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Corps plus mort qu’un désert et plus nu…
Les pistes que je suis sur ton visage ont d’étranges méandres..
La trace y brûle encore d’un meurtrier inconnu…
Mais moi je sais….
Et je fuis le culte affreux que ta piété ose encore me vouer…
Je t’en prie :
Epargne-moi ton œil, trouble océan, qui ronge mon âme…
Mon enfant, mon enfant…
Ne me regarde pas !
Mais bon Dieu, jetez-moi un drap sur la tête !
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Nous pensions qu’après l’histoire du sang contaminé, de tchernobyl et j’en passe de sordides faits dans lesquels l’homme aime à se fourvoyer, nous aurions aujourd’hui, la volonté de ne pas refaire les erreurs du passé.
Non seulement, il n’en est rien mais en plus, cela se fait maintenant avec notre assentiment.
Il a du mal à passer l’article.
C’est à se demander pourquoi ?
En un mot « CONFORT »
Merci pour c’est quelque mot
Voici les symptômes de cette terrible maladie :
1 – Tendance à se laisser guider par son intuition personnelle plutôt que d’agir sous la pression des peurs, idées reçues et conditionnements du passé.
2 – Manque total d’intérêt pour juger les autres, se juger soi-même et s’intéresser à tout ce qui engendre des conflits.
3 – Perte complète de la capacité à se faire du souci (ceci représente l’un des symptômes les plus graves)
4 – Plaisir constant à apprécier les choses et les êtres tels qu’ils sont, ce qui entraîne la disparition de l’habitude de vouloir changer les autres.
5 – Désir intense de se transformer soi-même pour gérer positivement ses pensées, ses émotions, son corps physique, sa vie matérielle et son environnement afin de développer sans cesse ses potentiels de santé, de créativité et d’amour.
6 – Attaques répétées de sourire, ce sourire qui dit « merci » et donne un sentiment d’unité et d’harmonie avec tout ce qui vit.
7 – Ouverture sans cesse croissante à l’esprit d’enfance, à la simplicité, au rire et à la gaieté.
8 – Moments de plus en plus fréquents de communication consciente avec son Ame, Non-duelle Ëtre, ce qui donne un sentiment très agréable de plénitude et de bonheur.
9 – Plaisir de se comporter en guérisseur qui apporte joie et lumière plutôt qu’en critique ou en indifférent
10 – Capacité à vivre seul, en couple, en famille et en société dans la fluidité et l’égalité, sans jouer ni les victimes, ni les bourreaux, ni les sauveurs.
11 – Sentiment de se sentir responsable et heureux d’offrir au monde ses rêves d’un futur abondant, harmonieux et pacifique.
12 – Acceptation totale de sa présence sur terre et volonté de choisir à chaque instant, le beau, le bon, le vrai et le vivant.
Ah! merci Verbre pour ce texte que je connaissais, mais ne savais plus où le trouver.
@ Dsya:
Je comprends, ô combien tout ce que tu écris, et les erreurs multiples que l’humanité fait perdurer…
Ceci dit, je suis persuadée que tout cela a un sens, et que nous avons toujours le choix de notre regard.
Comment soigner de cette épidémie de bourgeois occidentale, une panoplie d’imbéciles qui le ventre bien rempli, rote et pète de telles absurdités :
Leur donner la place d’un Japonais …
Je rajouterai donc un 13ème point à cette liste bobo :
– Capacité à échanger sa place avec des personnes vivants dans la grande misère !
Je voudrais spécifier que lorsque je me plonge dans le nucléaire et les effets néfastes de ce mode de production d’énergie, cela me noue les trips.
Je me force à travailler tous les effets que des castastrophes telles que les contaminations provoquent sur l’homme.
Aujourd »hui, nous sommes tous contaminés à diverses degrés.
Que cela soit clair dans vos esprits.
Alors certains pourront toujours sourire niaisement devant le troisième oeil de son interlocuteur, rire devant le cul de jatte, partager ses rêves d’un monde meilleur avec les contaminés…
j’ose espérer que jamais je ne finirais avec un drap sur la tête pour ne pas voir…Ce qui est juste devant moi…
Et si je me sens complètement démuni et incapable de faire quoique cela soit pour changer quelque chose à tous nos délires croissants, je tente un tant soi peu de garder l’estime de moi et de l’humaine condition que je transporte en dénonçant ce que j’estime de dissimuler… :
Les cons
Jouer ?
Parce que l’enfant mutant joue les innocents dans les bras de son père qui joue à la victime devant ceux qui jouent les bourreaux en laissant faire de telle chose…
Faut vraiment cesser de faire l’autruche…en avançant le principe « quand tu reçois une baffe, tend l’autre joue »…
Faut-il être aussi être capable de tendre l’autre joue …
Ah! merci Verbre pour ce texte que je connaissais, mais ne savais plus où le trouver
Karen et les autres points…
Que penses-tu de l’impact d’un tel texte comprit par quelqu’un qui souffre de faim, ou de maladie, ou de violences ???
Cela ne vous dérange pas de manquer ainsi de respect…
Mais oui! bien sûr Ds ya…
Tu sais, j’ai eu un maître il y a longtemps qui nous disait : « mes amis, votre retour est protégé, mais ne brûlez pas pour autant les feux rouges … »
Il disait aussi : « priez pour ceux qui ont faim, c’est bien, mais leur donner à manger, c’est mieux. »
Bonjour Karen,
! Rien ne sera plus jamais comme avant…
Saviez-vous que le Maître dont vous parlez est de retour
Dominus Vobiscum
Suria
Ecoutes Ds Ya, fais ta valise et engages-toi dans une ong pour soigner le monde, puisque tu ne supportes pas le fait que des êtres puissent souffrir !
Ici, tu crois qu’on a besoin de ton regard si révolté ?
Tu ne crois pas que chacun fait ce qu’il a a faire là où il vit ?
Manquer de respect ?
Alors maintenant l’amour est un manque de respect ?
Donc, puisqu’une partie du monde souffre, nous devons tous souffrir, et être contrit ?
Tu me gonfles.
Tu montes au créneau pour des « maquerelles de l’ascension », tu es identique dans la volonté d’imposer ta vision morbide et désespérée.
Tu affirmes que tout le monde est cons, sauf toi.
Tu es exactement comme ce que tu dénigres.
Et pour conclure avec toi je te soumets un de mes poèmes, juste pour t’embêter
celui qui sait se tait et avance porté par le vent
comme les bêtes il se contente de peupler le silence de ses songes déliés
il porte l’astre noir les myriades à rebours
dans la paume de main une étoile et son temps simultané
il s’ébroue dans la nuit et traverse son être
accueillant le chaman qui se meut dans la clarté du vide et ne dit mot
il n’écoute pas les rumeurs du monde
qui s’invite à renaître encore
dans un protocole de feux mastérisés
il entend le chant des coeurs
que ne cache aucun regard
ni l’intention inavouée et ses buts obscurs
car dans la lumière se tient le bruit d’un messie ou un autre
à l’orée de sa conscience et de sa perte
alors que battent les organes dans un sourd appel
à réparer le centre en traversant sa mort
son abandon inouï
c’est aussi simple que la fleur
dont le parfum surprend l’espace
et l’infinie réalité
tu peux entendre le son des êtres
et leur incandescence précise
dans la féconde solitude que tu acceptes
quand tu ne cherches plus à éviter
ce qu’il advient sans ton consentement
ce n’est pas assez de dire qu’il faut
renverser la vie de son envers multiple
et même cela ne sert à rien
car il n’y a pas d’endroit
ni pour les gourous ni pour les âmes
uniquement le lieu unique de toi
ce vide parfait et ses filaments cosmiques
qui sont les cordes d’un instrument qui est toi
qui est ton seul guide et l’arc pour toutes tes flèches
alors voilà il faut peut être dépeupler l’alentour de notre propre bruit
car l’univers est une musique sacrée
dont le murmure est ce rêve qui porte tous les germes à venir
et s’est déjà réalisé
alors voilà n’écoutes rien d’autre de ce qui vibre en toi
à l’instant où tu t’émeus de ton propre souffle
quand tu t’éveilles à ce qui ne peut être dit
et qui est pourtant la seule trace de présence
exactement là
comme un joyau dans l’alcôve de ta vie
Waouh …
Verbre a écrit :
Ecoutes Ds Ya, fais ta valise et engages-toi dans une ong pour soigner le monde, puisque tu ne supportes pas le fait que des êtres puissent souffrir !
1) 1 – Tendance à ne pas se laisser guider par son intuition personnelle et agir sous la pression des peurs, idées reçues et conditionnements du passé
(ds ya s’est engagée autrefois dans de multiples causes physiquement, moralement, matériellement avec beaucoup de fougues. Aujourd’hui, sa dernière co création fut un livre dont les bénéfices vont à une association pour la défense des mamifères marins…J’avoue que cela est difficile pour elle car elle n’a plus l’énergie d’antan..Sa langue bien pendue, encore un peu…
Ici, tu crois qu’on a besoin de ton regard si révolté ?
2) 2 : – Fort Intérêt pour juger les autres, sans se juger soi-même et s’intéresser à tout ce qui engendre des conflits.
Le besoin qu’engendre mon regard chez toi est celui de l’homme a qui j’enlève le drap sur la tête et qui est dérangé par ce qu’il découvre..
Tu ne crois pas que chacun fait ce qu’il a a faire là où il vit ?
3) 3 : – Forte apacité à se faire du souci (ceci représente l’un des symptômes les moins graves)
Désengagement total dans les principes primordiaux de l’humanité, « assistance aux personnes ne danger », désresponsabilisation au détriment de l’autre, parasitage de l’autre etc…
Manquer de respect ?
4) 4 : 4 – Plaisir constant à ne pas apprécier les choses et les êtres tels qu’ils sont, ce qui entraîne l’habitude de vouloir changer les autres.
Oui manque de respect en ne voulant pas voir les autres à l’abri de sa petite bulle de lumière électrique !
Alors maintenant l’amour est un manque de respect ?
6 – Attaques répétées de question, question qui dit « pourquoi » et donne un sentiment de peur et de non compréhension avec tout ce qui vit.
Incapacité à réfléchir par couardise..
Donc, puisqu’une partie du monde souffre, nous devons tous souffrir, et être contrit ?
9 – Plaisir de ne pas se comporter en responsable qui apporte des solutions plutot que joie et lumière…
L’empathie n’est pas un moyen de contritions bien au contraire.
[u]
Tu me gonfles.[/u]
5 – Désir intense de ne pas se transformer soi-même pour gérer positivement ses pensées, ses émotions, son corps physique, sa vie matérielle et son environnement afin de ne pas développer ses potentiels de santé, de créativité et d’amour.
Il suffit de gratter le vernis doré pour découvrir que les bases sont rouillés. La sagesse ne s’apprend pas à coup de copie colle de textes pompeux mais bien dans la façon d’être à chaque instant.
Bon caca et le lotus que dans le rouleau…
Tu montes au créneau pour des « maquerelles de l’ascension », tu es identique dans la volonté d’imposer ta vision morbide et désespérée.
11 – Sentiment irresponsable et malheureux d’offrir au monde ses rêves d’un futur abondant, harmonieux et pacifique.
La maquerelle monnaye ses soi disant accointance avec le divin, s’entourant d’élèves, prononçant des prophéties pour assouvir ses besoins de pouvoir créant ainsi des peurs pour mieux manipuler..
Moi, je suis une maquerelle tout court, usant de mes pouvoirs pour démystifier ses peurs à coup de marteaux
[u]Tu affirmes que tout le monde est cons, sauf toi.
Tu es exactement comme ce que tu dénigres[/u]
12 – Non Acceptation totale de la présence de l’autre sur terre et volonté de choisir à chaque instant, le mensonge, l’irresponsabilité, l’hypocrisie et le non respect.
L’idéologique d’un con
Si valable et fécond qu’il soit à l’origine…
Niché au creux des jambes comme une impasse, il prône une morale existentialiste forgeant le destin
de tout à chacun et y donnant à coup sur à terme un épilogue consacré.
De l’ivresse sensuelle à la frénésie érotique, qui lui donne en permanence une tension, le con est toujours dans l’élan qui manque de la sagesse supposée de l’humanité.
Partant d’une exceptionnelle gravité de pensée, il ne peut valoir sans une certaine émulsion générée par l’autre.
Replié ainsi sur sa conscience singulière, il n’évolue qu’au gré des tentations. On peut se demander alors quel sens aurait le con dans un endroit autre que celui qu’il a choisi pour un univers où règneraient des sans cons.
Car le con ne peut-être autre que fécond de non sens.
Pourrait-il être capable d’un désir d’élévation au point de prendre la place de la bouche, une interlocutrice de choix et reprendre cette confiance primordiale que nous lui attribuons dans la nature rationnelle de l’homme….D’un temps jadis où il était une vérité brutale.
Qu’ils sont cons, ces cons qui recherchent la mutilation fondamentale de leur con intrinsèque !
Qu’ils sont cons aussi, ces cons qui se réduisent à n’exister que sur le pan vital !
Quand vais-je trouver un demi-ton ?
sûr que notre connerie spécifiquement humaine dans notre société est pulsion de mort, contre frustration et impuissance …et on rendre dans les jeux de pouvoirs croyant protéger notre démocratie, nos idéaux…on les garde sous le coude, on se compromet…la fin justifiant les moyens…et le démocrate occidental devient parrain puis jouet de l’ombre de l’ombre et du séparatisme. L’humain est broyé. c’est ainsi que les bons américains trucident les irakiens, les chinois trucident les tibétains…et les français les africains….Chacun pour soi ou pour son dieu …Lamantable Copie à refaire! FIN !
Lamentable *Copie à refaire! FIN !
ça c’est pour ceux qui écrivent notre monde moderne déliquescent..nous tous un peu tout le monde, pris dans la nasse de la masse et je suis sûre qu’il va y avoir de l’aide pour le nouveau…
le japon correspondait à un des trois gros vortexs lunaires hélas polarisés négatif et hyper puissants et utilisés par l’ombre.
Haarp peut toujours essayer , il croit fignoler son plan mais y a du monde qui nous aide…les lueurs bleues déployées dans le ciel c’était pas les vaisseaux en triangle made in usa certains reptiliens, ni les vortex d’Haarp même si tout le monde le dit haut et fort…. mais les vaisseaux des mondesfraternels et d’amour.
L’amour de ces être peut les pousser à nous laver les pieds mais pas à nous cirer les pompes.
Ils nous ont aidé à refocaliser certains vortex…..et au japon, en même temps que les volcans océaniques ( pacifique) de l’ancienne lémurie s’activent ils viennent de déloger du monde: des intraterrestrespastresinterressants.
Les coeurs ouverts qui sont emportés et désincarnés ou à l’agonie dans ces contractions pourront revenir sur cette terre, bientôt, on peut les aider et on nous a prévenus..il va y avoir beaucoup de passages d’âmes . Il faut rester centrés , accompagner , s’ancrer respectueusement et ancrer l’unité qui pulse en toute vie. on se foutait de nous y a quatre ans quand on écrivait cela: » pff, la telepathie avec des extra terrestres….a t on vu un surfer flotter dans ma baignoire? ça ne peut exister! »
[u]celui qui sait se tait et avance porté par le vent
comme les bêtes il se contente de peupler le silence de ses songes déliés
il porte l’astre noir les myriades à rebours
dans la paume de main une étoile et son temps simultané
il s’ébroue dans la nuit et traverse son être
accueillant le chaman qui se meut dans la clarté du vide et ne dit mot[/u]
Ca veut dire quoi ?
[u]car dans la lumière se tient le bruit d’un messie ou un autre
à l’orée de sa conscience et de sa perte
alors que battent les organes dans un sourd appel
à réparer le centre en traversant sa mort
son abandon inouï[/u]
et ça, tu sais toi Karen ?
Puisque nous écrivons toutes les deux, tu sais bien que souvent, ce que le lecteur entend/comprend, n’est pas forcément, voire pas du tout, ce que l’auteur a voulu dire.
Alors oui, je pourrais faire à ma façon,une « explication de texte » sur ce que je comprends de ce poème (très fort)de Verbre mais ce serait enlever tout le ressentipoétique, qui est toujours « magique », au sens fort, c’est-à dire qui relève de la magie.
C’est un peu comme un tableau qui soulève autant de ressentis et/ou d’explications que de contemplateurs. Idem pour la musique.
[u]c’est aussi simple que la fleur
dont le parfum surprend l’espace
et l’infinie réalité
tu peux entendre le son des êtres
et leur incandescence précise
dans la féconde solitude que tu acceptes
quand tu ne cherches plus à éviter
ce qu’il advient sans ton consentement
ce n’est pas assez de dire qu’il faut
renverser la vie de son envers multiple
et même cela ne sert à rien
car il n’y a pas d’endroit
ni pour les gourous ni pour les âmes
uniquement le lieu unique de toi
ce vide parfait et ses filaments cosmiques
qui sont les cordes d’un instrument qui est toi
qui est ton seul guide et l’arc pour toutes tes flèches
alors voilà il faut peut être dépeupler l’alentour de notre propre bruit
car l’univers est une musique sacrée
dont le murmure est ce rêve qui porte tous les germes à venir
et s’est déjà réalisé
alors voilà n’écoutes rien d’autre de ce qui vibre en toi
à l’instant où tu t’émeus de ton propre souffle
quand tu t’éveilles à ce qui ne peut être dit
et qui est pourtant la seule trace de présence
exactement là
comme un joyau dans l’alcôve de ta vie[/u]
si L’écart que j’aime
S’étire d’états d’âme en état d’âne
Car c’est là que je perçois la clameur
Et que c’est dans ses quelques plis, que je m’enlace
Comme je m’enlace de tes mots, je n’oublie pas qu’ils ne couvrent pas les maux. Ceux là sont hors poésie !
Il y a un temps pour faire des arcades de jolies phrases et d’autres pour les écrouler sur la tête des dormeurs !
Je te laisse donc à ta croisade, sur « Choix Réalité »…
J’affronte mes peurs.
Je les vis ….En croyant prendre encore des raccourcis !
Tout simplement, c’est pas compliqué !
[u]Puisque nous écrivons toutes les deux, tu sais bien que souvent, ce que le lecteur entend/comprend, n’est pas forcément, voire pas du tout, ce que l’auteur a voulu dire.
Alors oui, je pourrais faire à ma façon,une « explication de texte » sur ce que je comprends de ce poème (très fort)de Verbre mais ce serait enlever tout le ressentipoétique, qui est toujours « magique », au sens fort, c’est-à dire qui relève de la magie.
C’est un peu comme un tableau qui soulève autant de ressentis et/ou d’explications que de contemplateurs. Idem pour la musique.[/u]
AHAHAHAHAHAHA !
Il n’y a pas qu’une Yahoui ici…
Lorsqu’étudianten, nous faisions de l’explication de texte poétique, je me demandais toujours si c’est bien cela que l’auteur avait voulu faire transparaître dans ces écrits.
En tous les cas, j’avais avis sur la question et cela n’enlevait en rien à la magie de l’écrit que je décomposais ou que je ressentais.
Là en l’occurence, l’auteur est présent.
Donc si tu n’es pas capable de m’expliquer ces deux paragraphes, c’est que tu n’en comprends pas le sens. Je crois même que l’auteur non plus et qu’il a écrit cela en faisant des ronds de mots pour impressionner la galerie.
…
Au bord de la nef
solidaires mes genoux
solitaires entre deux chaises
mon cul en prières
j’écrase une rondelle sensuelle
entre deux ronds d’encens
Les bigots s’allument à la chandelle
et fument la queue des saints
ça leur donne des ailes
C’est magique
Visites entre deux
aux cloitres
les tourterelles blanches font des passes
à l’autel
dans le confesse
le cureton amuse les enfants sages
devant derrière
l’eau bénite ressemble à du pipi de séraphin
ma foi
Dieu bronze
depuis belle lurette
les vitrails
les vitraux
on ne sait pas trop
Un signe de croix
ne donne pas l’auréole sous le bras
ça veaucifère
une hostie en cul de poule..
Si personne ne comprend, je pense que Pep’s lui appréciera…
Verbre peux-tu m’expliquer ce que tu veux dire dans tes deux paragraphes ?
En l’occurence, là tu te trompes. Mais si j’ai écrit/transmis ce poème, ce n’est pas pour en faire une explication. Si le lecteur ne comprend pas, c’est qu’il n’est pas prêt. C’est au lecteur de faire son chemin vers le sens.
Ce n’est à personne d’affronter tes peurs à ta place…
Je les vis ….En croyant prendre encore des raccourcis !
Tout simplement, c’est pas compliqué !
C’est au lecteur de faire son chemin vers le sens mais quand cela n’en a pas …Que faire ?
Demander l’explication à la personne qui pourra vous aider à comprendre.
Je comprends bien que tu ne sais pas ce que tu as écrit et que tu ne veuilles pas paraître ridicule mais tout de même delà à faire passer l’autre pour un imbécile.
Franchement après l’irrespect, le culot..
Que de qualités…
C’est ton choix.
Chacun(e) est libre d’y trouver un sens ou d’affirmer qu’il n’y en a pas.
chose
C’est la beauté de la
Je n’ai aucune leçon à donner.
Ce n’est à personne d’affronter tes peurs à ta place..
[b]Corps plus mort qu’un désert et plus nu…
Les pistes que je suis sur ton visage ont d’étranges méandres..
La trace y brûle encore d’un meurtrier inconnu…
Mais moi je sais….
Et je fuis le culte affreux que ta piété ose encore me vouer…
Je t’en prie :
Epargne-moi ton œil, trouble océan, qui ronge mon âme…
Mon enfant, mon enfant…
Ne me regarde pas !
Mais bon Dieu, jetez-moi un drap sur la tête ![/b]