce que font les Forces de la Lumière en action.
Par ailleurs, je ne comprends pas bien pourquoi on considère l’esprit comme négatif. Il s’agit peut-être d’une traduction de l’anglais où le mot « esprit » n’a pas le même sens. Il pourrait s’agir du mental.
Une autre tonalité …
Message de Sanat Kumara reçu par Agnès Bos-Masseron le 26-2-16
Le devoir n’est que croyance figée.
Retrouver cette liberté d’être la plénitude et d’imprimer dans toutes les avenues de son incarnation que seule est la plénitude.
Vous demandez la raison du devoir, et celle qui nous sert de porte-parole l’a dit, il n’y en a aucune. Le devoir n’est qu’une croyance forgée par le mental, l’ego, les émotions, une croyance forgée par cet archétype de l’humain qui n’a rien à voir avec l’être humain. Il est un archétype qui se croit robot ou esclave de quelque devoir, de quelque histoire, de quelque limite, de quelque poids. Il est l’être humain dans son innocente splendeur qui est l’incarnation de la pleine liberté d’être la plénitude.
Cet être est mû par un sens profond de son unicité. Le sens profond de son unicité lui donne une direction d’action, d’incarnation, une fonction peut-être, dans la légèreté de la plénitude et en harmonie parfaite avec la totalité de la vie, la totalité de son plan d’incarnation. La fonction, l’invitation, l’unicité ne sont que le déploiement naturel du plein et du joyeux.
Le devoir n’est que croyance figée. L’archétype s’est cristallisé et s’est forgé. Avec l’archétype, les croyances se sont durcies et transmises comme un faux savoir. L’héritage de l’humanité ne s’inscrit pas dans la ligne du devoir, mais de la joyeuse liberté.
Nous vous avons donné les clefs, et nous vous rappelons l’invitation. Dans chaque moment de maintenant, avec la pleine vigilance et la pleine joie d’êtres qui se savent l’infinie liberté, apprenez à discerner. Vos actes sont-ils des actes d’individus libres mus par leur motivation profonde et intérieure ? Ou sont-ils des empreintes d’un collectif, d’un archétype de croyances stériles ?
L’on croit se démarquer de ce système de croyance. Jusqu’où amenez-vous ce fait de se démarquer ? Avec quelle passion, avec quel enthousiasme, avec quelle joie profonde recréez-vous le vrai visage de l’être humain ?
C’est bien là ce nouveau paradigme, n’est-ce pas ? Passer d’un archétype stérile, enfermé par un système de croyances qui se sont solidifiées par toute une série d’actes, toute une série de systèmes de pensées et de paroles qui ont l’air insignifiants et qui pourtant rythment les journées du martellement de ces croyances, et apprendre à vivre libre et à exprimer en conscience dans chaque mouvement, dans chaque parole, dans chaque pensée, dans chaque intention, la pleine joie de la vie, et traduire cette pleine joie par la plénitude de l’expression de son unicité dans tous les domaines.
Nous vous avons redonné les modes de l’incarnation. Nous vous avons donné ce qu’est la ligne conductrice dans les civilisations d’harmonie. A vous d’apprendre à ne négliger aucun aspect de cette ligne conductrice. Car pour que l’être humain se déploie pleinement, chaque aspect doit se déployer également. L’harmonie est l’équilibre. Si son action ou son attention n’est portée que sur un domaine de déploiement, négligeant les autres domaines, l’harmonie n’est pas respectée. C’est pour cela que dans la ligne conductrice de chaque journée dans les civilisations d’harmonie, chaque aspect est déployé. Ne négligez aucun de ces aspects.
N’oubliez-pas, la plénitude est la base. La plénitude est cette évidence qui transparaît, rayonne et resplendit lorsque tous les voiles des fausses chimères sont écartés. La joyeuse vigilance, la joyeuse exigence est d’écarter tous les voiles. Ne s’identifier qu’à la réalité de la splendeur de l’être humain à tous les niveaux, que ce soit au niveau de la structure corporelle, au niveau de celle mentale, celle des sentiments et même celle de cet ego qui peut être la pleine transparence du sens vibrant de Je. Je, l’unicité de l’Être, transparence de l’ego.
Laisser tomber les carapaces et les œillères. Elles tombent naturellement lorsque toute l’attention est offerte au plein du plein. Elles tombent naturellement lorsque l’attention est tout offerte à cette joyeuse exigence de l’autodépassement. Ne jamais s’arrêter. Ne pas tergiverser. Ne jamais choisir la voie du tiède. La voie du tiède n’appartient pas à l’incarnation.
Nous vous remercions et nous vous saluons.
La dépression n’est qu’un constat pour révéler et dévoiler qu’il y a urgence. Urgence de sortir de cet enfermement, de cette prison du mental. Celui qui en est atteint de dépression réalise que son monde n’a plus aucune couleur, plus aucune odeur, que tout devient monotone. Quelle que soit la raison de cette dépression, il y a urgence pour celui qui le vit, sortir des sentiers battus, changer de vie, ne plus chercher à plaire mais chercher ce qui apporte la joie, la paix, la liberté d’être, ne plus être dans les attentes de qui que ce soit. Seul l’amour véritable permet de sortir de la dépression. Changer de monde, changer d’emploi, changer de lieu, changer les croyances, les pensées, les relations destructrices. Se libérer de la dépression, c’est se libérer du mental de tout enfermement, vivre un amour libre de tout jugement, accepter et accueillir la vie comme elle se présente sans vouloir la changer, changer son regard pour être en paix, en joie. La dépression est synonyme de mal-être, mal avec la vie, c’est lorsque celle-ci n’a plus aucune couleur et odeur que l’être dépérit car il n’a pas appris à s’aimer et à aimer tout d’un même amour, il est dans l’attente de l’être. L’amour est le remède de toute mal a dit (maladie).
Je dirai plutôt que c’est la Révélation de « l’Être éveillé »
On constate tout de même qu’il y a de plus en plus de témoignages d’éveil à la conscience de notre véritable nature.
Pas toujours, cela dépend des circonstances. Dans le cas de Nicole M c’est arrivé suite à une E.M.I lechoixdeslibraires.com
Son témoignage d’éveil a déjà été publié ici : www.choix-realite.org
Pas dans le cas de Nicole Montineri qui habite le sud de la France.
Je ne sais pas ce que signifie « éveil ». Qu’est-ce qu’un être éveillé ? On dirait qu’il y a mille et une descriptions. C’est pas clair.
Par ailleurs, un éveil de conscience semble avoir une infinité de paliers.
Bref, si on passe son temps à aduler tous les gens qui prétendent être éveillés et à vouloir les imiter, on dévie de sa propre évolution.
Leur expérience est intéressante, parfois surprenante, et c’est bien d’en avoir connaissance. Mais il me paraît plus sage de les considérer comme des expériences appartenant à chaque être en question, très différentes les unes des autres. A mon avis, il vaut mieux se concentrer sur ses propres mouvements intérieurs, au risque de passer à côté.
Justement, les mouvements intérieurs tendent vers l’éveil que l’on en soit conscient ou pas. Quand le rêve éphémère devient trop pénible (comme pour la dépression pour rester dans le sujet)on souhaite se réveiller et c’est très difficile en effet (je parle aussi en connaissance de cause) et ce serait aussi dommage de passer à côté des « clés » offertes du côté des témoignages d’éveil !
La question aurait pu se poser dans cette traduction de ce que nous dit Enki (Attention « esprits sensibles s’abstenir » ! )
youtube.com
Je pense qu’elle s’est amusée à jouer « l’incorporation » de la conscience avec brio ! « ça » fait peur et « ça » fait rire en même temps.
Oui, en français, nous avons 3 mots qui désignent 3 choses distinctes: le mental, l’âme et l’esprit. Les Anglais n’en ont que 2 : the mind et the soul. Alors, on traduit souvent mind (mental) par esprit, ce qui fausse le sens. Ils ont le mot « spirit » mais ils ne peuvent pas l’utiliser pour « esprit » car ça veut dire « fantôme ».
Je ne dirai rien sur la fille car je ne la connais pas, mais elle m’a l’air un peu perchée… Elle me rappelle Marine le Pen lors du débat des dernières présidentielles. Il paraît qu’on l’avait droguée avant.
Voici le bon lien Enki : youtube.com
Probablement car ce qui ce rapproche le plus de l esprit dans un atome est l electron qui porte une charge negative ( corps ame esprit / proton/neutron/elctron ) .
Globalement ceci n est que la « triade » visible de l univers manifesté, si ajoute l energie de cohesion des particules et ce qui compose les particules .
Dans le microcosme l atome est l image de macrocosme, le cosmos, l être humain serait une galaxie et l humanité l univers ( c est ici encore un microcosme ) c est une image bien sur .
Pour le lien donné plus haut, oui la vacuite est ce qui nous permet de nous rapprocher le plus de l intelligence de dieu .
Dans la densité ( l incarnation ) la vacuite n est accessible que par la grâce ou la pratique, la pratique produit un effet différent mais la perception est la mm .
Bonne soirée .
Rien n’est totalement négatif , même certaines substances considérées comme toxiques peuvent avoir des effets bénéfiques selon les doses .
Quand à l’esprit , de son étymologie latine » spiritus » c’est à dire souffle n’est pas à confondre avec le mental qui lui n’est pas inspiré par le souffle divin, mais par les multiples conditionnements qui l’ont programmé, le mental est parfait pour conceptualiser des machines mais certainement pas pour inspirer la vie humaine dans son incarnation .Le souffle est l’expression, le flot de l’énergie divine, cosmique.
Le mental peut mentir , pas ce qui provient de la vacuité du latin » vacuitas » c’est dire vide ,le « vide » est le champ quantique d’ in-formation
d’où , à chaque instant , le cycle création-maintient-dissolution se répète indéfiniment avec une telle fréquence que l’univers nous parait apparemment bien » matériel » . L’être humain peut y puiser toutes les informations qu’il désire à conditions bien sûr d’être « branché » , ce qui se produit plus facilement la nuit quand le mental est en veilleuse et qui fait au réveil du matin dire au génie : eurêka !
Oui Jacou (Jacque Salé ?), joli message sur ces sujets. Merci Elem pour ton message du début, il m’a fait très plaisir.
Je voudrais recadrer très poliment sur le sujet de cet article. Gentillement mais fermement aussi.
Vous n’avez pas l’air de vous rendre compte qu’il est très probable que des personnes vraiment en très grandes difficultés et fragilités puissent lire ces messages. Quand l’on est dans une véritable dépression installée, le monde est terrible et l’esprit totalement imprégné dans des énergies parmi les pires de la création. Là on ne rigole plus, c’est terminé les hochets .
Je n’ai jamais vécu dans cette vie une telle période, mais étant donné que j’ai ressenti que j’étais au bord d’un gouffre, et qu’à la moindre pensée négative ça pouvait être une descente aux enfers abominable pour moi. Je peux vous dire que je me tenais bien droit dans ma tête :
» Le monde est merveilleux. Tout le monde est bon. Les fleurs sont magnifiques. »
Je savais que si je me laissais aller à la négativité s’en serait terminé de moi. J’ai eu l’envie aussi dans cette vie de me suicider pour des événements que je garde pour moi, mais qui m’ont démolis psychiquement durant un temps. Et si je vous dis cela à vous qui me lisez et qui êtes en dépression et qui avez envie – peut être – de passer à l’acte, je voudrais vous mettre en garde devant ce que j’ai appris et qui apparaît comme fréquent.
Le suicide ne vous amènera pas (forcément) à la lumière et la remise à zéro des compteurs, loin de là. Voici ce que l’on apprend sur des cas loin d’être exceptionnels : après le passage à l’acte il peut y avoir divers effets très négatifs comme la boucle d’expérimentation du suicide sur laquelle je ne m’étendrai pas. Mais surtout il est possible que vous rentriez dans votre monde dans un espace indéfini. Dans les limbes comme il est dit.
Et là, ce sera bien pire que ce monde dans lequel vous vivez parce que ce monde-ci est une projection divine complexe, magistrale et solide. Le votre, possiblement donc, ne sera plus que la résultante de la création de tout ce que vous êtes, avec votre inconscient spirituel immense, qui générera un monde basé sur… la dépression et votre imagination. Et là, il faudrait de longs silences pour décrire l’horreur que cela peut être pour certain(e)s.
Si j’écris cela, c’est pour vous donnez envie de ne pas le faire, et de vous dire que même si vous êtes très très très… bas, vous pouvez remonter. Si vous êtes dans cet état, je complète mon article par ces petits conseils :
D’abord surveillez bien vos pensées pour essayer de ne produire que du positif, plus question de se laisser aller à de la négativité. Ensuite essayer autant que faire se peut à reprendre contact avec les petits plaisirs de la vie, se mettre de petits objectifs simples qui vous amèneront à une reprise progressive dans la confiance en la beauté de monde et de vous même. Parce que vous êtes magnifique mais vous ne le savez tout simplement pas. Y aller pas à pas, et avoir confiance qu’après la nuit, vient le jour.
Pour vous aider à ne pas passer à l’acte et à reprendre confiance en la vie, voici un livre que je n’ai pas lu car je me le réservais au cas où :
Sur rakuten (ex priceminister), mais vous le trouverez presque partout :
La rupture de contrat d’Anne Givaudan
fr.shopping.rakuten.com
par 13camille13 (Voir ses avis) le 11/10/2012
Un grand message d’espoir, et un baume pour le coeur pour tout ceux qui de près ou de loin ont été confrontés aux souffrances indicibles qu’est le désespoir et le suicide. Ce livre nous fait comprendre que nous n’avons pas le droit d’arrêter notre parcours,une mission nous est donné à notre naissance et nous l’avons choisi et devons l’accomplir jusqu’à la fin. Un message d’espoir pour tous ceux qui dans leur vie se sont perdus. Les témoignages des êtres que rencontre Anne Givaudan sont saisissants , douloureux mais réconfortant quand on en saisi tout le sens.
On ne peut échapper à son histoire, la vie attend de nous de belles et grandes chose et c’est à chacun de le découvrir et peu importe le rôle que nous avons à y jouer.
Et c’est un leurre de croire que tout s’arrête parce que le corps n’est plus et lors d’un suicide les suicidés entrainent avec eux tous ceux qui leur sont liés sur terre de prés ou de loin dans une sorte de perdition.
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4 Quelle trouvaille !
par Mambolise (Voir ses avis) le 14/02/2010
Facile à lire, une fois qu’on l’a commencé, on veut le finir d’un trait ! J’ai appris beaucoup sur les départs liés au suicide grâce aux nombreux témoignages de ce livre. Un réel plaisir et une découverte dont je me souviendrai longtemps…
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5 a lire absolument
par tiflon (Voir ses avis) le 02/07/2010
important pour toutes personnes qui sont ont vécu la disparition de qq’un par un suicide, ou qui ont des idées de suicide , à faire lire aux ados absolument… étonnant !!! vraiment invraisemblable, je peux vous dire qu’après on se dit que se doit de rester ici sur terre jusqu’à ce que notre contrat se termine.
Surprenant
par Amandine (Voir ses avis) le 28/07/2018
Très intéressé par ce genre de livre, j’avais entendu parler de cette auteure et ai décidé d’acheter le livre. Comme tout médium chaneeling elle explique ce que les âmes lui font ressentir , je n’ai pas autant accroché qu’avec d’autres auteurs de ce genre mais son livre demeure différent car intéressant de par son approche et sa description de ses rencontres avec ces âmes de « suicidés » ayant décidé de mettre fin à leurs jours, leurs histoires sont relatés avec une délicatesse et nous ouvre l’esprit sur la question de l’après vie .
J’avais un mot à dire à » A méditer » au sujet d’Enki dont il ou elle aurait pu s’abstenir de placer là. C’est tout à fait déplacé. Très respectueusement je ne suis pas convaincu par cette personne qui a réalisé la vacuité et le « bonheur » de n’être plus rien et relié au tout. Mais je vous assure que je n’investirai pas un centime spirituel sur ce colosse aux pieds d’argile. Je lui souhaite le meilleur ; elle pense avoir tout compris, mais pour faire court, cela me confirme que les choses bien que reliées sont indépendantes les unes des autres.
Elle a réalisé l’éveil à la/sa vacuité. C’est tout.
Merci de ne placer que des messages en relation avec cet article pour ne pas en perdre le fil, merci à tous et toutes et tout spécialement à » A méditer « .
Merci Juste pour ton message.
Beaucoup d’amour à toutes et tous, vraiment à toutes et tous, y compris Enki évidemment.
Nous avons tous nos propres défis en ce monde, l’aide peut venir de tous les côtés, qu’importe la provenance, nous recevons tous la lumière appropriée. Sommes-nous responsables des choix de notre prochain ? En fait, nous partageons notre propre vécu et expérience, si cela apporte une aide quelconque, c’est bien, sinon cela se fait par la façon la mieux appropriée pour chacun, chaque forme de vie. Certains mettront fin à leurs existences, de façon brutale où à petit feu, en prenant des substances qui ne font que dégrader la forme qui endosse la vie. Quoi qu’il en soit, dépression ou pas, chacun fait face à sa propre réalité puisque nous en sommes le créateur. Qu’importent les croyances, les concepts, les religions ou tout autres apprentissages et enseignements, tout a sa raison d’être et nous sert dans un seul but, se découvrir à travers toutes ces expériences ce que nous sommes de toute éternité. Ce qui est de l’amour, chacun l’expérimente à la mesure de son niveau de connaissance. En fait, il n’y a rien à juger, ni à condamner, tout n’est apprentissage et expérience afin de découvrir notre essence éternelle, le tout en un.
@ Tomtom333
Oui, Jacou et Jacques Salé sont les deux faces d’une même pièce ( de théatre ? )
Pour les personnes en dépression il est vital de se faire accompagner car seul l’on ne peut s’en sortir , et même un psy n’est pas suffisant , un e clairvoyante des corps subtils est bien utile car les causes de la dépression sont multiples et additionnelles : les mémoires personnelles , des proches et autres , les entités diverses et avariées qui peuvent se loger dans les différents aspects des corps énergétique/émotionnel/mental.La grande difficulté est de trouver un e thérapeute intégralement clean qui ne va pas lors des séances faire un transfert de ses propres voiles .
J’ai lu le livre d’Anne Gévaudan et la plupart seuls ou co-écrits avec Daniel Meurois
Pour celles et ceux qui aimeraient avoir une idée imagée de ce qui se passe pour une personne ayant vécu dans la dépression et sa projection post mortem dans l’astral je recommande vivement : « Au delà des rêves » avec Robin Williams.
Merci Juste pour ton message.
Beaucoup d’amour à toutes et tous, vraiment à toutes et tous, y compris Enki évidemment.
Une remarque par ci en appelle une autre par là, une cause un effet, c’est le mouvement de la vie qui orchestre toute « la pièce » où chaque UN joue son personnage. Même Enki y trouve sa place dans un rôle surjoué servant « d’électrochoc » parfois nécessaire pour revenir à la Vie, la vraie, celle qui contient le rêve éphémère mais qui n’est pas que cela.
Pour revenir au sujet voici une traduction de cette page :
thecreativemind.net
Sharon (membre de l’auditoire): J’ai des relations étroites avec des personnes souffrant de dépression.
Et en discutant avec eux, je trouve qu’ils ont une intériorité et une identité fortes en tant que personnes souffrant de dépression.
Eckhart Tolle : Qu’il s’agisse d’une condition physique dont on souffre ou d’une condition psychologique, il y a une tendance à s’identifier à elle.
Oprah : [Les gens pensent] « Et je suis déprimé parce que je m’identifie à toute mon histoire. »
Eckhart Tolle : Oui. Si vous êtes très fortement identifié avec mon histoire triste qui, pour beaucoup de gens, oui, l’histoire est triste. J’ai eu une histoire triste pendant de nombreuses années jusqu’à ce que je la lâche… J’étais déprimée… jusqu’au soir où je me suis réveillé et j’ai réalisé que ce moi malheureux n’est pas ce que je suis.
Suite de l’article Eckhart Tolle On Depression .
Tomtom, à moins de n’aimer personne dans cette vie et de ne se sentir aimé de personne, il y a un moyen d’échapper au suicide, c’est de penser à la souffrance que nos proches vont endurer si on passe à l’acte.
Ca m’est arrivé un jour. Seule, allongée sur mon lit, le tube de somnifères à mon côté, un dilemme est apparu. On aurait dit le dialogue de Jésus avec le démon !
A l’époque, je prétendais être incroyante, donc après la mort : le néant.
Et le dialogue intérieur commence :
– Si tu meurs, tu seras soulagée, libérée. Plus de souffrance.
– Oui mais ma famille, ma mère, ma sœur vont être très tristes.
-Tu t’en fiches puisque tu ne les verras pas, tu seras dans le néant.
– Oui, c’est vrai ! Je ne souffrirai pas de voir leur tristesse.
– Exact !
– Oui mais quand même, je sais qu’elles souffriront. Je peux les voir souffrir à l’avance.
– Mais dans la mort, tu ne sentiras rien.
– Ah Oui, je m’en fiche, finalement.
– Mais, etc…
– Etc…
-Quand même, je ne peux pas leur faire ça parce que je sais qu’elles souffriront.
Ca a duré environ une demi-heure puis j’ai décidé de ne pas le faire.
Merci pour vos réponses à tous,
Oui M-C, effectivement cultiver l’amour des proches est important, c’est tout un art ça aussi…
Nous sommes heureux que tu ne sois pas passée à l’acte M-C (ça va pour M-C, ce n’est pas trop laconique ?), nous n’aurions pas la chance de t’avoir maintenant. Chacun est important.
Pour les personnes comme toi à cette époque qui pensent qu’après il y a le néant, à ce que j’ai lu, eh bien ils se trouvent effectivement dans une sorte de néant pour beaucoup. Il n’y a rien. Sans doute restent-ils dans une sorte de stupeur… Parce que s’ils pensaient :
» oui bien, il n’y a rien, mais c’est tout de même étrange que je puisse penser. Si je peux penser c’est bien que je suis quelque part… » Je ne sais pas si certains l’on fait. Je me pose la question.
Neem Karoli Baba disait : » si au moment de votre mort vous pensez à une mangue, vous vous réincarnerez en insecte » Je pense que cela est certainement vrai pour quelques uns. Oui le moment du départ de la vie est un tournant qu’il faut préparer longtemps à l’avance je pense. C’est ce que je fais en tous les cas.
La prolongation des personnes mourantes n’est pas adaptée à la situation : ça ne sert à rien, voire ça dessert carrément. Mieux vaut de beaucoup un accompagnement aimant n’est-ce pas ?
Ah oui merci Jacou pour les idées d’accompagnements, je n’y avais même pas pensé ! Bien sûr qu’il faut se faire soutenir et aider.
Pour ma part je préfère les aides énergétiques et vibratoires aux paroles, simplement c’est plus efficace sur moi. Le mieux idéalement est un maître bien sûr qui chasserait la dépression, comme Bruno.
A méditer, oui c’est une bonne voie que celle-ci. Simplement le miracle du réveil où tout à changer comme par magie (que s’est-il passé au niveau subtil durant cette nuit là ?!) est incertain et difficilement prévisible. Peut-on savoir combien de temps il faut méditer sur la vacuité, notre non-identification pour que cela arrive ? Peut être que l’on peut attendre longtemps, et que finalement cela n’arrive qu’à la fin pour certains , au grand départ.
C’est pour cette raison que je préfère mes voies de qualifications qui montent doucement, mais surement.
Cette présentation du livre de Nicole répondra certainement mieux que moi à tes questionnements :
Ce livre est le témoignage d’une rencontre avec la mort. L’auteur a pu voir – lors d’une grave maladie – dans une acceptation totale qui évacuait toute peur, ce qu’enseignent tous les sages : derrière les apparences de l’univers, se trouve la réalité d’une Conscience unique.
Nicole Montineri nous parle d’un vécu profond, bien réel, où la conscience change de nature. Ici, pas de visions d’anges ni de cités célestes ; pas de projections, ni d’images. La lumière était le rayonnement de sa conscience. Dans un abandon total de soi, l’auteur vivait un présent hors du temps où «la pure conscience (qui est pure énergie, vacuité créatrice) restait seule, rayonnante».
Demeurer dans cette ouverture, c’est rejoindre l’essence de notre être où n’existe aucune dualité, aucune séparation, mais liberté et amour. Seule cette réalisation de l’unité essentielle nous permet de sortir de notre monde limité et chaotique. Enfermés dans les préoccupations vaines du moi, l’esprit sans cesse affairé, nous ne savons pas regarder la vie en profondeur.
Or, la mort peut surgir à tout moment. Mal préparés, nous vivons alors avec beaucoup d’angoisse l’instant de notre disparition. Cependant, la mort peut être l’expérience intérieure la plus profonde qu’il nous soit donné de connaître, si nous nous sommes préparés à ce retour à la source. Cette préparation nécessite une pratique. Il s’agit, au fil de notre existence, de nous éveiller à ce que nous sommes, d’avoir une conscience claire de nos comportements, de chacune de nos pensées, de renoncer à nos illusions. Il nous faut -d’une certaine façon – nous quitter, cesser d’accumuler (tout en vivant pleinement ce que nous propose l’existence), nous dépouiller. L’auteur décrit ainsi un parcours tout en précisant que cette quête nécessaire sera un jour abandonnée, car la vérité ne peut surgir de la volonté mais du seul lâcher prise où le chercheur s’efface peu à peu.
Comprendre ce qu’est véritablement la mort, c’est comprendre le sens de la vie.
Pour Nicole Montineri, tout est vu désormais «comme se mouvant au sein de la globalité de la vie, par la seule conscience de l’unité derrière les formes…dans une joie constante sans objet».
lechoixdeslibraires.com
Pas de problème pour MC, Tom, c’est plus court à écrire, lol.
Moi aussi je m’intéresse à la « transition » mais je ne penserai pas à une mangue, le moment venu. Je sais déjà à qui je penserai et où je voudrai aller. Seulement, on ne connaît pas le chemin pour y parvenir, mais j’ai confiance.
Et ayant évolué spirituellement, je me remonte aussi par des moyens vibratoires et énergétiques.
Jacou, très juste, le texte sur le devoir. C’est une chose qui peut empoisonner la vie pendant de longues années. C’est un carcan, une prison qu’on s’inflige à soi-même à cause d’une éducation qu’on n’a pas remise en question. Ca prend du temps de se débarrasser des conditionnements religieux, familiaux, scolaires, sociaux… Le subconscient en est imprégné. Il faut détricoter tout ça, jour après jour.
Et attention aux leurres ! Je connais des personnes devenues anti-cléricales qui se disent libres de l’influence religieuse, mais elles ne sont pas libres ! Il faut beaucoup plus pour se libérer vraiment. Pareil pour les personnes qui se coupent de leur famille, par exemple, et restent en froid. Ca n’en fait pas une libération. Le mental a beaucoup de manières de se tromper lui-même. Chaque fois que l’on fuit un désagrément inscrit en nous, et qu’on l’enfonce encore plus pour ne plus le voir, on fuit une souffrance et on perpétue un esclavage sans le savoir.
Marie-christine dit :
« Le mental a beaucoup de manières de se tromper lui-même. Chaque fois que l’on fuit un désagrément inscrit en nous, et qu’on l’enfonce encore plus pour ne plus le voir, on fuit une souffrance et on perpétue un esclavage sans le savoir. »
– Oui, le mental est très retors , le triptyque ego/mental/émotionnel d’identification à la personne qui pense n’être que cela est difficile à transformer avec ce qui est responsable de son identification . Il est nécessaire de traverser les trois couches agitées et de rencontrer la zone beaucoup plus calme et silencieuse de sa propre essence expression directe de la Source d’où tout jaillit . Le fait de s’y baigner régulièrement apporte sérénité , joie et attention, sinon amour pour son proche un .
Tout à fait d’accord avec toi, Jacou.
Juste un mot pour confirmer que cet article me parait adapté et juste avec le recul de presque deux années maintenant.
Je peux écrire que dès que j’ai un problème d’énergies dépressives, je qualifie le merveilleux et le paradis, et celles ci disparaissent. Et quant au cercle des amis, il aide pour la dépression par exemple, mais pas que.
C’est vraiment formidable d’être bien outillé pour voguer sur l’océan de la vie.
Voici le lien pour en savoir plus sur les superqualifications :
Qualification et superqualification 2.0
www.choix-realite.org