Je suis là, assise dans un endroit magique comme nous en avons tous eu dans nos rêves d’enfants. Il ressemble à un jardin, à un magnifique verger en fleur et moi je suis là, assise sur un gazon très doux, très tendre. L’air est léger et un vent parfumé de fleurs odorantes me caresse comme pour m’inviter à regarder plus attentivement. Je suis assise non loin d’un arbre qui ressemble à un pommier et plus je le regarde, plus je vois sortir de son tronc, de ses feuilles, de magnifiques ondes colorées qui s’allongent en dansant vers le ciel, vers un ciel de couleur étrange dont je viens juste de percevoir les nuances jaune orangé. Chaque arbre de ce verger semble vivre d’une vie intense et personnelle, les ondes se rejoignent, paraissant ainsi communier à une même source. Le spectacle pour moi est féerique. Il m’est arrivé de voir cela lors de courts instants de repos dans la Nature, mais ici, l’intensité est tellement supérieure et l’harmonie si évidente qu’elle ne cesse de me ravir. J’ai une impression de déjà vu, un peu comme si j’étais déjà venue dans ce lieu.

« Pas exactement dans ce lieu, mais dans d’autres endroits qui y ressemblent. »

La voix enjouée qui résonne derrière moi me fait sursauter, je n’avais pourtant vu personne aux alentours jusqu’à présent. »

Un couple est là, à quelques mètres, souriant et accueillant. Il semble frôler le sol plus que marcher dessus.

« Nous attendions que tu sois un peu remise de ton voyage que nous avons su être éprouvant à certains égards. Nous allons être tes guides et tes hôtes durant ton séjour ici. Sois donc la bienvenue sur la planète Venus ! »

Je sais en mon for intérieur qu’il en est ainsi, et je regarde avec gratitude mes deux nouveaux compagnons. Assez grands et minces, presque androgynes, ils portent tous deux de fins cheveux blonds mi-longs qui entourent l’ovale délicat de leur visage. Leurs vêtements semblent presque suivre les contours de leurs corps ; La matière en est fluide, les couleurs changeantes et la forme est du style tunique à col droit et pantalon. Une ceinture souligne leur taille. En fait, à l’exception des vêtements, ces deux êtres sont très semblables physiquement à ceux qui m’accompagnaient au début de ce voyage. S’il n’y avait l’intonation de leur voix et les émanations colorées qui s’échappent d’eux, j’aurais tout à fait pu les confondre. En effet, comme de la végétation environnante, de belles ondes colorées s’échappent de mes deux hôtes. A la manière des auras qui entourent chaque être humain, elles virevoltent et dansent autour d’eux mais à la différence que celles-ci sont beaucoup plus chatoyantes et lumineuses que celles que j’ai l’habitude de rencontrer.

« Ici, les couleurs qui émanent de nous permettent une reconnaissance directe, sans paroles. C’est un peu comme votre carte de visite, de présentation, avec l’avantage de ne rien pouvoir falsifier.»

Cette fois, c’est la jeune femme qui s’est adressée à moi. Je dis jeune mais je pourrais aussi dire sans âge car aucune marque de temps ne transparaît sur leur physique, seul leur regard et leur voix me donnent l’impression d’une sagesse tellement ancienne qu’ils pourraient bien avoir des siècles.

« Comme nous allons passer un certain temps ensemble j’aimerais beaucoup pouvoir vous appeler par des prénoms qui me faciliteraient la communication avec vous, hasardais-je ! »

« Nous attendions ta question. Ici, comme je te le disais tout à l’heure, nos auras servent de présentation. Le nom est pour nous un son, une note propre à chacun et que nous employons très rarement. Nommer une personne, c’est lui donner des attributs, des propriétés vibratoires spécifiques, mais ce peut être aussi une prison qui qualifie et étouffe dans un rôle particulier. Sur la planète Terre, vous commencez seulement à redécouvrir la force du son, du mot et par là même du Verbe Créateur, sans en connaître encore les subtilités. Pour plus de facilité nous allons cependant te proposer deux noms : tu pourras m’appeler Djarwa et ma compagne Sumalta, mais sache qu’il ne s’agit pas de nos véritables noms. Si nous voulions être plus précis à ce sujet il nous faudrait des développements longs et plus techniques aussi. Nous dirons simplement qu’un nom doit être employé avec amour et connaissance, pour ne pas nuire à celui qui le porte. Maintenant, nous t’invitons à nous suivre car il y a beaucoup à faire et à voir.»

Fargora, fargora… s’écrient, en agitant les mains, deux jeunes enfants sur le pas de porte d’une maison aux formes arrondies. Je comprends comme si je connaissais ce langage que ces mots signifient bienvenue.

Je regarde avec attention l’habitation dont je vais franchir le seuil. Elle me paraît de dimension moyenne, je dirais entre cent cinquante et deux cents mètres carrés environ mais sa caractéristique est que du dehors elle ne présente pas d’angles droits. Elle n’est pas ronde non plus et ne ressemble pas aux vaisseaux que j’ai pu voir jusqu’à présent. Non, c’est une maison aux formes arrondies, entourée de végétation et de laquelle émane une grande paix. Un havre de paix me paraît déjà la qualifier extérieurement telle que je la ressens.

« Nos maisons ont pour nous une fonction bien précise. C’est Djarwa, qui avec gentillesse répond à mon interrogation non encore formulée. Ce sont des lieux de ressourcement, de détente, de paix et nous sommes très attentifs aux énergies qui en émanent et à celles que nous y mettons. Sur cette planète nous n’avons aucune construction qui soit haute ou grande. Il n’ya donc aucun building comme sur Terre, ni agglomérations géantes. Nous nous regroupons selon nos affinités en ce que vous pourriez appeler villages et chaque habitation tient compte des besoins de l’être ou des êtres qui vont y habiter, mais ce ne sont pas des attaches qui nous lient et nous emprisonnent. Ces maisons sont faites pour nous et non l’inverse. »

Je souris, car je sais à quoi fait allusion Djarwa. Il pense, et je le vois à travers ce qui émane de lui, à toutes ces maisons pour lesquelles beaucoup s’endettent, travaillent, dépriment ; Toutes ces habitations luxueuses qui occupent tant de temps, de vies, de budget, au détriment de la Vie elle-même. Tant de maisons, trop grandes dont les habitants profitent bien peu tant ils peinent pour se les offrir !

« Ici, continue-t-il, nous créons d’abord par la pensée ce qui nous est nécessaire, en sachant que le Beau n’est jamais négligé au profit d’autres éléments car il fait partie de notre nature. Mais beau pour nous, peut signifier simple, sans aucune contradiction. Si tu constates que les formes de cette habitation sont arrondies, c’est parce que les angles durs n’ont plus d’intérêts chez nous sur cette planète. Ils arrêtent certains courants, leur font prendre des directions avec plus de contrainte que nécessaire. Nous essayons de faire en sorte que la Vie puisse couler de façon fluide à l’intérieur de nos maisons et en cela nous avons été aidés par les grands êtres qui président aux structures et aux formes de toute Vie. Sur Terre, vous nommez ceux qui organisent la Vie de la Nature

des Dévas mais, en dehors de quelques personnes qui ont un contact privilégié avec eux, vous ne tenez pas encore compte de leurs conseils. Ce sera pourtant une étape indispensable si vous ne voulez pas épuiser pour longtemps les ressources de votre Planète. Il vous faudra très vite cesser de vouloir diriger avec vos connaissances scientifiques encore insuffisantes, la vie de la Nature. Mettez-vous à l’écoute, et les Grands êtres qui en assurent la croissance vous donneront, ils le font déjà, toutes les connaissances nécessaires pour que l’harmonie s’installe. »

(Note de Anne : Actuellement, les architectes font de plus en plus attention aux matériaux, aux formes de nos habitations)

Mon hôte s’est arrêté et à sa suite je pénètre à l’intérieur de la maison. Les jeunes enfants nous ont précédés depuis longtemps. Une belle pièce centrale nous accueille. Elle est d’une couleur que je n’arrive pas à définir. Je pourrais dire changeante et irisée mais je ne saurais dire si cette impression est due aux matériaux employés ou à l’éclairage dont je ne perçois pas la source. Une table, des chaises, des fauteuils dans lesquels mes hôtes m’invitent à prendre place, nous attendent. Ils semblent aussitôt se modeler aux formes de mon corps et me procurent une sensation de détente profonde, un peu comme s’ils touchaient en moi des points précis, et pourtant je n’ai pas emmené mon corps physique ici.

Je ne vois pas de cuisine semblable à celles que je connais sur Terre ni d’ailleurs de meubles contenant une quelconque vaisselle. C’est alors, que d’un geste de la main, mon hôtesse, comme en réponse à ma question fait glisser un pan du mur qui permet de découvrir des coupes et coupelles diverses, semblables à un cristal très pur et très simple. Elle sort de ce placard invisible des verres aussitôt remplis d’un liquide sucré et odorant.

« Il s’agit d’un jus de fruit que vous ne connaissez pas. Il est très détendant et en même temps nourrissant, dit-elle en me tendant un verre. »

Elle prend place sur un fauteuil près du mien tandis que la paroi reprend son aspect lisse et sans faille, sans la moindre possibilité d’y deviner une ouverture.

Les enfants arrivent en courant vers nous et derrière eux, qu’elle n’est pas ma surprise de revoir le petit être poilu aux yeux brillants et malicieux, qui me regardait lors de ma première visite du vaisseau. Il est là, campé sur ses deux pattes solides, me regardant avec curiosité. Mi-ourson, mi-panda, mi-singe, mi-homme, j’ai du mal à le définir.

« Tu sais, c’est un compagnon pour nous, comme vous avez des chiens et des chats sur terre. Il est très intelligent et nous amuse et nous aide beaucoup. »

C’est un des enfants qui s’adresse à moi de la sorte et je finis par me demander comment ils connaissent autant de choses au sujet de la planète Terre.

« Viens voir, tu vas comprendre… »

Je suis la mère et les deux enfants dans une pièce aux murs lisses. Seuls, un bureau et un clavier sont au centre ainsi que quatre chaises. L’enfant plus âgé se place devant le clavier et me demande :

« Veux-tu avoir des nouvelles de la Terre ? »

Ce à quoi j’acquiesce volontiers. Il appuie alors sur l’un des boutons et un pan du mur s’éclaire pour laisser place à une femme semblable à mon hôtesse qui parle quelques instants avant de s’effacer pour laisser apparaître des images de la Terre, je reconnais des lieux géographiques, des personnages connus, et je comprends ce qui se dit comme si un transcripteur instantané me traduisait les mots entendus. Il s’agit bien d’événements sur Terre, mais pas de ce que nous avons l’habitude de voir au journal télévisé. Ce qui est commenté là semble davantage concerner des découvertes et des événements qui pourraient avoir des conséquences bénéfiques ou non, sur l’ensemble du cosmos. Par exemple la découverte, tenue secrète, de statues et de galeries sous le Sphinx et sous la Grande Pyramide, ou encore les contacts non officiels de certains grands gouvernants avec des êtres d’autres planètes et les désinformations concernant les contacts extraterrestres, puis les foyers infectieux provoqués par les guerres voulues et les épidémies crées pour engendrer la peur dans la race humaine. Mais aussi, tout un lot de bonnes nouvelles. Cependant, quel que soit le type d’information donnée, aucun caractère dramatique ou traumatisant ne transparaît dans les commentaires.

« Tu es ici dans la pièce de la culture, des liaisons et des communications. Nous pouvons de cette façon recevoir des nouvelles de tout ce qui se passe dans le cosmos, mais nous avons aussi d’autres moyens de communiquer, de nous entendre, de nous voir, de nous rencontrer. Regarde, les enfants vont bientôt avoir leur leçon de télépathie par leur professeur particulier. »

Nous prenons toutes deux un siège, tandis que les deux enfants se préparent. Vêtus de tuniques orangées et de pantalons plus collants d’une même couleur ils s’installent de part et d’autre du clavier et la tête dans les mains semblent entrer dans un type de méditation ou de concentration tout à fait particulière. Ils sont debout et dans la plus parfaite immobilité lorsque tout à coup le plus jeune des deux étend le bras pour appuyer sur un bouton. Apparemment, il a dû recevoir le signal pour cela. À l’instant même, apparaît au centre de la pièce un personnage en trois dimensions, lumineux et transparent un peu comme un hologramme, en mieux. Il parle aux enfants et tient à la main des fiches avec des symboles divers. Les enfants tour à tour s’exercent à capter le symbole puis après quelque temps, le professeur leur propose d’envoyer des images par la pensée et là encore les enfants paraissent très centrés, sans aucune crispation et sans aucun geste, ni mouvement d’impatience ou de colère quel que soit le résultat. Ces jeunes enfants sont plus stables et attentifs que la plupart des adultes de la Terre. Le temps passe, des exercices différents sont proposés, sans pause et sans lassitude de la part des enfants, puis le professeur nous salue tous et disparaît comme il était venu. Mon hôtesse me demande de la suivre car les enfants doivent maintenant rester seuls.

« Leur apprentissage vous paraîtrait rude sur terre, car maintenant ils doivent chacun, dans le plus parfait silence, se mettre en contact avec leur être profond – celui qui va les guider toute leur vie durant – puis viendra le moment où ils auront à partir pour l’une de nos écoles de sagesse. Là, des êtres très anciens dans leur expérience de vie, leur enseignent à diriger leur pensée, sans désir personnel, sans volonté de nuire, mais dans un but qui puisse servir toutes les humanités. Avant cela, ils apprennent à se respecter suffisamment eux-mêmes pour savoir dire Oui et Non sans arrière-pensée, sans culpabilité. Plus tard, ils apprendront le maniement des ondes de formes et des pensées. »

« Le programme me paraît tout à fait extraordinaire mais y a-t’il une place pour l’art, les sentiments, le corps physique, par exemple ? »

« Bien sûr ! Les enfants apprennent aussi tout ce qui touche aux sons et aux couleurs, et à l’impact de ces deux énergies qui, combinées aux formes, vont créer des objets, des architectures, des tableaux, des espaces verts, des symphonies aux propriétés diverses. Nous savons tous que le beau élève l’âme et les corps subtils vers des dimensions qui font naître en nous et autour de nous l’harmonie, et la paix. Plus précisément, le beau peut aussi, s’il est uni à d’autres formes, apporter la paix ou la dynamisation ou encore la guérison.

Pour ce qui est du corps, de nombreux exercices basés sur la respiration sont pratiqués quotidiennement mais nous savons aussi que c’est la qualité de nos pensées qui permet de modeler notre corps physique. Tous ceux qui pratiquent ce que vous pourriez appeler sport apprennent avant tout à se centrer, à méditer, à respirer, à visualiser. Pendant tout leur temps d’apprentissage, les élèves ont des cours de sagesse durant lesquels ils apprennent à gérer leurs conflits intérieurs avant que cela ne crée des conflits à l’extérieur d’eux-mêmes. Ils comprennent qu’aucun problème n’est généré par autrui, mais par eux en priorité et que l’autre n’est qu’un miroir par lequel ils peuvent travailler sur eux.

Les élèves sont en tous petits groupes de dix et leur enseignant est toujours un maître du domaine qu’il leur fait explorer. C’est-à-dire qu’il ne s’agit nullement de diplômes ou de titres, ni d’années passées sur telle ou telle matière. C’est la capacité et l’expérience de vie dans l’un des domaines, qui fait que telle personne est reconnue comme un maître, à qui il faut en plus des capacités de communication pour devenir un enseignant. Ainsi, ne peut enseigner la maîtrise des émotions que celui qui est passé maître en cet art, et seul un collège de Sages peut le déterminer. Par la suite, les enfants sont dirigés selon leurs capacités et leur souhait vers des enseignements plus spécifiques. Les deux, à ce stade, ne sont jamais en contradiction. Quant aux plus doués, ils sont pris en charge par des êtres de grande sagesse afin de faire plus tard partie du collège ou de l’un de nos grands comités interplanétaires. »

« Dans tout ceci y a-t’il des moments réservés à la distraction, à la détente ? »

Mon hôtesse rit de bon cœur à cette question qui, j’en suis sûre, me sera posée plus tard par les parents soucieux de l’éducation de leurs enfants.

« Mais il n’y a aucune crispation dans tout cela. L’enfance ici dure très peu de temps mais nous en reparlerons plus tard… Quant aux possibles moments de détente, c’est typiquement terrestre. Ici nous aimons tout ce que nous faisons et cela fait partie de notre vie au même titre que manger ou regarder un spectacle. La même joie, même si elle est de qualité différente, nous habite et rien ne nous pèse. »

Un instant plus tard, je vois les enfants se diriger en courant vers la porte d’entrée sans qu’aucun signe extérieur n’ait laissé présager une quelconque venue.

« Djarwa vient de revenir avec le véhicule qui va emmener les enfants à l’école de Sagesse. Veux-tu nous accompagner jusque là, me murmure Sumalta ? »

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Alliance : Chapitre 9 « Djarwa et Sumalta » – Anne Givaudan

Source du texte sur Internet : scribd.com

Source de cet article : www.choix-realite.org, publicateur Delta de la Lyre

Sélection, décompactage pour mise en forme, édition : Delta de la Lyre

Peintures :
– 1ère : Catherine Musnier « Le Perroquet Bleu »
– 2nde : ?, Déva de l’arbre

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Précisions de Delta de la Lyre :

– ce voyage en expansion de conscience, s’effectue sur Vénus où ce qui est décrit existe dans une dimension supérieure à la troisième dimension. C’est pour cela que depuis la Terre qui vibre en troisième dimension nos yeux de chair ne peuvent pas appréhender ou voir quelle que vie que ce soit tant au sein qu’à la surface de Vénus. De ce fait notre science physique déduit qu’il est peu probable qu’une vie intelligente puisse y évoluer puisque son atmosphère est constituée de dioxyde de carbone, d’azote, puis en plus faible quantité de dioxyde de souffre.

– Les types de témoignages concernant Vénus regroupent un socle commun bien précis, ils disposent d’une forte crédibilité puisqu’émanant de personnes aux compétences ou dons qui n’ont rien d’identiques les uns par rapport aux autres : voyages astraux, réception de messages médiumniques, témoignages des contactés sur Terre et ceux invités sur Vénus : et tous témoignent d’à peu près la même chose.

– La matrice peut toujours nous jouer des tours en nous montrant ce qu’elle aurait bien envi de nous présenter. Il ne faut pas omettre cette éventualité !

– Cet article résume et révèle, déjà en 2000 date de sa parution, quasiment tous ce qu’il y a à savoir sur les compétences à acquérir en vu de pouvoir prétendre intégrer la 5ème dimension : on remarque donc que cet article relativement court se substitue aisément à tous ce qui à pu être produit par les channels ou canaux ou médiums ou pseudo-médiums depuis une décennie où dans leurs textes sont malheureusement dilués du probablement vrai et du probablement faux, de l’exacte et du grand n’importe quoi.

Sincèrement.
Bien à Vous

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Autres chapitres d’Alliance disponibles :

Le conseil des douze

Vénus : du couple – de l’accueil d’un enfant – du célibat – des liens – de l’extase

Anne Givaudan